Partir ainsi, lorsque l'on se nomme Alexandre Marie Henry (ou l'inverse) Begoügne de Juniac, pour tout vous dire, ça manque sacrément de panache - DR
Ce fut une belle surprise, particulièrement pour les syndicats de pilotes d'Air France.
Alexandre Marie Henry Begoügne de Juniac, leur président adoré, quitte le poste de pilotage de la compagnie.
Reconduisant du même coup Air France sur la voie de l'immobilisme… ou pas !
Tout dépendra en effet, de ce que vont décider les "sages" du comité des nominations, les conciliabules crachouillés dans les coulisses du pouvoir.
Car, du coup, rien n'est simple, malgré le sursaut de la compagnie, ses résultats enfin honorables qui restent malgré tout à consolider.
Alexandre Begoügne de Juniac, en toute objectivité, n'aura pas fini le boulot et c'est extrêmement regrettable.
Mais c'est toujours dans la difficulté que les hommes montrent hélas (ou heureusement) leur vraie nature.
Je ne reviendrais pas sur la situation de cette compagnie, cette belle compagnie ai-je envie d'exprimer, qui, comme le disait ce matin son futur ex-patron au micro de RTL, "n'est pas sauvée, mais elle est sortie de la zone à risques" !
Alexandre Marie Henry Begoügne de Juniac, leur président adoré, quitte le poste de pilotage de la compagnie.
Reconduisant du même coup Air France sur la voie de l'immobilisme… ou pas !
Tout dépendra en effet, de ce que vont décider les "sages" du comité des nominations, les conciliabules crachouillés dans les coulisses du pouvoir.
Car, du coup, rien n'est simple, malgré le sursaut de la compagnie, ses résultats enfin honorables qui restent malgré tout à consolider.
Alexandre Begoügne de Juniac, en toute objectivité, n'aura pas fini le boulot et c'est extrêmement regrettable.
Mais c'est toujours dans la difficulté que les hommes montrent hélas (ou heureusement) leur vraie nature.
Je ne reviendrais pas sur la situation de cette compagnie, cette belle compagnie ai-je envie d'exprimer, qui, comme le disait ce matin son futur ex-patron au micro de RTL, "n'est pas sauvée, mais elle est sortie de la zone à risques" !
Ben voyons ! Tandis que ses homologues européennes, telles British ou Lufthansa affichent des résultats financiers très honorables, Air France lève enfin le nez, grandement aidée par les tarifs du baril, devenus plus que raisonnables...
Parce que, il ne faut quand même pas trop se leurrer : l'attitude désinvolte et suicidaire des pilotes ne va pas dans le sens du redressement de la compagnie.
Et rien n'est réglé, après des mois et des mois de négociations, si tel est le terme judicieux dans des discussions qu'envieraient les marchands de tapis (sans aucune connotation péjorative pour les dits commerçants).
Partir ainsi, lorsque l'on se nomme Alexandre Marie Henry (ou l'inverse) Begoügne de Juniac, pour tout vous dire, ça manque sacrément de panache.
Surtout pour aller occuper un beau fauteuil, bien confortable avec vue sur le Lac Léman au siège de IATA, cette association de compagnies aériennes (le machin, comme l'aurait qualifié un vieux Général qui lui, en avait) qui fait la pluie et le beau temps sur le transport aérien mondial.
Et qui, au passage, méprise avec souveraineté ses distributeurs, agents de voyages…
Tiens, Juniac aurait pu se mettre sur les rangs du côté de l'Islande : le gouvernement cherche un nouveau premier ministre après que Sigmundur David Gunnlaugson s'est tiré ailleurs les flûtes parce que son entourage proche était cité dans les "Panama Papers" !
Mais basta, regardons plutôt l'avenir. Qui pour succéder à Juniac ?
Parce que, il ne faut quand même pas trop se leurrer : l'attitude désinvolte et suicidaire des pilotes ne va pas dans le sens du redressement de la compagnie.
