Le site de Marmara a été lancé le 7 juillet 1997. Après 11 remises à neuf, une nouvelle version est prévue pour 2015. Retour sur l'histoire d'un site web. DR Capture d'écran Marmara
« Le webdesign est important, mais il n’est pas essentiel », affirme Olivier Roche, directeur e-commerce du groupe TUI France.
« On peut avoir un mauvais webdesign qui soit performant ! Il suffit de voir le Bon Coin, ou même, dans une moindre mesure, Ebay.
Mais la devanture d’un site impacte directement l’image d’une marque.
Chez Marmara , nous avons toujours voulu avoir une image moderne : il nous fallait donc suivre de près les tendances de webdesign. »
Le site de Marmara a connu beaucoup de versions. Lancé le 7 juillet 1997, il est modifié 11 fois en 18 ans.
« On peut avoir un mauvais webdesign qui soit performant ! Il suffit de voir le Bon Coin, ou même, dans une moindre mesure, Ebay.
Mais la devanture d’un site impacte directement l’image d’une marque.
Chez Marmara , nous avons toujours voulu avoir une image moderne : il nous fallait donc suivre de près les tendances de webdesign. »
Le site de Marmara a connu beaucoup de versions. Lancé le 7 juillet 1997, il est modifié 11 fois en 18 ans.
Evoluer avec la marque
Autres articles
Ce qui marque dans les évolutions, en plus de l’évidente modification de la charte graphique [voir présentation ci-dessous], ce sont les choix commerciaux de Marmara.
Jusqu’à la version de 2010, le lien entre le web et les brochures papiers est évident, notamment avec la reprise des couleurs de la brochure.
De même, la bannière affiche à gauche, le logo de Marmara, et à droite des offres auto-promotionnelles (qui font notamment le pont avec les autres marques du groupe, comme Blue Lagoon jusqu’en 2008.)
La structure du site est également en relation avec la mise en avant des nouveautés comme le voyage à la carte en 2008 et les vols secs en 2012.
En 2012, le site internet a d’ailleurs reçu 24 millions de visites et 363 000 voyageurs y ont acheté leur voyage.
De quoi générer un chiffre d’affaires de 130 millions euros (70% de packages et 30% de vols secs), le double de 2008.
Jusqu’à la version de 2010, le lien entre le web et les brochures papiers est évident, notamment avec la reprise des couleurs de la brochure.
De même, la bannière affiche à gauche, le logo de Marmara, et à droite des offres auto-promotionnelles (qui font notamment le pont avec les autres marques du groupe, comme Blue Lagoon jusqu’en 2008.)
La structure du site est également en relation avec la mise en avant des nouveautés comme le voyage à la carte en 2008 et les vols secs en 2012.
En 2012, le site internet a d’ailleurs reçu 24 millions de visites et 363 000 voyageurs y ont acheté leur voyage.
De quoi générer un chiffre d’affaires de 130 millions euros (70% de packages et 30% de vols secs), le double de 2008.
Evoluer avec le web
« Le web est passé d’un catalogue à un outil de vente », constate Olivier Roche. « Le marché aussi, a totalement changé.
Depuis 2002, tous nos sites ont toujours été faits en interne avec nos graphistes et nos webdesigners.
A chaque fois nous essayons d’être les plus performants possibles, mais il existe toujours des obstacles techniques. Ce qui reste important, qu’il s’agisse d’une tablette, d’un ordinateur ou d’un smartphone, c’est que l’information soit lisible et claire.
Qu’on sache qu’on puisse réserver tout en haut. »
Depuis 2002, tous nos sites ont toujours été faits en interne avec nos graphistes et nos webdesigners.
A chaque fois nous essayons d’être les plus performants possibles, mais il existe toujours des obstacles techniques. Ce qui reste important, qu’il s’agisse d’une tablette, d’un ordinateur ou d’un smartphone, c’est que l’information soit lisible et claire.
Qu’on sache qu’on puisse réserver tout en haut. »