« Le tribunal de Grande Instance de Toulouse s’est prononcé jeudi 31 janvier dernier sur la demande d’annulation de l’acquisition, fin 2005, de 21% du capital de FRAM par Georges COLSON, du fait, notamment, d’irrégularités caractérisées à des règles d’ordre public.
Le tribunal a débouté toutes les parties, Mme Chaubet de ses actions en justice, M. Colson et les Voyages Fram de leurs demandes de dommages et intérêts. Nous prenons acte de cette décision qui nous semble néanmoins en contradiction avec les ordonnances rendues précédemment dans cette affaire par le Tribunal.
C’est pourquoi, nous souhaitons faire appel de ce jugement, sur la base des éléments de droit défendus en première instance mais également dans un souci de recherche de la vérité et de transparence sur l’ensemble de ce dossier.
Nous souhaitons ainsi envisager sereinement l’avenir et les perspectives de FRAM, en développant un véritable projet d’entreprise pour les salariés en priorité ainsi que l’ensemble des partenaires du Groupe. »
Le tribunal a débouté toutes les parties, Mme Chaubet de ses actions en justice, M. Colson et les Voyages Fram de leurs demandes de dommages et intérêts. Nous prenons acte de cette décision qui nous semble néanmoins en contradiction avec les ordonnances rendues précédemment dans cette affaire par le Tribunal.
C’est pourquoi, nous souhaitons faire appel de ce jugement, sur la base des éléments de droit défendus en première instance mais également dans un souci de recherche de la vérité et de transparence sur l’ensemble de ce dossier.
Nous souhaitons ainsi envisager sereinement l’avenir et les perspectives de FRAM, en développant un véritable projet d’entreprise pour les salariés en priorité ainsi que l’ensemble des partenaires du Groupe. »