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En présentant hier sa production 2008/2009 qui inclut trois nouvelles destinations long-courriers Hervé Vighier a tenu à mettre fin à certaines idées reçues dont souffrirait encore Marmara.
Alors qu'on se le dise, statistiques et chiffres étayés à l'appui, Marmara n'est pas « le » TO du bas de gamme ou de l'entrée de gamme et surtout ne pas associer prix bas à produits médiocres.
Tout cela, c'est du passé !
La production maison monte en gamme. Elle donne même une belle part (20 %) à une hôtellerie haut de gamme. 25% des 450 000 clients Clubs Marmara portent leur choix sur un 5*. Sur les 70 000 clients forfaits hôtels, 28 000 vont dans des établissements dits de Prestige.
10 % des 35 000 croisières vendues concernent des bateaux 5*. 17 % partent en formule « Circuits », « Croisières », « Thalasso », « Aventures ».
Ce que revendique le président de Marmara, ce sont ses prix. Ils les veut les plus bas du marché. C'est « sa » politique pour un tourisme « industriel » qu'il ne renie pas. Objectif atteint !
Plutôt probants, une série de tableaux comparatifs très fouillés font en effet ressortir des écarts de 15 à 25 % par rapport à ses concurrents sur de mêmes produits. Il s'en explique.
Alors qu'on se le dise, statistiques et chiffres étayés à l'appui, Marmara n'est pas « le » TO du bas de gamme ou de l'entrée de gamme et surtout ne pas associer prix bas à produits médiocres.
Tout cela, c'est du passé !
La production maison monte en gamme. Elle donne même une belle part (20 %) à une hôtellerie haut de gamme. 25% des 450 000 clients Clubs Marmara portent leur choix sur un 5*. Sur les 70 000 clients forfaits hôtels, 28 000 vont dans des établissements dits de Prestige.
10 % des 35 000 croisières vendues concernent des bateaux 5*. 17 % partent en formule « Circuits », « Croisières », « Thalasso », « Aventures ».
Ce que revendique le président de Marmara, ce sont ses prix. Ils les veut les plus bas du marché. C'est « sa » politique pour un tourisme « industriel » qu'il ne renie pas. Objectif atteint !
Plutôt probants, une série de tableaux comparatifs très fouillés font en effet ressortir des écarts de 15 à 25 % par rapport à ses concurrents sur de mêmes produits. Il s'en explique.
200 salariés pour plus d'un million de clients
Ses prix sont les plus bas grâce au talent d'acheteur de ses équipes à la tête desquelles Florian Vighier donne le ton, à ses engagements annuels linéaires hôteliers et aériens, à son leadership en matière de départs de province, à sa puissance d'achat et sa rigueur de gestion.
« Nous avons la meilleure productivité du marché et les frais généraux les plus bas du marché » insiste le président de Marmara.
Cela se traduit par 200 salariés pour 1 065 000 clients (nov. 2006 – oct. 2007), un volume d'affaires concentré sur six destinations moyen-courriers de 479, 481 M€ (contre 407,911 pour l'exercice précédent) et un résultat de 9,848 M€ (oc. 2007).
Quid des chiffres 2008 ? « Nos actionnaires sont très contents » se contentera de répondre Hervé Vighier.
Et les tendances 2009 ? « Difficile en raison des secousses financières qui touche l'épargne ». Des inquiétudes sur les résultats ? « i[Hors la crise du golfe, nous n'avons jamais perdu de l'argent ».
A voir les chiffres du service après vente, les clients semblent également satisfaits. Les questionnaires de satisfactions sont donnent des bons points. Sur 24 712 questionnaires analysés, ils sont 92 % à se dire satisfaits, 87 % à déclarer repartir volontiers avec Marmara et 86 à bien vouloir recommander Marmara à des amis. Note globale d'appréciation étant de 3,96 sur 5.
De son côté, le taux de litige en est à 2,83 %. Objectif 2009 : passer sous la barre des 2,5 %. Quant au délai de réponse, le calcul est précis : 9,11 jours d'attente tout en s'accordant trois semaines au maximum.
« Nous avons la meilleure productivité du marché et les frais généraux les plus bas du marché » insiste le président de Marmara.
Cela se traduit par 200 salariés pour 1 065 000 clients (nov. 2006 – oct. 2007), un volume d'affaires concentré sur six destinations moyen-courriers de 479, 481 M€ (contre 407,911 pour l'exercice précédent) et un résultat de 9,848 M€ (oc. 2007).
Quid des chiffres 2008 ? « Nos actionnaires sont très contents » se contentera de répondre Hervé Vighier.
Et les tendances 2009 ? « Difficile en raison des secousses financières qui touche l'épargne ». Des inquiétudes sur les résultats ? « i[Hors la crise du golfe, nous n'avons jamais perdu de l'argent ».
