i-tourisme : Vous avez organisé un débat sur le collaboratif à votre convention. Comme vous ne vous interdisez rien, vous avez indiqué vouloir vous inspirer de ce modèle à succès. Comment comptez-vous vous y prendre ?
Edouard Roux de Lusignan : Nous avons analysé le succès de l’économie collaborative et mis quatre points en avant :
Le but étant de s’inspirer de ces codes, de lister les expertises et les faire connaître à la communauté. Avec 4 000 experts, Selectour Afat peut être une marque ombrelle.
En tant que tiers de confiance, nous apportons déjà une garantie financière et nos partenaires sont sélectionnés pour leurs qualités. Il ne reste à faire qu’un travail sur les thématiques.
i-tourisme : Le groupe Selectour aura les moyens à termes de mettre en place ce qu’on vient d’évoquer ?
b[ERL : Oui, je ne vois pas de freins. Notre site existe déjà et s’inscrit dans cette logique. Nous avons la volonté de le structurer pour aller dans le sens évoqué.
Pour faire évoluer le site vers une plateforme, il s’agira surtout d’un travail de fond d’amélioration du réseau. Il n’y a pas de problème technique majeur.
C’est une question d’animation, de collecte de données et de suivi dans la coordination des flux.
Edouard Roux de Lusignan : Nous avons analysé le succès de l’économie collaborative et mis quatre points en avant :
- La plateforme, qui sert d’outil de mise en relation.
- Le tiers de confiance, dont le rôle est de sécuriser les transactions.
- La valorisation de produits
- Le partage de connaissance : il s’agit ici de collecter des avis.
Le but étant de s’inspirer de ces codes, de lister les expertises et les faire connaître à la communauté. Avec 4 000 experts, Selectour Afat peut être une marque ombrelle.
En tant que tiers de confiance, nous apportons déjà une garantie financière et nos partenaires sont sélectionnés pour leurs qualités. Il ne reste à faire qu’un travail sur les thématiques.
i-tourisme : Le groupe Selectour aura les moyens à termes de mettre en place ce qu’on vient d’évoquer ?
b[ERL : Oui, je ne vois pas de freins. Notre site existe déjà et s’inscrit dans cette logique. Nous avons la volonté de le structurer pour aller dans le sens évoqué.
Pour faire évoluer le site vers une plateforme, il s’agira surtout d’un travail de fond d’amélioration du réseau. Il n’y a pas de problème technique majeur.
C’est une question d’animation, de collecte de données et de suivi dans la coordination des flux.
Traquer les comportements utilisateurs
i-tourisme : En ce qui concerne les outils B2B : Quelles sont les étapes pour votre stratégie cross canal ?
ERL : Afin d’offrir au client une expérience homogène, nous nous attachons à veiller à la cohérence des bases de données avec les back-office de nos clients : tout l’historique des clients est déjà dans la mémoire comptable des agents de voyage. Cet historique doit être en cohérence avec les offres.
Nous cherchons aussi des sources tierces à travers des partenaires extérieurs pour traquer les comportements utilisateurs.
i-tourisme : Quel est le degré d’adaptation à ces nouveaux outils ?
ERL : Aujourd’hui, nous avons de bons retours terrains.
Les agences sont sensibilisées et la plupart ont déjà connu des solutions cross canal : près de 250 agences ont signé alors que le projet n’est pas encore mis en place.
Les mentalités évoluent partout : Les pure-players cherchent à avoir des points de vente physique et les agences développent leur présence sur le web.
i-tourisme : Quand lancerez-vous le service ?
ERL : Notre plateforme devra être opérationnelle au milieu de l’année 2016.
ERL : Afin d’offrir au client une expérience homogène, nous nous attachons à veiller à la cohérence des bases de données avec les back-office de nos clients : tout l’historique des clients est déjà dans la mémoire comptable des agents de voyage. Cet historique doit être en cohérence avec les offres.
Nous cherchons aussi des sources tierces à travers des partenaires extérieurs pour traquer les comportements utilisateurs.
i-tourisme : Quel est le degré d’adaptation à ces nouveaux outils ?
ERL : Aujourd’hui, nous avons de bons retours terrains.
Les agences sont sensibilisées et la plupart ont déjà connu des solutions cross canal : près de 250 agences ont signé alors que le projet n’est pas encore mis en place.
Les mentalités évoluent partout : Les pure-players cherchent à avoir des points de vente physique et les agences développent leur présence sur le web.
i-tourisme : Quand lancerez-vous le service ?
ERL : Notre plateforme devra être opérationnelle au milieu de l’année 2016.