Richard Vainopoulos, président de Tourcom, à propos de Go Tours : "notre centrale de paiement étant assurée, le montant de ce dossier ne nous pose pas de réel problème. " - DR
TourMaG.com - Comment se présente votre congrès ?
Richard Vainopoulos : Hormis qu’on sera dans le même hôtel que la conférence sur le nucléaire Iranien, ça se présente bien.
Sans les accompagnants, nous avons 220 inscrits, soit autant finalement que les années précédentes.
En général, nos deux ateliers, juridique et finances, intéressent beaucoup, et le workshop fonctionne plutôt bien aussi…
En revanche, je ne peux jamais présumer du succès de notre Forum, donc on verra ça après la convention.
Cette année, il est consacré aux « Nouveaux consommateurs ». Nos chiffres sont également rassurants ; les marges de nos adhérents se tiennent assez bien et c’est bien ça qui compte avant tout.
Surtout que l’atmosphère générale est un peu tendue en ce moment. Dans une période aussi confuse, avec un gouvernement sans direction, si les agences de voyages s’en sortent avec 0,4 ou 05 % de marge nette, c’est déjà pas mal.
TourMaG.com - Face à la confusion dont vous parlez, quelles sont les attentes des inscrits ?
R. V. : Un congrès, c’est d’abord un moment d’échanges et de rencontres. On attend toujours beaucoup de choses de ces moments-là, en particulier lorsqu’on a besoin de se rassurer, qu’on a besoin de repères clairs et crédibles pour l’avenir.
Ce n’est pas évident en ce moment, c’est le moins qu’on puisse dire, avec les mécontentements sociaux qui s’expriment dans tous les sens et des grèves ou des manifestations qui ne vont pas aider notre économie. Ce n’est pas simple.
Cela dit, si la situation est complexe, je ne suis pas inquiet pour notre avenir. Regardez les dernières ventes de Boeing et d’Airbus ; ça signifie que le tourisme va continuer à croitre et que ça va fonctionner. Alors nous avons bien sûr des solutions, mais je les proposerai à Genève.
Richard Vainopoulos : Hormis qu’on sera dans le même hôtel que la conférence sur le nucléaire Iranien, ça se présente bien.
Sans les accompagnants, nous avons 220 inscrits, soit autant finalement que les années précédentes.
En général, nos deux ateliers, juridique et finances, intéressent beaucoup, et le workshop fonctionne plutôt bien aussi…
En revanche, je ne peux jamais présumer du succès de notre Forum, donc on verra ça après la convention.
Cette année, il est consacré aux « Nouveaux consommateurs ». Nos chiffres sont également rassurants ; les marges de nos adhérents se tiennent assez bien et c’est bien ça qui compte avant tout.
Surtout que l’atmosphère générale est un peu tendue en ce moment. Dans une période aussi confuse, avec un gouvernement sans direction, si les agences de voyages s’en sortent avec 0,4 ou 05 % de marge nette, c’est déjà pas mal.
TourMaG.com - Face à la confusion dont vous parlez, quelles sont les attentes des inscrits ?
R. V. : Un congrès, c’est d’abord un moment d’échanges et de rencontres. On attend toujours beaucoup de choses de ces moments-là, en particulier lorsqu’on a besoin de se rassurer, qu’on a besoin de repères clairs et crédibles pour l’avenir.
Ce n’est pas évident en ce moment, c’est le moins qu’on puisse dire, avec les mécontentements sociaux qui s’expriment dans tous les sens et des grèves ou des manifestations qui ne vont pas aider notre économie. Ce n’est pas simple.
Cela dit, si la situation est complexe, je ne suis pas inquiet pour notre avenir. Regardez les dernières ventes de Boeing et d’Airbus ; ça signifie que le tourisme va continuer à croitre et que ça va fonctionner. Alors nous avons bien sûr des solutions, mais je les proposerai à Genève.
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TourMaG.com - Et l’affaire Go Tours, ça tombe mal, non… ?
R. V. : Des dépôts de bilan dans un réseau, c’est assez inévitable mais le plus important, c’est d’en avoir le minimum.
Cela dit, notre centrale de paiement étant assurée, le montant de ce dossier ne nous pose pas de réel problème.
Dans une interview récente, Raoul NABET expliquait que ce dossier n’était pas aussi clair qu’on pouvait le penser.
Quoi qu’il en soit, Tourcom s’en sort bien grâce au bon suivi de ses dossiers. Quand à l’APST, son Président ne semble pas encore vraiment fixé ; il parle de 5 à 600 000 €, mais ce sera peut-être moins.
Que dire de plus pour le moment ?
R. V. : Des dépôts de bilan dans un réseau, c’est assez inévitable mais le plus important, c’est d’en avoir le minimum.
Cela dit, notre centrale de paiement étant assurée, le montant de ce dossier ne nous pose pas de réel problème.
Dans une interview récente, Raoul NABET expliquait que ce dossier n’était pas aussi clair qu’on pouvait le penser.
Quoi qu’il en soit, Tourcom s’en sort bien grâce au bon suivi de ses dossiers. Quand à l’APST, son Président ne semble pas encore vraiment fixé ; il parle de 5 à 600 000 €, mais ce sera peut-être moins.
Que dire de plus pour le moment ?