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La couverture de la brochure Printemps-Eté 2006
TourMaG.com - Quels effets a eu pour vous la mise en place de ce nouveau système de commissionnement ?
Céline Fleury : « Ici, nous n’avons senti aucun changement. J’en ai d’ailleurs été très surprise. La billetterie représente seulement 20% de nos ventes, et à part une augmentation de la partie informatique du traitement des commandes, ça n’a rien changé pour nous.
Il faut dire que nous appliquons une grille de frais qui est apparemment la moins chère sur la région par rapport à la concurrence. Quand d’autres agences demandent 25 euros sur un billet métropole, nous n’en prenons que 15. Ça fait vite la différence. »
T.M.com - Comment a réagi la clientèle ?
Céline Fleury :]b « Bien, sans problème. Nous leur avons bien expliqué, et nous leur proposons des prix de billets frais inclus. Ça passe très bien, même si ça reste un peu plus cher que sur le web, mais ça, les clients en reviennent vite. Ils essaient une fois de se débrouiller seuls avec les billets internet et ensuite, ils reviennent nous voir.
Ils ont confiance en nous. Depuis dix ans que l’agence est ouverte dans le centre commercial, nous avons fidélisé une clientèle parce qu’ils savent que nous cherchons toujours le meilleur prix pour eux. C’est la politique Leclerc. »
T.M.com - Face à cette nouvelle donne, l'appartenance à un réseau vous a-t-elle aidés ?
Céline Fleury : « Bien sûr. Tout le travail de calcul et de modification des logiciels a été fait en amont par Leclerc. Nous avons reçu la nouvelle norme clés en main le jour J. Sans problèmes. »
T.M.com - Vos relations avec les compagnies aériennes ont-elles changé ?
Céline Fleury : « Non, parce que nous avons gardé la même philosophie. Même si nous pouvons gagner un peu plus en discutant avec certaines compagnies, l’objectif reste le billet le moins cher pour le client. C’est notre image de marque. Il faut dire que pour le moment, et pendant encore deux ans, nous avons un accord de subvention particulier avec Air France, qui reste notre fournisseur principal. Et pour le moment, cela nous permet de rester moins chers. »
T.M.com - Alors finalement, dix mois plus tard, contente ou pas contente ?
Céline Fleury : « Franchement je ne vois pas de changement. Juste plus de travail et de complications informatiques. Mais ici, le moins cher est la règle et nous la respectons toujours. On pourra en reparler dans deux ans, quand l’accord avec Air France sera renégocié. Là il faudra sans doute augmenter les frais et peut-être alors cela coincera-t-il… »
Céline Fleury : « Ici, nous n’avons senti aucun changement. J’en ai d’ailleurs été très surprise. La billetterie représente seulement 20% de nos ventes, et à part une augmentation de la partie informatique du traitement des commandes, ça n’a rien changé pour nous.
Il faut dire que nous appliquons une grille de frais qui est apparemment la moins chère sur la région par rapport à la concurrence. Quand d’autres agences demandent 25 euros sur un billet métropole, nous n’en prenons que 15. Ça fait vite la différence. »
T.M.com - Comment a réagi la clientèle ?
Céline Fleury :]b « Bien, sans problème. Nous leur avons bien expliqué, et nous leur proposons des prix de billets frais inclus. Ça passe très bien, même si ça reste un peu plus cher que sur le web, mais ça, les clients en reviennent vite. Ils essaient une fois de se débrouiller seuls avec les billets internet et ensuite, ils reviennent nous voir.
Ils ont confiance en nous. Depuis dix ans que l’agence est ouverte dans le centre commercial, nous avons fidélisé une clientèle parce qu’ils savent que nous cherchons toujours le meilleur prix pour eux. C’est la politique Leclerc. »
T.M.com - Face à cette nouvelle donne, l'appartenance à un réseau vous a-t-elle aidés ?
Céline Fleury : « Bien sûr. Tout le travail de calcul et de modification des logiciels a été fait en amont par Leclerc. Nous avons reçu la nouvelle norme clés en main le jour J. Sans problèmes. »
T.M.com - Vos relations avec les compagnies aériennes ont-elles changé ?
Céline Fleury : « Non, parce que nous avons gardé la même philosophie. Même si nous pouvons gagner un peu plus en discutant avec certaines compagnies, l’objectif reste le billet le moins cher pour le client. C’est notre image de marque. Il faut dire que pour le moment, et pendant encore deux ans, nous avons un accord de subvention particulier avec Air France, qui reste notre fournisseur principal. Et pour le moment, cela nous permet de rester moins chers. »
T.M.com - Alors finalement, dix mois plus tard, contente ou pas contente ?
Céline Fleury : « Franchement je ne vois pas de changement. Juste plus de travail et de complications informatiques. Mais ici, le moins cher est la règle et nous la respectons toujours. On pourra en reparler dans deux ans, quand l’accord avec Air France sera renégocié. Là il faudra sans doute augmenter les frais et peut-être alors cela coincera-t-il… »