La discussion a porté sur deux points : les nouveaux droits de trafic et fréquences entre Paris et Tana et vice versa, et l'application de nouveaux tarifs par les compagnies aériennes.
Sur ces deux points, le gouvernement malgache serait prêt à accéder aux requêtes françaises et une augmentation des fréquences de vol des compagnies françaises en direction de la Grande Ile est attendue. Elles seraient portées à six “touchés” pour la flotte européenne au départ de Paris, à charge ensuite à Air France et à Corsair de se les répartir entre elles.
Air France et Corsair devront se répartir le quota]b
Corsair envisage déjà de programmer 2 Boeing 747 d'une capacité de 500 places, au lieu des 350 passagers actuels. De son côté, Air Madagascar aura droit à quatre “touchés” sur Paris avec le second Boeing 767, arrivé à Ivato et qui sera mis en activité ce mois-ci.
En ce qui concerne la baisse des tarifs, Corsair sera autorisée à les baisser en direction d'Antananarivo, mais à concurrence de ceux que cette compagnie pratique vers la Réunion.
"En contrepartie de ces concessions, les autorités de l'aviation civile malgache voudraient qu'au moins 60% des dépenses touristiques des visiteurs dans leur pays ou des tour-opérateurs soient effectuées sur place."
Sur ces deux points, le gouvernement malgache serait prêt à accéder aux requêtes françaises et une augmentation des fréquences de vol des compagnies françaises en direction de la Grande Ile est attendue. Elles seraient portées à six “touchés” pour la flotte européenne au départ de Paris, à charge ensuite à Air France et à Corsair de se les répartir entre elles.
Air France et Corsair devront se répartir le quota]b
Corsair envisage déjà de programmer 2 Boeing 747 d'une capacité de 500 places, au lieu des 350 passagers actuels. De son côté, Air Madagascar aura droit à quatre “touchés” sur Paris avec le second Boeing 767, arrivé à Ivato et qui sera mis en activité ce mois-ci.
En ce qui concerne la baisse des tarifs, Corsair sera autorisée à les baisser en direction d'Antananarivo, mais à concurrence de ceux que cette compagnie pratique vers la Réunion.
"En contrepartie de ces concessions, les autorités de l'aviation civile malgache voudraient qu'au moins 60% des dépenses touristiques des visiteurs dans leur pays ou des tour-opérateurs soient effectuées sur place."