La CSAE réclame l’inscription de toutes les entreprises d’assistance en escale dans la liste S1 - Groupe ADP
La Chambre Syndicale d’Assistance en Escale, membre de la FNAM, a fait un point sur la situation, une année après le début de la crise.
Alors que les compagnies ont délégué les métiers de l'escale à des sous-traitants gérant ainsi le traitement et les transferts de passagers, le traitement des avions au sol, le traitement des bagages, la gestion et la maintenance des matériels de services aéroportuaires, etc.
Les effectifs de ces entreprises représentaient plus de 40 000 emplois en France fin 2019, notamment dans des bassins d’emploi très sensibles de la région Île-de-France et des grandes capitales régionales.
La crise sanitaire en cours a d’ores et déjà entrainé la perte de plus de 7000 emplois par la suppression quasi immédiate des emplois à durée déterminée et du travail temporaire inévitable dans nos secteurs soumis à de multiples effets de saisonnalités.
Si leur activité s'est arrêtée en même temps que celle des aéroports et compagnies aériennes, les entreprises d’assistance en escale n'ont pas été classées dans le secteur S1, comme les deux autres nommés, mais en S1 Bis.
Alors que les compagnies ont délégué les métiers de l'escale à des sous-traitants gérant ainsi le traitement et les transferts de passagers, le traitement des avions au sol, le traitement des bagages, la gestion et la maintenance des matériels de services aéroportuaires, etc.
Les effectifs de ces entreprises représentaient plus de 40 000 emplois en France fin 2019, notamment dans des bassins d’emploi très sensibles de la région Île-de-France et des grandes capitales régionales.
La crise sanitaire en cours a d’ores et déjà entrainé la perte de plus de 7000 emplois par la suppression quasi immédiate des emplois à durée déterminée et du travail temporaire inévitable dans nos secteurs soumis à de multiples effets de saisonnalités.
Si leur activité s'est arrêtée en même temps que celle des aéroports et compagnies aériennes, les entreprises d’assistance en escale n'ont pas été classées dans le secteur S1, comme les deux autres nommés, mais en S1 Bis.
Sans une prise en compte rapide de cette demande...
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Ainsi, elles ne bénéficient pas des aides du fonds de solidarité, impossibilité en pratique de mettre en œuvre les accords d’APLD, absence de réduction de coût sur le poste des loyers immobiliers, fermeture d’aérogare pour des durées longues, etc.
Afin de préserver le maximum d’emplois jusqu’à la reprise de l’activité et de garantir l’agilité nécessaire à cette reprise, une marge de manœuvre économique supérieure à celle dont disposent ces entreprises actuellement est indispensable d’autant que la reprise du trafic ne s’annonce que très progressive et très lointaine.
Dans ce contexte, nous demandons l’inscription de toutes les entreprises d’assistance en escale dans la liste S1 des entreprises éligibles au fonds de solidarité.
Sans une prise en compte rapide de cette demande, il ne sera non seulement pas possible de répondre aux besoins qui seront exprimés à l’heure de la reprise de l’activité, mais aussi de maintenir en activité une bonne partie de ces sociétés
Afin de préserver le maximum d’emplois jusqu’à la reprise de l’activité et de garantir l’agilité nécessaire à cette reprise, une marge de manœuvre économique supérieure à celle dont disposent ces entreprises actuellement est indispensable d’autant que la reprise du trafic ne s’annonce que très progressive et très lointaine.
Dans ce contexte, nous demandons l’inscription de toutes les entreprises d’assistance en escale dans la liste S1 des entreprises éligibles au fonds de solidarité.
Sans une prise en compte rapide de cette demande, il ne sera non seulement pas possible de répondre aux besoins qui seront exprimés à l’heure de la reprise de l’activité, mais aussi de maintenir en activité une bonne partie de ces sociétés