JP Mas a offert à Raoul un bouquet de fleurs à l'occasion du 50e anniversaire de l'APST /photo Jdl
Parce qu'il faut pas trop le gonfler, le Raoul...
Et que dans son discours d'ouverture, malgré sa bonhomie naturelle, son air à la Paul Prébois (désolé les plus jeunes, vous connaissez pas), trop c'est trop.
Et que l'APST ne mérite pas que certains individus sans trop de scrupules, tentent de mettre en péril une institution "indispensable" à la profession.
Le "Indispensable", c'est pas moi qui le dit, c'est le président Mas, ami fidèle (mais néanmoins nuancé dans sa fidélité).
Mais dans son parler à deux étages, Raoul est d'une grande finesse.
Bonne entente, c'est une façon pour "faire de la bonne politique et faire avancer les choses".
Et donc, à l'instar du Raoul Volfoni des Tontons Flingueurs, pas question "de raviver les débats sur la garantie" (financière, ndDG).
Parce que, pour Raoul, le nôtre, les "tentatives de déstabilisation que l'association a dû subir" ne sont dues qu'à la malveillance d'un certain individu, soucieux de son propre (façon de parler) ego !
Et que dans son discours d'ouverture, malgré sa bonhomie naturelle, son air à la Paul Prébois (désolé les plus jeunes, vous connaissez pas), trop c'est trop.
Et que l'APST ne mérite pas que certains individus sans trop de scrupules, tentent de mettre en péril une institution "indispensable" à la profession.
Le "Indispensable", c'est pas moi qui le dit, c'est le président Mas, ami fidèle (mais néanmoins nuancé dans sa fidélité).
Mais dans son parler à deux étages, Raoul est d'une grande finesse.
Bonne entente, c'est une façon pour "faire de la bonne politique et faire avancer les choses".
Et donc, à l'instar du Raoul Volfoni des Tontons Flingueurs, pas question "de raviver les débats sur la garantie" (financière, ndDG).
Parce que, pour Raoul, le nôtre, les "tentatives de déstabilisation que l'association a dû subir" ne sont dues qu'à la malveillance d'un certain individu, soucieux de son propre (façon de parler) ego !
Je n'hésite d'ailleurs pas à citer Michel Audiard, concernant ce personnage : "Mais y connaît pas Raoul ce mec ! Y va avoir un réveil pénible... J'ai voulu être diplomate à cause de vous tous, éviter qu'le sang coule... Mais maintenant c'est fini...
Je vais le travailler en férocité... le faire marcher à coups de lattes... A ma pogne je veux le voir... Et je vous promets qu'il demandera pardon !... Et au garde-à-vous !"
Et là, il frappe fort, le président de cette APST qui, en quelques années de mandat, s'est forgé une réputation de rigueur et de sérieux et qui veut
transmettre à ses successeurs la bonne volonté et les outils nécessaires à cette pérennité.
Fumisterie, finalement que tous ces "départs" d'adhérents qui ne font courir aucun risque à la Caisse de Solidarité du Tourisme.
Ces "gros" ont effectivement pu voir, dans un instant d'émotion, l'aspect financier plus intéressant de s'adresser à un autre garant moins cher.
Ceux-là ont raison. Je pense, bien entendu à mon ami (peut-être que nous ne le serons plus demain), Rial et son complice associé Capestan (comme le film) qui, par souci de gestion, ont diminué leurs coûts.
Normal, eux, ne risquent pas grand-chose…
Je vais le travailler en férocité... le faire marcher à coups de lattes... A ma pogne je veux le voir... Et je vous promets qu'il demandera pardon !... Et au garde-à-vous !"
Et là, il frappe fort, le président de cette APST qui, en quelques années de mandat, s'est forgé une réputation de rigueur et de sérieux et qui veut
transmettre à ses successeurs la bonne volonté et les outils nécessaires à cette pérennité.
Fumisterie, finalement que tous ces "départs" d'adhérents qui ne font courir aucun risque à la Caisse de Solidarité du Tourisme.
Ces "gros" ont effectivement pu voir, dans un instant d'émotion, l'aspect financier plus intéressant de s'adresser à un autre garant moins cher.
Ceux-là ont raison. Je pense, bien entendu à mon ami (peut-être que nous ne le serons plus demain), Rial et son complice associé Capestan (comme le film) qui, par souci de gestion, ont diminué leurs coûts.
Normal, eux, ne risquent pas grand-chose…
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Mais je ne les soupçonne pas d'avoir conclu un pacte avec le diable, déguisé en militaire au grade que n'importe quel troufion d'une armée d'Afrique s'affuble avec volupté !
Il fait encore plus fort, le Raoul, en démontrant tous les mensonges éhontés que proférait (et peut-être profère encore) ce personnage, notamment que "la cotisation exceptionnelle ne serait jamais remboursée".
Ben si, cette cotisation a été déduite de l'appel à cotises de 2015.
Et cette Caisse de Solidarité, largement décriée, termine son exercice en bénéfice. Au bénéfice de tous ses adhérents.
Quant aux projets futurs et leur mise en place, que devra réaliser le suivant, Raoul n'ayant plus qu'un an de mandat, nul doute que ce soit la bonne idée. Au bénéfice de tous les adhérents.
Et je parie fort que le suivant, ou plutôt la suivante, saura largement se montrer à la hauteur du job.
Cette dame, dont le patronyme rime avec petit patapon, poursuivra l'œuvre avec constance, mais arrivera à y apporter une touche de grande tenue.
C'est non seulement un espoir, mais aussi un objectif indispensable. Et, à l'occasion, sera peut-être le maitre d'œuvre de ce grand ménage indispensable à la profession… et à ceux qui la polluent.
Tendance, n'est-il pas ?
Il fait encore plus fort, le Raoul, en démontrant tous les mensonges éhontés que proférait (et peut-être profère encore) ce personnage, notamment que "la cotisation exceptionnelle ne serait jamais remboursée".
Ben si, cette cotisation a été déduite de l'appel à cotises de 2015.
Et cette Caisse de Solidarité, largement décriée, termine son exercice en bénéfice. Au bénéfice de tous ses adhérents.
Quant aux projets futurs et leur mise en place, que devra réaliser le suivant, Raoul n'ayant plus qu'un an de mandat, nul doute que ce soit la bonne idée. Au bénéfice de tous les adhérents.
Et je parie fort que le suivant, ou plutôt la suivante, saura largement se montrer à la hauteur du job.
Cette dame, dont le patronyme rime avec petit patapon, poursuivra l'œuvre avec constance, mais arrivera à y apporter une touche de grande tenue.
C'est non seulement un espoir, mais aussi un objectif indispensable. Et, à l'occasion, sera peut-être le maitre d'œuvre de ce grand ménage indispensable à la profession… et à ceux qui la polluent.
Tendance, n'est-il pas ?