Sur ces deux nouvelles lignes, qui ouvriront le 11 mai prochain, French Bee viendra concurrencer Air France et Air Tahiti Nui, qui ont déjà tous deux revu leurs prix à la baisse, ou créé des tarifs sans bagage pour s'aligner sur l'offre low-cost © French Bee
Après La Réunion, la nouvelle "abeille" française compte bien se faire une place de choix dans le ciel tahitien.
Pour Sophie Hocquez, directrice commerciale de French Bee, le lancement de la nouvelle ligne Paris-Papeete, via San-Francisco, est en effet déjà un succès.
Quelques semaines après les premières commercialisations, les premières ventes démarrent "très bien", et "le marché réagit très positivement", indique-t-elle.
Les ventes de toutes les liaisons sont déjà ouvertes, à l'exception des San-Francisco-Papeete, qui le seront dans quelques jours pour des questions de réglementations avec les autorités américaines. Les objectifs en termes de pax ou de taux de remplissage sur la première année d'exploitation restent, eux, confidentiels.
"De plus, la réaction des professionnels du tourisme thitiens est extrêmement favorable, ils sont contents de voir arriver un nouvel opérateur qui leur permet d'élargir leur cible de clientèle", ajoute Sophie Hocquez, évoquant un workshop B2B qui s'est tenu mardi 13 mars.
Pour relier la Polynésie à la métropole et à la Californie, French Bee a en effet pu compter sur l'appui des autorités locales et notamment de Tahiti Tourisme.
Sur ces deux nouvelles lignes, qui ouvriront le 11 mai prochain, French Bee viendra concurrencer Air France et Air Tahiti Nui, qui ont déjà tous deux revu leurs prix à la baisse, ou créé des tarifs sans bagage pour s'aligner sur l'offre low-cost portée par la filiale du groupe Dubreuil.
Le prix d'appel qu'annonce French Bee sur un Paris-Tahiti se chiffre ainsi à 504€ l'aller simple, soit 25% de moins par rapport à ce que proposait jusqu'à maintenant la concurrence. Le tout avec 2 vols hebdomadaires en basse saison et jusqu'à 3 en hiver.
Pour Sophie Hocquez, directrice commerciale de French Bee, le lancement de la nouvelle ligne Paris-Papeete, via San-Francisco, est en effet déjà un succès.
Quelques semaines après les premières commercialisations, les premières ventes démarrent "très bien", et "le marché réagit très positivement", indique-t-elle.
Les ventes de toutes les liaisons sont déjà ouvertes, à l'exception des San-Francisco-Papeete, qui le seront dans quelques jours pour des questions de réglementations avec les autorités américaines. Les objectifs en termes de pax ou de taux de remplissage sur la première année d'exploitation restent, eux, confidentiels.
"De plus, la réaction des professionnels du tourisme thitiens est extrêmement favorable, ils sont contents de voir arriver un nouvel opérateur qui leur permet d'élargir leur cible de clientèle", ajoute Sophie Hocquez, évoquant un workshop B2B qui s'est tenu mardi 13 mars.
Pour relier la Polynésie à la métropole et à la Californie, French Bee a en effet pu compter sur l'appui des autorités locales et notamment de Tahiti Tourisme.
Sur ces deux nouvelles lignes, qui ouvriront le 11 mai prochain, French Bee viendra concurrencer Air France et Air Tahiti Nui, qui ont déjà tous deux revu leurs prix à la baisse, ou créé des tarifs sans bagage pour s'aligner sur l'offre low-cost portée par la filiale du groupe Dubreuil.
Le prix d'appel qu'annonce French Bee sur un Paris-Tahiti se chiffre ainsi à 504€ l'aller simple, soit 25% de moins par rapport à ce que proposait jusqu'à maintenant la concurrence. Le tout avec 2 vols hebdomadaires en basse saison et jusqu'à 3 en hiver.
2 lignes bien distinctes
Vers San Francisco, French Bee propose trois types de tarifs : "Basic" à partir de 169€ TTC l'aller simple (sans bagage ni repas), "Smart" à partir de 169€ TTC l'aller simple (avec bagage en soute de 23 kilos et repas), "Premium" à partir de 819€ avec réservation en classe Premium.
Le but : séduire aussi la clientèle business, très présente sur l'axe Paris-Californie. "Cela fait partie de nos nouvelles cibles", indique Sophie Hocquez. "Ce sont bien 2 nouvelles lignes que l'on ouvre, les 2 étant bien différentes en termes de public".
Arrivée il y a moins d'un an sur l'axe Paris-Réunion, la low-cost long-courrier française y a bouleversé le marché, s'octroyant, comme elle l'avait prévu, 15% de parts de marché sur toute l'année 2017. Un chiffre qui s'élèverait même à près de 19% sur le mois de janvier 2018.
Le but : séduire aussi la clientèle business, très présente sur l'axe Paris-Californie. "Cela fait partie de nos nouvelles cibles", indique Sophie Hocquez. "Ce sont bien 2 nouvelles lignes que l'on ouvre, les 2 étant bien différentes en termes de public".
Arrivée il y a moins d'un an sur l'axe Paris-Réunion, la low-cost long-courrier française y a bouleversé le marché, s'octroyant, comme elle l'avait prévu, 15% de parts de marché sur toute l'année 2017. Un chiffre qui s'élèverait même à près de 19% sur le mois de janvier 2018.
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