A voir les chiffres du service après vente, les clients semblent également satisfaits. Les questionnaires de satisfactions sont donnent des bons points. Sur 24 712 questionnaires analysés, ils sont 92 % à se dire satisfaits, 87 % à déclarer repartir volontiers avec Marmara et 86 à bien vouloir recommander Marmara à des amis. Note globale d'appréciation étant de 3,96 sur 5.
De son côté, le taux de litige en est à 2,83 %. Objectif 2009 : passer sous la barre des 2,5 %. Quant au délai de réponse, le calcul est précis : 9,11 jours d'attente tout en s'accordant trois semaines au maximum.
10 000 clients long-courriers attendus
Sans conteste, sur ses 5 de ses 6 destinations, à savoir Majorque, la Tunisie, la Turquie, l'Egypte et le Maroc, Marmara joue seul en tête - et de loin - sur le marché français. Seul Héliades lui tient la dragée haute sur la Grèce et la Crète (Chypre Inclus).
« Le marché ne grandit plus... Tout juste 3 à 4 % » reconnaissait hier Hervé Vighier. En réponse à un marché qui stagne Marmara élargit son offre en renoue avec les destinations long-courriers. Il avait en effet déjà programmé avec des fortunes diverses le Kenya, la Thaïlande et le Brésil.
Le TO concentre sa programmation long-courrier sur trois destinations, Maurice, la République Dominicaine et le Kenya avec dix produits dont une exclusivité à Maurice.
Trois hôtels sont programmés à Maurice dont une exclusivité « maison », l'Hôtel Marmara le Surcouf, une petite structure familiale rénovée de 55 chambres située directement sur la plage en formule « tout compris » avec animation. La Palmeraie (4*) et le Maritim (4* sup) situé sur la côte ouest complètent cette production.
Trois hôtels ont été retenus à la République Dominicaine, le Barcelo Puerto Plata (4*), le Barcelo Punta Cana (4* sup) et le Tropical Club, un all inclusive 3* vendu à partir de 999 euros et jusqu'à 1 499 euros la semaine en fonction des dates de départ (soit un panier moyen de 1 164 euros
Au Kenya Marmara a retenu pour ses séjours balnéaires la formule « tout compris » du Baobab Sea Lodge (3*), un petit hôtel de confort simple de 30 chambres situé directement sur la plage.
La programmation inclut un safari d'une semaine ( panier moyen 2 039 euros) et 2 séjours combinés : « Plage & Savane » (5 nuits en formule « tout compris » complété par un safari de 2 nuits dans le parc de Tsavo ) et « Rêve d'Afrique » (5 jours de safari dans les réserves Masaï Mara, Amboseli, Tsavo suivi de 2 jours de détente au Baobab Sea Lodge) en vols directs Paris/Nairobi et retour Monbasa/Paris.
« Le marché ne grandit plus... Tout juste 3 à 4 % » reconnaissait hier Hervé Vighier. En réponse à un marché qui stagne Marmara élargit son offre en renoue avec les destinations long-courriers. Il avait en effet déjà programmé avec des fortunes diverses le Kenya, la Thaïlande et le Brésil.
Le TO concentre sa programmation long-courrier sur trois destinations, Maurice, la République Dominicaine et le Kenya avec dix produits dont une exclusivité à Maurice.
Trois hôtels sont programmés à Maurice dont une exclusivité « maison », l'Hôtel Marmara le Surcouf, une petite structure familiale rénovée de 55 chambres située directement sur la plage en formule « tout compris » avec animation. La Palmeraie (4*) et le Maritim (4* sup) situé sur la côte ouest complètent cette production.
Trois hôtels ont été retenus à la République Dominicaine, le Barcelo Puerto Plata (4*), le Barcelo Punta Cana (4* sup) et le Tropical Club, un all inclusive 3* vendu à partir de 999 euros et jusqu'à 1 499 euros la semaine en fonction des dates de départ (soit un panier moyen de 1 164 euros
Au Kenya Marmara a retenu pour ses séjours balnéaires la formule « tout compris » du Baobab Sea Lodge (3*), un petit hôtel de confort simple de 30 chambres situé directement sur la plage.
La programmation inclut un safari d'une semaine ( panier moyen 2 039 euros) et 2 séjours combinés : « Plage & Savane » (5 nuits en formule « tout compris » complété par un safari de 2 nuits dans le parc de Tsavo ) et « Rêve d'Afrique » (5 jours de safari dans les réserves Masaï Mara, Amboseli, Tsavo suivi de 2 jours de détente au Baobab Sea Lodge) en vols directs Paris/Nairobi et retour Monbasa/Paris.