«Nous sommes en discussion avec la Swiss » nous confiait voilà quelques jours son directeur, Tom Ericsson. Créée le 10 septembre 2001 (!) par Lars Magnusson, cette filiale de STS, l’un des plus gros TO privés du pays tourné vers le séjour linguistique et le séjour ski (150 000 PAX en 2004), s’est spécialisée dans le transport « affaires ».
Elle relie déjà Göteborg à Helsinki (avec FinAir), Manchester, Birmingham (avec British Midland), et tout récemment Milan (avec Air Italia) et Lyon. « Nous visons plutôt les deuxièmes villes économiques» précise son responsable.
Autre dénominateur commun de ces cités : la plupart sont plutôt tournées vers l’industrie lourde, voire l’industrie automobile à l’instar de Göteborg, siège de Volvo. L’ ouverture, le 28 mars dernier, de la ligne vers Lyon (deux rotations quotidiennes du lundi au vendredi, et un vol de dimanche) repose d’ailleurs en grande partie sur le trafic business généré par l’entrée de Renault Véhicules Industriels dans le giron de Volvo.
Une huitième liaison, avec Boston, Boston ou New York en 2005 ?
« 75 à 80 % des sièges sur Lyon ou Manchester sont directement liés à l’industrie automobile » confirme Tom Ericsson. Ce positionnement pourrait d’ailleurs conduire City Airline à ouvrir une huitième liaison, avec Boston, en 2005. Boston ou New York ? Le choix n’est pas encore fait.
Disposant de 3 Embraer ERJ, cette société de 60 salariés espère équilibrer ses comptes après une année 2003 achevée avec 900 000 E de pertes. City Airline table sur 100 000 Pax et un CA de 25 ME en 2004 et sur un bénéfice de 250 000 E en 2005.
Elle dispose aujourd’hui d’une centrale de réservation de deux personnes sur Paris et d’une commerciale, Géraldine Brion, sur Lyon. « Nous espérons atteindre les 25 000 passagers par an sur Lyon. Des hommes d’affaires d’abord, mais aussi des touristes, suédois et rhonalpins » conclut Tom Ericsson.
Elle relie déjà Göteborg à Helsinki (avec FinAir), Manchester, Birmingham (avec British Midland), et tout récemment Milan (avec Air Italia) et Lyon. « Nous visons plutôt les deuxièmes villes économiques» précise son responsable.
Autre dénominateur commun de ces cités : la plupart sont plutôt tournées vers l’industrie lourde, voire l’industrie automobile à l’instar de Göteborg, siège de Volvo. L’ ouverture, le 28 mars dernier, de la ligne vers Lyon (deux rotations quotidiennes du lundi au vendredi, et un vol de dimanche) repose d’ailleurs en grande partie sur le trafic business généré par l’entrée de Renault Véhicules Industriels dans le giron de Volvo.
Une huitième liaison, avec Boston, Boston ou New York en 2005 ?
« 75 à 80 % des sièges sur Lyon ou Manchester sont directement liés à l’industrie automobile » confirme Tom Ericsson. Ce positionnement pourrait d’ailleurs conduire City Airline à ouvrir une huitième liaison, avec Boston, en 2005. Boston ou New York ? Le choix n’est pas encore fait.
Disposant de 3 Embraer ERJ, cette société de 60 salariés espère équilibrer ses comptes après une année 2003 achevée avec 900 000 E de pertes. City Airline table sur 100 000 Pax et un CA de 25 ME en 2004 et sur un bénéfice de 250 000 E en 2005.
Elle dispose aujourd’hui d’une centrale de réservation de deux personnes sur Paris et d’une commerciale, Géraldine Brion, sur Lyon. « Nous espérons atteindre les 25 000 passagers par an sur Lyon. Des hommes d’affaires d’abord, mais aussi des touristes, suédois et rhonalpins » conclut Tom Ericsson.