Les 18-34 ans révèlent un rapport au voyage d’affaires différent de celui de leurs aînés
La nouvelle génération (18-34 ans) se déclare mieux disposée à l’égard des nouveaux services offerts par le marché comme Uber, Airbnb, ou le covoiturage (25 % contre 18 % pour l’ensemble de l’échantillon).
Elle trouve davantage de plaisir au voyage d’affaires (50 % contre 34 % pour les plus de 35 ans).
Elle est aussi plus sensible aux conditions de voyage, potentiellement en lien avec son besoin accru de reconnaissance. Elle est enfin plus critique quant à la formalisation de la politique voyages, la jugeant plus souvent complexe ou inexistante par rapport à ses aînés.
Elle trouve davantage de plaisir au voyage d’affaires (50 % contre 34 % pour les plus de 35 ans).
Elle est aussi plus sensible aux conditions de voyage, potentiellement en lien avec son besoin accru de reconnaissance. Elle est enfin plus critique quant à la formalisation de la politique voyages, la jugeant plus souvent complexe ou inexistante par rapport à ses aînés.
La nécessité de préciser les conditions et les modalités des politiques voyages
À tort ou à raison, celles-ci apparaissent encore comme obsolètes pour 16 % des voyageurs interrogés et avec un confort restreint pour 18 %.
En outre, 2 personnes sur 5 déclarent que la politique voyages de leurs entreprises n’évolue pas assez vite par rapport à leurs besoins.
Les sources d’économies restent significatives : 74 % des professionnels estiment que tout ou partie de leurs déplacements pourraient être traités différemment (visioconférence, conférence téléphonique), d’autant plus facilement que ces alternatives existent massivement en entreprises (80% des sondés déclarent que leur entreprise est équipée en visioconférence).
En outre, 2 personnes sur 5 déclarent que la politique voyages de leurs entreprises n’évolue pas assez vite par rapport à leurs besoins.
Les sources d’économies restent significatives : 74 % des professionnels estiment que tout ou partie de leurs déplacements pourraient être traités différemment (visioconférence, conférence téléphonique), d’autant plus facilement que ces alternatives existent massivement en entreprises (80% des sondés déclarent que leur entreprise est équipée en visioconférence).
Une implication accrue des salariés dans la politique voyages
49 % des sondés déclarent faire part de leurs suggestions à leur direction (hôtels, moyens de transport, traitement des notes de frais, moyens de réservation, moyens de paiement, locations de véhicules de courte durée) : si ces retours sont globalement pris en compte, ils rappellent l’intérêt de donner la parole aux salariés, mais aussi la nécessité de leur faire un feed-back sur leurs suggestions.
L’impact des déplacements professionnels sur les dépenses des salariés
Ceux-ci se voient contraints d’effectuer une avance de trésorerie dans 37 % des cas et 40 % d’entre eux jugent que leur société ne facilite pas le paiement des frais de voyage.
En réponse, la carte corporate est plébiscitée comme une solution pertinente par 78 % de ses utilisateurs.
En réponse, la carte corporate est plébiscitée comme une solution pertinente par 78 % de ses utilisateurs.