Et rien n'est réglé, après des mois et des mois de négociations, si tel est le terme judicieux dans des discussions qu'envieraient les marchands de tapis (sans aucune connotation péjorative pour les dits commerçants).
Partir ainsi, lorsque l'on se nomme Alexandre Marie Henry (ou l'inverse) Begoügne de Juniac, pour tout vous dire, ça manque sacrément de panache.
Surtout pour aller occuper un beau fauteuil, bien confortable avec vue sur le Lac Léman au siège de IATA, cette association de compagnies aériennes (le machin, comme l'aurait qualifié un vieux Général qui lui, en avait) qui fait la pluie et le beau temps sur le transport aérien mondial.
Et qui, au passage, méprise avec souveraineté ses distributeurs, agents de voyages…
Tiens, Juniac aurait pu se mettre sur les rangs du côté de l'Islande : le gouvernement cherche un nouveau premier ministre après que Sigmundur David Gunnlaugson s'est tiré ailleurs les flûtes parce que son entourage proche était cité dans les "Panama Papers" !
Mais basta, regardons plutôt l'avenir. Qui pour succéder à Juniac ?
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Depuis l'annonce du départ, les supputations vont bon train. On a (et on continue d'ailleurs) à mentionner le nom de Guillaume Pépy, actuel patron de la SNCF. Ou encore celui d'Alexandre Bompard, patron de la Fnac ou encore celui de Thierry Antinori, quasi futur patron d'Emirates.
M'étonnerait bien que ce dernier accepte le poste…
Un Batave de KLM ? Ce serait surement une bonne idée, j'imagine bien le tollé que ceci (ou cela) provoquerait du côté des vrais dirigeants d'Air France, les pilotes !
Pourtant, malgré le fait qu'Air France ait "racheté" KLM, la fusion définitive n'est toujours pas accomplie. Et les Bataves en ont plus que marre de payer pour la gabegie d'Air France, alors qu'eux ont eu la délicatesse de se serrer la ceinture et de retrouver l'équilibre.
Frédéric Gagey, actuel patron d'Air France ? J'y crois pas trop, pas assez politique.
En revanche, mais pour ça faudrait un peu de bon sens, Lionel Guérin, lequel sans bruit ni mascarade, aura réussi la fusion délicate des diverses entités de Hop! (hop, hourra, désolé, je peux pas m'empêcher), ferait un excellent président.
Homme de dialogue, plein d'humour, pilote, gestionnaire honorable, ça ferait plutôt pas mal…
J'imagine bien son perroquet (authentique) dont j'ai oublié le nom, accueillant les syndicats… Lui ne manquerait pas de panache, tiens !
M'étonnerait bien que ce dernier accepte le poste…
Un Batave de KLM ? Ce serait surement une bonne idée, j'imagine bien le tollé que ceci (ou cela) provoquerait du côté des vrais dirigeants d'Air France, les pilotes !
Pourtant, malgré le fait qu'Air France ait "racheté" KLM, la fusion définitive n'est toujours pas accomplie. Et les Bataves en ont plus que marre de payer pour la gabegie d'Air France, alors qu'eux ont eu la délicatesse de se serrer la ceinture et de retrouver l'équilibre.
Frédéric Gagey, actuel patron d'Air France ? J'y crois pas trop, pas assez politique.
En revanche, mais pour ça faudrait un peu de bon sens, Lionel Guérin, lequel sans bruit ni mascarade, aura réussi la fusion délicate des diverses entités de Hop! (hop, hourra, désolé, je peux pas m'empêcher), ferait un excellent président.
Homme de dialogue, plein d'humour, pilote, gestionnaire honorable, ça ferait plutôt pas mal…
J'imagine bien son perroquet (authentique) dont j'ai oublié le nom, accueillant les syndicats… Lui ne manquerait pas de panache, tiens !