"Les spas doivent très vite intégrer dans leurs budgets prévisionnels des dépenses supplémentaires concernant des analyses certainement plus fréquentes et obligatoires et des contrôles plus réguliers de leurs installations" déclarait Jean-Jacques Gauthier lors du récent Salon Mondial de la Beauté Paris © pukall-fotografie - Fotolia.com
En 2010, la découverte de bactéries dans la piscine du spa d’un palace parisien et dans le bain à remous tout neuf d’un Spa d’institut de beauté avaient fait l’objet d’une importante médiatisation.
Face à ce problème de santé publique, deux textes réglementaires essentiels pour les gérants de spa avaient été publiés en 2011.
Les contrôles « légionelles » de l’Agence Régionale de Santé (ARS) avaient alors démarré dans le secteur hospitalier, puis touristique.
Responsables et vigilants, les gérants des nombreux établissements possédant des bains à remous et des piscines proposent à leurs clients des équipements de qualité irréprochables en terme d’hygiène.
Face à ce problème de santé publique, deux textes réglementaires essentiels pour les gérants de spa avaient été publiés en 2011.
Les contrôles « légionelles » de l’Agence Régionale de Santé (ARS) avaient alors démarré dans le secteur hospitalier, puis touristique.
Responsables et vigilants, les gérants des nombreux établissements possédant des bains à remous et des piscines proposent à leurs clients des équipements de qualité irréprochables en terme d’hygiène.
Disparités de traitement dans les contrôles ?
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Néanmoins, pour Jean-Jacques Gauthier, président du S.P.A.S. (Syndicat Professionnel des Activités de Spa) la réglementation actuelle a des failles.
Il préférerait voir l’arrivée d’une loi. Il s’en explique.
« Pour certains, les contrôles de l’ARS sur la qualité des eaux de bains à remous sont fréquents et réguliers. Pour d’autres, ils sont plus exceptionnels et ce, en fonction des régions.
Il y a une disparité de traitement selon la localisation et cela n’est pas acceptable. Nous devons proposer des soins de bien-être avec une garantie de sécurité maximum.
C’est indispensable, prioritaire, et non négociable ! Une loi serait plus salutaire. ».
Le président du SPAS impute cette disparité à des « interprétations différentes des textes en vigueur ».
Avec la popularité grandissante des Spas, cette réflexion sur les risques sanitaires est dans l’actualité des professionnels du secteur. Ils sont prêts à en supporter les coûts.
« Les Spas doivent très vite intégrer dans leurs budgets prévisionnels des dépenses supplémentaires concernant des analyses certainement plus fréquentes et obligatoires et des contrôles plus réguliers de leurs installations » déclarait Jean-Jacques Gauthier lors du récent Salon Mondial de la Beauté Paris.
Il préférerait voir l’arrivée d’une loi. Il s’en explique.
« Pour certains, les contrôles de l’ARS sur la qualité des eaux de bains à remous sont fréquents et réguliers. Pour d’autres, ils sont plus exceptionnels et ce, en fonction des régions.
Il y a une disparité de traitement selon la localisation et cela n’est pas acceptable. Nous devons proposer des soins de bien-être avec une garantie de sécurité maximum.
C’est indispensable, prioritaire, et non négociable ! Une loi serait plus salutaire. ».
Le président du SPAS impute cette disparité à des « interprétations différentes des textes en vigueur ».
Avec la popularité grandissante des Spas, cette réflexion sur les risques sanitaires est dans l’actualité des professionnels du secteur. Ils sont prêts à en supporter les coûts.
« Les Spas doivent très vite intégrer dans leurs budgets prévisionnels des dépenses supplémentaires concernant des analyses certainement plus fréquentes et obligatoires et des contrôles plus réguliers de leurs installations » déclarait Jean-Jacques Gauthier lors du récent Salon Mondial de la Beauté Paris.