Même si AMR a obtenu la semaine dernière un nouveau report de sa sortie du Chapter 11 jusqu' au 15 avril, il semble que la pression mise par les créanciers d'American Airlines sur le CEO Tom Horton pour aboutir à un accord rapidement ait débloqué plusieurs points jusque là sujets de dissension.
D'après plusieurs sources américaines et notamment le Wall Street Journal, la valeur de la nouvelle compagnie née du rapprochement des deux entités atteindrait 10 milliards de dollars.
Les créanciers d'AMR se partageraient 72% des parts tandis que les actionnaires de US Airways détiendraient les 28% restant.
Une source US Airways estime que le revenu additionnel né de la fusion avoisinerait 1,2 milliard de dollars.
Le groupe ainsi formé de la troisième et la cinquième des compagnies américaines prendrait la première place en terme de trafic et de capacité devant United et Delta.
Le scenario se fait plus certain d'une prise du pouvoir par Doug Parker, le patron de US Airways tandis que Tom Horton, le patron d'American se verrait attribuer la présidence.
D'après plusieurs sources américaines et notamment le Wall Street Journal, la valeur de la nouvelle compagnie née du rapprochement des deux entités atteindrait 10 milliards de dollars.
Les créanciers d'AMR se partageraient 72% des parts tandis que les actionnaires de US Airways détiendraient les 28% restant.
Une source US Airways estime que le revenu additionnel né de la fusion avoisinerait 1,2 milliard de dollars.
Le groupe ainsi formé de la troisième et la cinquième des compagnies américaines prendrait la première place en terme de trafic et de capacité devant United et Delta.
Le scenario se fait plus certain d'une prise du pouvoir par Doug Parker, le patron de US Airways tandis que Tom Horton, le patron d'American se verrait attribuer la présidence.
Prise du pouvoir par Doug Parker, le patron de US Airways ?
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Les pilotes de US Airways doivent se prononcer sur le projet ce vendredi tandis que les conseils d'administration des deux entreprises pourraient le faire en début de semaine prochaine.
Il resterait ensuite à rationaliser le trafic qui opère aujourd'hui depuis huit hubs, trois pour US Airways, Charlotte, Philadelphie et Phoenix et cinq pour American, New York, Chicago, Miami, Dallas et Los Angeles.
Comme pour le rapprochement de United et Continental Airlines, la véritable fusion des réseaux et des équipes prendra plusieurs mois, voire plusieurs années. Logiquement, le nouvel American renforcerait sa position au sein de l'alliance Oneworld.
Mais comme le fait remarquer un observateur américain, les quatre premiers groupes à la tête du transport aérien commercial américain seraient en bonne santé : American, United, Delta et Southwest. Trois "legacy carriers" et une low cost mais tous auront procédé à des fusions pour y arriver.
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