Vente des filiales grecque et française : "bien que le dossier progresse et que plusieurs parties aient montré un intérêt, aucune négociation n’a été amorcée et il n’y a aucune assurance qu’une transaction en résulterait" a indiqué le groupe Transat dans son communiqué de presse - DR
Transat A.T. inc. a présenté ses résultats pour le premier trimestre 2016. Le Groupe a enregistré des revenus à 846,9 millions $ canadiens (576 M€) par rapport à 788,6 millions $ (536,3M€) en 2015, soit une hausse de 7,4 %.
Le groupe accuse une perte d’exploitation ajustée à 40,6 millions $ (27,6 M€)par rapport à 35,8 millions $ en 2015. La perte nette ajustée se creuse à 37,3 millions $ (25,3 M€) pour le premier trimestre de 2016 contre 32,4 millions $ (22M€) en 2015.
« Notre organisation est nettement plus performante qu’elle ne l’était, mais les effets de nos initiatives sont masqués par la chute du dollar canadien. (...) Le dollar, le virus Zika, une menace de grève de nos pilotes, maintenant écartée, un ralentissement de l’économie, un hiver plutôt clément : tous ces facteurs rendent l’hiver actuel exigeant » a déclaré Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction de Transat.
Dans ce contexte, les revenus des filiales européennes ont augmenté de 15,9 millions $ (10,8M€), soit 14,5%.
Cette hausse explique le groupe, est due à une "augmentation des prix de vente moyens et de l’appréciation de l’euro vis-à-vis du dollar, en partie compensée par une baisse des revenus découlant du transfert de certaines ventes européennes vers le Canada, dans la foulée de l’implantation d’une nouvelle plateforme de réservation en 2015, ce qui a contribué à la diminution du nombre de voyageurs de 9,7 % pour le trimestre".
Les activités européennes ont affiché une perte d’exploitation de 12,9 millions $ (8,7M€) au cours du trimestre, comparativement à une perte d’exploitation de 16,5 millions $ (11,2M€) en 2015.
Le groupe accuse une perte d’exploitation ajustée à 40,6 millions $ (27,6 M€)par rapport à 35,8 millions $ en 2015. La perte nette ajustée se creuse à 37,3 millions $ (25,3 M€) pour le premier trimestre de 2016 contre 32,4 millions $ (22M€) en 2015.
« Notre organisation est nettement plus performante qu’elle ne l’était, mais les effets de nos initiatives sont masqués par la chute du dollar canadien. (...) Le dollar, le virus Zika, une menace de grève de nos pilotes, maintenant écartée, un ralentissement de l’économie, un hiver plutôt clément : tous ces facteurs rendent l’hiver actuel exigeant » a déclaré Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction de Transat.
Dans ce contexte, les revenus des filiales européennes ont augmenté de 15,9 millions $ (10,8M€), soit 14,5%.
Cette hausse explique le groupe, est due à une "augmentation des prix de vente moyens et de l’appréciation de l’euro vis-à-vis du dollar, en partie compensée par une baisse des revenus découlant du transfert de certaines ventes européennes vers le Canada, dans la foulée de l’implantation d’une nouvelle plateforme de réservation en 2015, ce qui a contribué à la diminution du nombre de voyageurs de 9,7 % pour le trimestre".
Les activités européennes ont affiché une perte d’exploitation de 12,9 millions $ (8,7M€) au cours du trimestre, comparativement à une perte d’exploitation de 16,5 millions $ (11,2M€) en 2015.
Vente de Transat France : aucune négociation n’a été amorcée
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"La diminution de notre perte d’exploitation découle de l’amélioration de nos résultats en France." indique le communiqué.
En France, où l’hiver représente la basse saison, par rapport à l’an passé à la même date, les réservations sont supérieures de 10 % et les prix de vente sont supérieurs de 2 %.
Concernant la vente des filiales grecque et française, le groupe précise que pour le moment, "bien que le dossier progresse et que plusieurs parties aient montré un intérêt, aucune négociation n’a été amorcée et il n’y a aucune assurance qu’une transaction en résulterait"...
En France, où l’hiver représente la basse saison, par rapport à l’an passé à la même date, les réservations sont supérieures de 10 % et les prix de vente sont supérieurs de 2 %.
Concernant la vente des filiales grecque et française, le groupe précise que pour le moment, "bien que le dossier progresse et que plusieurs parties aient montré un intérêt, aucune négociation n’a été amorcée et il n’y a aucune assurance qu’une transaction en résulterait"...