Le patron des Domaines Skiables de France souhaite connaître les conditions de la prochaine saison de ski - DR : Depositphotos, @Chawran
Malgré les millions déversés, le goût amer de la saison blanche pour le ski français et quasi blanche pour les montagnes est persistant.
Plus de six mois après cet épisode historique et après un Plan Avenir Montagne ou de nombreuses zones sont à éclaircir ou même à travailler, le président des Domaines Skiables de France (DSF) alerte sur TourMag.com le gouvernement sur la prochaine saison.
"Nous devons regarder devant et la prochaine échéance n'est autre que l'hiver qui arrive.
Nous aimerions savoir quelles sont les conditions pour nous garantir une ouverture. Nous avons eu une année blanche, il n'en faut pas une deuxième," nous expliquait alors, Alexandre Maulin.
Pour l'heure rien n'a été communiqué par l'exécutif sur les conditions dans lesquelles va se dérouler la saison de ski en France. A trois mois des premières ouvertures, ce n'est pas l'inquiétude qui prédomine, mais les questions.
Plus de six mois après cet épisode historique et après un Plan Avenir Montagne ou de nombreuses zones sont à éclaircir ou même à travailler, le président des Domaines Skiables de France (DSF) alerte sur TourMag.com le gouvernement sur la prochaine saison.
"Nous devons regarder devant et la prochaine échéance n'est autre que l'hiver qui arrive.
Nous aimerions savoir quelles sont les conditions pour nous garantir une ouverture. Nous avons eu une année blanche, il n'en faut pas une deuxième," nous expliquait alors, Alexandre Maulin.
Pour l'heure rien n'a été communiqué par l'exécutif sur les conditions dans lesquelles va se dérouler la saison de ski en France. A trois mois des premières ouvertures, ce n'est pas l'inquiétude qui prédomine, mais les questions.
Ski : qui du pass sanitaire l'hiver prochain ?
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"Nous voulons travailler et avancer. Nous souhaitons connaître les conditions dans lesquelles nous allons travailler, nous professionnels de la montagne, cet hiver.
Nous sommes à trois mois de l'ouverture, nous ne pouvons pas attendre les deux pieds dans le même sabot et nous devons avancer," alerte le patron du puissant syndicat.
Faudra-t-il le pass sanitaire pour se rendre dans les stations ? Pour skier ? Pour travailler ? Quels seront les seuils d'alerte à ne pas dépasser pour ne pas voir les remontées fermer ?
Autant d'interrogations qui ne trouvent aucune réponse officielle, alors que les recrutements de saisonniers ne vont plus tarder. Un flou qui empêche les entreprises à sa projeter plus loin que ce mois de septembre.
"Nous leur avons laissé jusqu'à la fin du mois d'août, car il y avait beaucoup à faire sur l'été. Un moment nous ne devons pas monopoliser l'attention. Il est temps de passer à l'action," menacerait presque Alexandre Maulin.
Après deux saisons tronquées, par le coronavirus, il n'est plus question de connaître pareil scénario, sous peine de voir la montagne française gronder.
"Nous ne craignons pas une nouvelle saison blanche, car ça ne se passera pas comme ça..." conclut le représentant des DSF.
Nous sommes à trois mois de l'ouverture, nous ne pouvons pas attendre les deux pieds dans le même sabot et nous devons avancer," alerte le patron du puissant syndicat.
Faudra-t-il le pass sanitaire pour se rendre dans les stations ? Pour skier ? Pour travailler ? Quels seront les seuils d'alerte à ne pas dépasser pour ne pas voir les remontées fermer ?
Autant d'interrogations qui ne trouvent aucune réponse officielle, alors que les recrutements de saisonniers ne vont plus tarder. Un flou qui empêche les entreprises à sa projeter plus loin que ce mois de septembre.
"Nous leur avons laissé jusqu'à la fin du mois d'août, car il y avait beaucoup à faire sur l'été. Un moment nous ne devons pas monopoliser l'attention. Il est temps de passer à l'action," menacerait presque Alexandre Maulin.
Après deux saisons tronquées, par le coronavirus, il n'est plus question de connaître pareil scénario, sous peine de voir la montagne française gronder.
"Nous ne craignons pas une nouvelle saison blanche, car ça ne se passera pas comme ça..." conclut le représentant des DSF.