Les clients d’Openskies ont pris l’habitude de réserver sur le site de la compagnie. La moitié des passagers réservent en direct et une forte proportion, 80%, utilisent le site internet pour la ligne de New York.
Il faut dire que le site est on ne peut plus clair avec les tarifs promotionnels bien en vue, l’espace réservation d’un côté, l’espace suivi de la réservation de l’autre. Et la différence tarifaire entre les deux classes Affaires saute aux yeux immédiatement. Mais qu’attendre de l’un ou de l’autre service à bord ?
Avant d’embarquer, à Orly, les passagers des deux classes Biz ont le même traitement avec une invitation à se rendre au salon Icare avant l’embarquement.
Après un check in ultra rapide (il n’y a que 72 passagers au maximum à enregistrer), on peut donc profiter du salon d’ADP que se partagent plusieurs compagnies. Boissons chaudes ou froides et snacks en self service. Il y a même une petite terrasse pour les passagers qui souhaitent griller une dernière cigarette.
Il faut dire que le site est on ne peut plus clair avec les tarifs promotionnels bien en vue, l’espace réservation d’un côté, l’espace suivi de la réservation de l’autre. Et la différence tarifaire entre les deux classes Affaires saute aux yeux immédiatement. Mais qu’attendre de l’un ou de l’autre service à bord ?
Avant d’embarquer, à Orly, les passagers des deux classes Biz ont le même traitement avec une invitation à se rendre au salon Icare avant l’embarquement.
Après un check in ultra rapide (il n’y a que 72 passagers au maximum à enregistrer), on peut donc profiter du salon d’ADP que se partagent plusieurs compagnies. Boissons chaudes ou froides et snacks en self service. Il y a même une petite terrasse pour les passagers qui souhaitent griller une dernière cigarette.
La Biz Seat a ne pas prendre pour une Premium Economy
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Les journaux français et américains attendent les passagers à l’entrée de l’avion. A emmener pour un peu de lecture car il n’y a pas de magazine de bord.
La Biz Seat, la business light est située dans la deuxième partie de l’avion mais il ne faudrait pas la prendre pour une Premium Economy. Pour preuve, le fauteuil large et confortable, disposé deux par deux de chaque côté de l‘allée centrale du B-757.
Un fauteuil de cuir beige qui a fait les beaux jours de la classe Affaires des compagnies avant l’arrivée des fauteuils-lits actuels. Il s’incline à 140 degrés, dispose d’un repose-pied et d’un repose-jambes électriques, et d’un soutien lombaire ajustable.
Sur le siège, une bouteille d’eau et une petite poche de plastique transparent contenant chaussons, bouchons pour les oreilles, masque et brosse à dent avec son échantillon de dentifrice attendent le passager.
La Biz Seat, la business light est située dans la deuxième partie de l’avion mais il ne faudrait pas la prendre pour une Premium Economy. Pour preuve, le fauteuil large et confortable, disposé deux par deux de chaque côté de l‘allée centrale du B-757.
Un fauteuil de cuir beige qui a fait les beaux jours de la classe Affaires des compagnies avant l’arrivée des fauteuils-lits actuels. Il s’incline à 140 degrés, dispose d’un repose-pied et d’un repose-jambes électriques, et d’un soutien lombaire ajustable.
Sur le siège, une bouteille d’eau et une petite poche de plastique transparent contenant chaussons, bouchons pour les oreilles, masque et brosse à dent avec son échantillon de dentifrice attendent le passager.
Boisson avant le décollage
Les passagers ont droit à un "drink" avant le décollage et un autre avant le repas, champagne compris. Entre temps, les hôtesses auront distribué l’écran vidéo portable.
Au programme une quinzaine de films dont seulement deux français, des programmes de télévision, des jeux et de la musique (162 artistes).
