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Le gouvernement italien va retirer les scanners corporels qu'il testait depuis six mois dans plusieurs aéroports. C'est ce que rapporte le quotidien italien Corriere della Sera.
Les scanners à Rome, Venise et Palerme ont déjà été arrêtés et Milan devrait suivre prochainement. L'autorité de l'aviation civile italienne (Enac) a réagi à ces informations affirmant que les tests étaient toujours en cours à Palerme.
Les scanners installés en Italie ne restituaient qu'une silhouette standardisée du passager, et les images des parties intimes du corps ne devaient pas rester visibles, afin d'enlever les craintes quant au caractère intrusif de ces appareils.
Seulement, c'est justement dans ces zones que peuvent être cachés des explosifs ou des armes. Se posait donc le problème de la fiabilité des scanners.
Les scanners achetés par l'Italie ont coûté environ 150 000 euros pièce. Un budget total de deux millions d'euros a été consacré à l'opération, selon le journal.
Les scanners à Rome, Venise et Palerme ont déjà été arrêtés et Milan devrait suivre prochainement. L'autorité de l'aviation civile italienne (Enac) a réagi à ces informations affirmant que les tests étaient toujours en cours à Palerme.
Les scanners installés en Italie ne restituaient qu'une silhouette standardisée du passager, et les images des parties intimes du corps ne devaient pas rester visibles, afin d'enlever les craintes quant au caractère intrusif de ces appareils.
Seulement, c'est justement dans ces zones que peuvent être cachés des explosifs ou des armes. Se posait donc le problème de la fiabilité des scanners.
Les scanners achetés par l'Italie ont coûté environ 150 000 euros pièce. Un budget total de deux millions d'euros a été consacré à l'opération, selon le journal.