Hormis Paris (+0,4%) et Nice (-2,3%), les grands aéroports de plus de 1,5 millions de passagers ont connu un meilleur taux de progression que les aéroports secondaires.
« L’emploi n’a pas repris, nous sommes donc pas encore sortis de la crise », commente Claude Terrazzoni, le président de l’association en préambule de la présentation des statistiques du trafic aérien français de l’année 2010.
Après la baisse de 3,9% enregistrée pour l’année 2009 qui s’était traduite par une perte de six millions de passages avec un total de 150 millions de passagers, le trafic de l’année 2010 est à nouveau sur une courbe ascendante.
Avec une progression de 1,3% pour 151,8 millions de passagers, le trafic n’a toutefois pas rattrapé le volume de 2008.
Les divers incidents (neige, grèves volcan) ont, selon l’UAF fait perdre l’équivalent de deux semaines de trafic, représentant une baisse globale de 4% du trafic.
Contrairement à l’année dernière où le trafic domestique s’était plutôt bien maintenu, ce dernier est en retrait à - 0,8% représentant 30,93% du trafic total, tandis que l’international progresse de deux points à 69,07% de l'activité totale.
Pour autant, les plates-formes parisiennes sont en quasi-stagnation avec un mince +0,4%, tandis que les aéroports de province, portés par les transporteurs low cost. voient leurs trafics progresser de 2%. Les aéroports ultramarins, eux, retrouvent une vraie croissance à +4,4%.
Après la baisse de 3,9% enregistrée pour l’année 2009 qui s’était traduite par une perte de six millions de passages avec un total de 150 millions de passagers, le trafic de l’année 2010 est à nouveau sur une courbe ascendante.
Avec une progression de 1,3% pour 151,8 millions de passagers, le trafic n’a toutefois pas rattrapé le volume de 2008.
Les divers incidents (neige, grèves volcan) ont, selon l’UAF fait perdre l’équivalent de deux semaines de trafic, représentant une baisse globale de 4% du trafic.
Contrairement à l’année dernière où le trafic domestique s’était plutôt bien maintenu, ce dernier est en retrait à - 0,8% représentant 30,93% du trafic total, tandis que l’international progresse de deux points à 69,07% de l'activité totale.
Pour autant, les plates-formes parisiennes sont en quasi-stagnation avec un mince +0,4%, tandis que les aéroports de province, portés par les transporteurs low cost. voient leurs trafics progresser de 2%. Les aéroports ultramarins, eux, retrouvent une vraie croissance à +4,4%.
Le low cost représente 19,6% du trafic total
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Paris se taille toujours la part du lion avec 59% du trafic passagers total, soit 83,3 millions de passagers tandis que le deuxième aéroport, Nice, ne passe toujours pas la barre des dix millions de passagers à 9,6 millions.
Hormis Paris (+0,4%) et Nice (-2,3%), les grands aéroports de plus de 1,5 millions de passagers ont connu un meilleur taux de progression que les aéroports secondaires.
Bordeaux avec l’ouverture de son aérogare dédié au low cost. voit son trafic passagers croître de 10,3%, Nantes Atlantique de 14,4% et toujours Beauvais, le champion des low cost qui progresse de 13,1%.
Le trafic low cost a représenté 19,6% du trafic total et même 29,2% si l’on exclut Paris. Les transporteurs low cost présents désormais sur 38 aéroports français ont généré un volume de 17,5 millions de passagers en province et 10,6 millions à Paris.
A noter que les mouvements commerciaux sont globalement en baisse de 1,7%, ce qui signifie un coefficient de remplissage plus élevé par appareil.
Les plates-formes parisiennes enregistrent une baisse des mouvements de 3,9%, l’ outre mer de 2,8% mais les aéroports de province constatent une hausse légère de +0,6%.
Hormis Strasbourg dont le chiffre d’affaires a baissé d’un million d’euros à 21 millions, et Ajaccio, Bastia et Biarritz dont le chiffre d’affaires a été identique à celui de 2008, tous les grands aéroports ont connu une progression de leurs revenus en 2010.
Et pour 2011, les prévisions financières sont à la hausse pour les principaux aéroports, sauf pour Lille qui prévoit une baisse de deux millions d’euros repassant de 19 à 17 millions.
Marseille, Bastia, Montpellier et Biarritz prévoient une performance identique à celle de 2010.
Hormis Paris (+0,4%) et Nice (-2,3%), les grands aéroports de plus de 1,5 millions de passagers ont connu un meilleur taux de progression que les aéroports secondaires.
Bordeaux avec l’ouverture de son aérogare dédié au low cost. voit son trafic passagers croître de 10,3%, Nantes Atlantique de 14,4% et toujours Beauvais, le champion des low cost qui progresse de 13,1%.
Le trafic low cost a représenté 19,6% du trafic total et même 29,2% si l’on exclut Paris. Les transporteurs low cost présents désormais sur 38 aéroports français ont généré un volume de 17,5 millions de passagers en province et 10,6 millions à Paris.
A noter que les mouvements commerciaux sont globalement en baisse de 1,7%, ce qui signifie un coefficient de remplissage plus élevé par appareil.
Les plates-formes parisiennes enregistrent une baisse des mouvements de 3,9%, l’ outre mer de 2,8% mais les aéroports de province constatent une hausse légère de +0,6%.
Hormis Strasbourg dont le chiffre d’affaires a baissé d’un million d’euros à 21 millions, et Ajaccio, Bastia et Biarritz dont le chiffre d’affaires a été identique à celui de 2008, tous les grands aéroports ont connu une progression de leurs revenus en 2010.
Et pour 2011, les prévisions financières sont à la hausse pour les principaux aéroports, sauf pour Lille qui prévoit une baisse de deux millions d’euros repassant de 19 à 17 millions.
Marseille, Bastia, Montpellier et Biarritz prévoient une performance identique à celle de 2010.