Petite frustration, les écouteurs se rentrent dans les oreilles - ce qui est douloureux à la longue et empêche de mettre en même temps les bouchons d’oreille qui atténuent le bruit de l’avion…
Le déjeuner est servi sur un plateau recouvert d’un napperon en papier noir. Sel et poivre dans des contenant en plastique, assiettes en plastique mais couverts en métal.
Pour l’entrée, la proposition est copieuse avec , sur un lit de salade, deux tranches de viande des grisons (ou quelque chose qui y ressemble. On ne sait pas car il n’y a pas de distribution de menus).
Au programme une quinzaine de films dont seulement deux français, des programmes de télévision, des jeux et de la musique (162 artistes).
Petite frustration, les écouteurs se rentrent dans les oreilles - ce qui est douloureux à la longue et empêche de mettre en même temps les bouchons d’oreille qui atténuent le bruit de l’avion…
Le déjeuner est servi sur un plateau recouvert d’un napperon en papier noir. Sel et poivre dans des contenant en plastique, assiettes en plastique mais couverts en métal.
Pour l’entrée, la proposition est copieuse avec , sur un lit de salade, deux tranches de viande des grisons (ou quelque chose qui y ressemble. On ne sait pas car il n’y a pas de distribution de menus).
Les passagers Biz Bed ont le droit d’utiliser le salon de British Airways
Le plat principal est végétarien avec une quiche aux légumes et des petits gâteaux de polenta. J’apprendrai plus tard qu’il y a normalement le choix entre une viande et le plat végétarien mais a priori, il ne restait plus qu’une seule proposition pour le fond de l’avion…Fromage et gâteau complètent le repas.
Avant l’arrivée une seconde collation est proposée : petit canapé au saumon et yaourt. On ne débarque pas aux Etats-Unis avec l’estomac trop lourd…
Au retour, à l’aéroport de Washington Dulles, l’enregistrement se fait dans la zone de British Airways, qui a fait une petite place pour l’accroche OpenSkies au dessus du comptoir. Check in toujours aussi rapide.
Une fois passées les formalités de police, les passagers Biz Bed ont le droit d’utiliser le salon de British Airways. Un salon tout en longueur équipé de fauteuils confortables, de douches, d’un restaurant (qui n’est pas encore ouvert à l’heure où le vol d’OpenSkies décolle) et de zones en self service pour les boissons, les petits sandwiches et les snacks.
A l’entrée de l’avion, choix de journaux français et américains, comme à l’aller. Ce qui fait vraiment la différence dans cette classe Biz Bed située à l’avant de l’avion, ce sont les fauteuils qui se transforment en un lit totalement à l’horizontal. Pour cela il faut décrocher le tabouret qui se trouve devant le fauteuil, faire descendre le fauteuil et les deux parties s’emboîtent alors pour ne plus former qu’un seul lit.
Avant l’arrivée une seconde collation est proposée : petit canapé au saumon et yaourt. On ne débarque pas aux Etats-Unis avec l’estomac trop lourd…
Au retour, à l’aéroport de Washington Dulles, l’enregistrement se fait dans la zone de British Airways, qui a fait une petite place pour l’accroche OpenSkies au dessus du comptoir. Check in toujours aussi rapide.
Une fois passées les formalités de police, les passagers Biz Bed ont le droit d’utiliser le salon de British Airways. Un salon tout en longueur équipé de fauteuils confortables, de douches, d’un restaurant (qui n’est pas encore ouvert à l’heure où le vol d’OpenSkies décolle) et de zones en self service pour les boissons, les petits sandwiches et les snacks.
A l’entrée de l’avion, choix de journaux français et américains, comme à l’aller. Ce qui fait vraiment la différence dans cette classe Biz Bed située à l’avant de l’avion, ce sont les fauteuils qui se transforment en un lit totalement à l’horizontal. Pour cela il faut décrocher le tabouret qui se trouve devant le fauteuil, faire descendre le fauteuil et les deux parties s’emboîtent alors pour ne plus former qu’un seul lit.
