Le nouveau contrat SNCF représenterait en effet un manque à gagner de 1,2 million d’euros.
Pour la billetterie ferroviaire, le réseau AS Voyages a laissé entendre que des négociations s’étaient engagées avec la SNCF pour trouver un accord « maison » et que « toutes les solutions étaient envisagées ».
Signé dans la torpeur de l’été entre la commission Fer SNAV, présidée par Christine Baal (Amex) et la SNCF, le nouveau contrat paritaire qui baisse la commission de base et instaure une rémunération variable sur objectif, n’en finit pas de mécontenter.
Si le nouveau partenaire d’AS Voyages, Amex préside la commission Air, le spécialiste du voyage d’affaires a d’ailleurs décidé d’externaliser sa billetterie train devant une équation parlante : 60% des transactions pour 10% du chiffre d’affaires.
Signé dans la torpeur de l’été entre la commission Fer SNAV, présidée par Christine Baal (Amex) et la SNCF, le nouveau contrat paritaire qui baisse la commission de base et instaure une rémunération variable sur objectif, n’en finit pas de mécontenter.
Si le nouveau partenaire d’AS Voyages, Amex préside la commission Air, le spécialiste du voyage d’affaires a d’ailleurs décidé d’externaliser sa billetterie train devant une équation parlante : 60% des transactions pour 10% du chiffre d’affaires.
AS Voyages, qui réalise 18% de la billetterie SNCF émise en agence, veut, à l’inverse, garder sa billetterie chez elle, et maintenir la rémunération actuelle. Le nouveau contrat SNCF représenterait en effet un manque à gagner de 1,2 million d’euros.
Ce sont surtout les conditions de rémunération variable en fonction d’un type de produit ou d’une zone géographique qui créée une inégalité des chances entre les adhérents.
Quant aux conditions IATA qui élèvent sensiblement le ratio trésorerie/dette courante des distributeurs, Jean-Pierre Mas, le président de la Commission Air du SNAV, réfute la position du BSP qui affirme avoir attendu en vain les contre-propositions des agents de voyages en commission paritaire IATA.
Et il n’en décolère pas : « C’est le BSP France qui a les normes les plus hautes de tous les marchés européens. Nous avons été mis devant le fait accompli avec un délai très court de mise en place ».
Jean-Pierre Mas, à la tribune du congrès AS Voyages, en a donc appelé Georges Colson le président du SNAV à réagir à ce « diktat » de l’IATA dont Air France (55% du BSP) est l’inspirateur.
Des solutions juridiques sont envisagées pour reculer la mise en application, voire pour annuler le futur dispositif.
Ce sont surtout les conditions de rémunération variable en fonction d’un type de produit ou d’une zone géographique qui créée une inégalité des chances entre les adhérents.
Quant aux conditions IATA qui élèvent sensiblement le ratio trésorerie/dette courante des distributeurs, Jean-Pierre Mas, le président de la Commission Air du SNAV, réfute la position du BSP qui affirme avoir attendu en vain les contre-propositions des agents de voyages en commission paritaire IATA.
Et il n’en décolère pas : « C’est le BSP France qui a les normes les plus hautes de tous les marchés européens. Nous avons été mis devant le fait accompli avec un délai très court de mise en place ».
Jean-Pierre Mas, à la tribune du congrès AS Voyages, en a donc appelé Georges Colson le président du SNAV à réagir à ce « diktat » de l’IATA dont Air France (55% du BSP) est l’inspirateur.
Des solutions juridiques sont envisagées pour reculer la mise en application, voire pour annuler le futur dispositif.