Christophe Aniel, directeur général d'Elvia, et Jean-Charles Aubert, pdg de Lifecarte
Fini les médicaments emportés de crainte qu’on ne sache pas vous soigner sur votre lieu de farniente ? Fini le morceau de papier avec le numéro du médecin de famille, qui, éloignement oblige, rassure plus qu’il ne soigne ? Fini ? Non, peut-être pas. Mais une chose est sûre, c’est que la Lifecarte s’apprête à renforcer vivement le volet assistance des contrats de voyages.
La Lifecarte, disons le franchement, n’a rien de banal. Couronnée de deux prix lors du mondial de la carte à puce en 2003, cette innovation 100 % française est tout simplement destinée à vous sauver la vie, par le biais d’un objet devenu universel, le téléphone portable, avec ou sans réseau, sans code, et où que vous soyez dans le monde, à l’exception du Japon, qui utilise un autre standard que le GSM.
Sur cette puce « Sim » figure l’essentiel de vos données personnelles et médicales, préalablement enregistrées. L’idée, en cas d’accident ou de malaise, est de permettre, à vous ou à un tiers, d’optimiser votre prise en charge, en informant, via l’écran de votre mobile, les secours de votre identité, de votre morphologie, et des données clés de votre parcours médical (cardiaque, diabétique, asthmatique, etc...)
Une puce de voyage
S’ajoute à cela une astuce indispensable : pour palier la barrière de la langue, les informations sont traduites en six langues. Initiée il y a trois ans par Jean-Charles Aubert, président de la société Célavie (aujourd’hui Célavie Lifecarte), la formule pourrait rapidement faire mouche auprès des Tours opérateurs et des agences de voyages.
Soucieux de proposer à leurs clients le meilleur package possible en matière d’assistance, vous seriez d’ailleurs déjà quelques-uns à avoir intégré ou à avoir envisagé d’intégrer ce sésame technologique aux contrats d’assistance traditionnels. On comprend dès lors pourquoi le président affiche « des objectifs très ambitieux ».
Spécialisée dans les voyages et la mobilité au sens large, la filiale de Mondial Assistance Elvia, par la voix de Christophe Aniel, son directeur général, décrit la Lifecarte comme « un outil de fidélisation formidable » aux yeux des acteurs du tourisme.
Il rappelle que la sécurité des voyageurs est un critère de plus en plus important dans le choix d’un séjour et estime ainsi qu’en là matière, très bientôt, les agences et T.O auront donc un argument supplémentaire pour rassurer le client, qu’il s’agisse d’un voyage purement détente ou d’un voyage d’affaires. Actuellement, la cotisation grand public est de 20 euros par an. Pour partir le cœur léger, c’est relativement donné…
La Lifecarte, disons le franchement, n’a rien de banal. Couronnée de deux prix lors du mondial de la carte à puce en 2003, cette innovation 100 % française est tout simplement destinée à vous sauver la vie, par le biais d’un objet devenu universel, le téléphone portable, avec ou sans réseau, sans code, et où que vous soyez dans le monde, à l’exception du Japon, qui utilise un autre standard que le GSM.
Sur cette puce « Sim » figure l’essentiel de vos données personnelles et médicales, préalablement enregistrées. L’idée, en cas d’accident ou de malaise, est de permettre, à vous ou à un tiers, d’optimiser votre prise en charge, en informant, via l’écran de votre mobile, les secours de votre identité, de votre morphologie, et des données clés de votre parcours médical (cardiaque, diabétique, asthmatique, etc...)
Une puce de voyage
S’ajoute à cela une astuce indispensable : pour palier la barrière de la langue, les informations sont traduites en six langues. Initiée il y a trois ans par Jean-Charles Aubert, président de la société Célavie (aujourd’hui Célavie Lifecarte), la formule pourrait rapidement faire mouche auprès des Tours opérateurs et des agences de voyages.
Soucieux de proposer à leurs clients le meilleur package possible en matière d’assistance, vous seriez d’ailleurs déjà quelques-uns à avoir intégré ou à avoir envisagé d’intégrer ce sésame technologique aux contrats d’assistance traditionnels. On comprend dès lors pourquoi le président affiche « des objectifs très ambitieux ».
Spécialisée dans les voyages et la mobilité au sens large, la filiale de Mondial Assistance Elvia, par la voix de Christophe Aniel, son directeur général, décrit la Lifecarte comme « un outil de fidélisation formidable » aux yeux des acteurs du tourisme.
Il rappelle que la sécurité des voyageurs est un critère de plus en plus important dans le choix d’un séjour et estime ainsi qu’en là matière, très bientôt, les agences et T.O auront donc un argument supplémentaire pour rassurer le client, qu’il s’agisse d’un voyage purement détente ou d’un voyage d’affaires. Actuellement, la cotisation grand public est de 20 euros par an. Pour partir le cœur léger, c’est relativement donné…
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Pratique : Renseignements sur le partenariat Elvia et Lifecarte sur le web, www.lifecarte.net ou www.elvia.fr. Informations au siège de Célavie Lifecarte, 138 bd Haussmann 75 008 PARIS, tel : 01 41 34 04 51.