Davantage de tralala en Biz Bed pour le repas
Comme chez British Airways les fauteuils sont disposés tête bêche, deux par deux de chaque côté de l’allée centrale et un paravent amovible entre les deux fauteuils crée une intimité si nécessaire.
Une bouteille d’eau, des chaussons et un masque attendent le passager sur le siège. Le reste des « amenities » comme le propose le PNC est apporté dans une corbeille. Au passager de prendre au choix la brosse à dents et son dentifrice, les bouchons pour les oreilles, la crème hydratante, etc..
Avant le décollage, le PNC propose également une boisson au choix, jus d’orange ou champagne. L’écran vidéo portable et de vrais écouteurs casques sont distribués. Puis, l’hôtesse passe pour prendre la commande : choix entre deux plats pour le dîner, il s’enquiert également de savoir si le passager prendra son petit déjeuner servi une heure et demie avant l’atterrissage. Certains passagers préfèrent dormir jusqu’au début de la descente.
Davantage de tralala en Biz Bed pour le repas : le plateau est recouvert d’une nappe en tissu blanc, le sel et le poivre sont dans des contenants en verre avec couvercle en métal argenté. Crudités et poulet froid en entrée, steack ou gnocchis en plat principal, fromage et cheesecake en dessert.
Pour la nuit, le passager a le choix entre la couverture ou bien un duvet distribué par le PNC. Une fois la manœuvre du fauteuil effectuée avec l‘aide de l‘hôtesse, c’est good night pour tout le monde, parfaitement allongé dans le lit.
Le petit déjeuner est léger. Servi sur un plateau recouvert d‘un napperon blanc, il comporte une assiette de fruits (fraise, melon, kiwi), beurre et confiture, et un yaourt. L’hôtesse passe distribuer les viennoiseries, le jus d’orange et le café.
Pas un petit déjeuner de fête avec les œufs et le bacon mais après tout, c’est mieux. Surtout lorsqu’au sortir de l‘avion, juste devant, on tombe sur un avion de Corsair qui vient de débarquer ses 500 passagers en provenance de Maurice. La sensation de faire partie des « happy few » disparaît alors rapidement dans la queue interminable…
Une bouteille d’eau, des chaussons et un masque attendent le passager sur le siège. Le reste des « amenities » comme le propose le PNC est apporté dans une corbeille. Au passager de prendre au choix la brosse à dents et son dentifrice, les bouchons pour les oreilles, la crème hydratante, etc..
Avant le décollage, le PNC propose également une boisson au choix, jus d’orange ou champagne. L’écran vidéo portable et de vrais écouteurs casques sont distribués. Puis, l’hôtesse passe pour prendre la commande : choix entre deux plats pour le dîner, il s’enquiert également de savoir si le passager prendra son petit déjeuner servi une heure et demie avant l’atterrissage. Certains passagers préfèrent dormir jusqu’au début de la descente.
Davantage de tralala en Biz Bed pour le repas : le plateau est recouvert d’une nappe en tissu blanc, le sel et le poivre sont dans des contenants en verre avec couvercle en métal argenté. Crudités et poulet froid en entrée, steack ou gnocchis en plat principal, fromage et cheesecake en dessert.
Pour la nuit, le passager a le choix entre la couverture ou bien un duvet distribué par le PNC. Une fois la manœuvre du fauteuil effectuée avec l‘aide de l‘hôtesse, c’est good night pour tout le monde, parfaitement allongé dans le lit.
Le petit déjeuner est léger. Servi sur un plateau recouvert d‘un napperon blanc, il comporte une assiette de fruits (fraise, melon, kiwi), beurre et confiture, et un yaourt. L’hôtesse passe distribuer les viennoiseries, le jus d’orange et le café.
Pas un petit déjeuner de fête avec les œufs et le bacon mais après tout, c’est mieux. Surtout lorsqu’au sortir de l‘avion, juste devant, on tombe sur un avion de Corsair qui vient de débarquer ses 500 passagers en provenance de Maurice. La sensation de faire partie des « happy few » disparaît alors rapidement dans la queue interminable…