Rude semaine pour la Reine. Côté aérien me direz-vous, rien que de très normal. Il ne se passe plus un mois sans que un ou plusieurs transporteurs aillent au tapis. Pendant ce temps-là, on continue de "planter" joyeusement les clients sous le prétexte qu'ils avaient acheté leur titre de transport sur internet.
Ah, disent les bonnes âmes, si seulement on leur avait dit d'acheter leur billet chez leur agent de voyage ils auraient pu être remboursés... Oui mais personne ne le leur dit. Pas plus les agents de voyages que les autres. Conclusion : ils ne le savent pas !
Et quand bien même le sauraient-ils, est-ce normal de se faire arnaquer parce qu'on a acheté son ticket sur internet ?
Qui a parlé de la fiabilité des transactions électroniques ? Est-ce comme cela que l'on redonnera confiance aux consommateurs ? Certes pas. C'est toute la profession qui pâtira, à terme, de ce type de filouterie.
Chez Air Lib, par exemple, la résa en ligne était restée ouverte. Jusqu'au dernier moment. Résultat : plusieurs centaines de personnes (depuis réunies en association) se sont fait grugé.
Personnellement, je crois que cela ne fait l'affaire de personne dans la profession et il faudra tôt ou tard y remédier. Sinon, ce sera l'État qui le fera... sous la contrainte !
Parmi les affaires qui ont défrayé la chronique, j'ai noté aussi qu'un État africain (qui ne fait pourtant pas partie des pays déconseillés par le Quai d'Orsay), avait retenu indûment pendant 3 jours un appareil affrété par un TO français qui amenait des touristes pour y faire du trekking.
En quelques mois (de novembre à mars) 2 500 d'entre eux étaient pourtant partis crapahuter dans les (superbes) paysages désertiques du Mali.
Des visiteurs dont la contribution à la modeste économie locale des villages représente une véritable aubaine mais qui ne feront plus le déplacement (tout au moins avec GO Voyages), parce que quelques zélés fonctionnaires qui avaient des compte à régler avec une compagnie (Euralair) qui n'existe même plus aujourd'hui, ont cru qu'ils pouvaient se faire justice aux-mêmes.
Quand on pense au mal que se donnent les destinations africaines pour promouvoir leur pays respectifs et y attirer les voyagistes et leurs clients, on a décidément du mal à comprendre...
Ah, disent les bonnes âmes, si seulement on leur avait dit d'acheter leur billet chez leur agent de voyage ils auraient pu être remboursés... Oui mais personne ne le leur dit. Pas plus les agents de voyages que les autres. Conclusion : ils ne le savent pas !
Et quand bien même le sauraient-ils, est-ce normal de se faire arnaquer parce qu'on a acheté son ticket sur internet ?
Qui a parlé de la fiabilité des transactions électroniques ? Est-ce comme cela que l'on redonnera confiance aux consommateurs ? Certes pas. C'est toute la profession qui pâtira, à terme, de ce type de filouterie.
Chez Air Lib, par exemple, la résa en ligne était restée ouverte. Jusqu'au dernier moment. Résultat : plusieurs centaines de personnes (depuis réunies en association) se sont fait grugé.
Personnellement, je crois que cela ne fait l'affaire de personne dans la profession et il faudra tôt ou tard y remédier. Sinon, ce sera l'État qui le fera... sous la contrainte !
Parmi les affaires qui ont défrayé la chronique, j'ai noté aussi qu'un État africain (qui ne fait pourtant pas partie des pays déconseillés par le Quai d'Orsay), avait retenu indûment pendant 3 jours un appareil affrété par un TO français qui amenait des touristes pour y faire du trekking.
En quelques mois (de novembre à mars) 2 500 d'entre eux étaient pourtant partis crapahuter dans les (superbes) paysages désertiques du Mali.
Des visiteurs dont la contribution à la modeste économie locale des villages représente une véritable aubaine mais qui ne feront plus le déplacement (tout au moins avec GO Voyages), parce que quelques zélés fonctionnaires qui avaient des compte à régler avec une compagnie (Euralair) qui n'existe même plus aujourd'hui, ont cru qu'ils pouvaient se faire justice aux-mêmes.
Quand on pense au mal que se donnent les destinations africaines pour promouvoir leur pays respectifs et y attirer les voyagistes et leurs clients, on a décidément du mal à comprendre...