Un tiers des voyageurs regardent le voyage d'affaires comme une source de stress "élevée" ou "très élevée", révèle une étude Opinion Way © Kieferpix
Un tiers des voyageurs regardent le voyage d'affaires comme une source de stress "élevée" ou "très élevée" : c'est ce que l'on retiendra - entre autres - d'une étude Opinion Way pour Axys Consultants réalisée auprès de 500 voyageurs d'affaires et publiée cet été.
Et apparemment, ce ne sont pas les raisons de stresser qui manquent.
Parmi les causes les plus fréquemment avancées : "la crainte du retard de 61% des personnes interrogées, l'inutilité du déplacement pour 52%, l'impossibilité de s'organiser suffisamment à l'avance pour 32%, mais aussi le manque d'informations pratiques (28%), le dépassement des dépenses (25%) ou encore la crainte de perdre ses bagages (22%)" liste ainsi Axys Consultants.
L'étude relève également que "ce niveau de stress est directement corrélé aux fonctions occupées par les salariés, ainsi qu'au contexte économique de leur entreprise".
Et apparemment, ce ne sont pas les raisons de stresser qui manquent.
Parmi les causes les plus fréquemment avancées : "la crainte du retard de 61% des personnes interrogées, l'inutilité du déplacement pour 52%, l'impossibilité de s'organiser suffisamment à l'avance pour 32%, mais aussi le manque d'informations pratiques (28%), le dépassement des dépenses (25%) ou encore la crainte de perdre ses bagages (22%)" liste ainsi Axys Consultants.
L'étude relève également que "ce niveau de stress est directement corrélé aux fonctions occupées par les salariés, ainsi qu'au contexte économique de leur entreprise".
Une question de communication
Les conditions de voyage ne semblent pourtant pas en cause : "97% des salariés jugent les délais d'organisation de leurs voyages d'affaires comme "suffisants" ou "acceptables" et "86% des salariés jugent qu'ils voyagent professionnellement dans un niveau de confort au moins équivalent ou meilleur que pour leurs déplacements privés" relève Axys Consultants.
L'étude distingue au final plusieurs axes d'amélioration pour éviter ces frottements entre "bien-être au travail et réduction des coûts" : meilleure communication sur "les conditions et les modalités de politiques voyages", recours aux modes de réunions virtuels (visioconférence, conférence téléphonique...), implication accrue des salariés dans l'évolution de la politique voyages et meilleure gestion des moyens de paiement dans un contexte où les voyageurs d'affaires" se voient contraints d'effectuer une avance de trésorerie dans 37% des cas".
"De vraies marges d'optimisation économique et d'amélioration du bien-être au travail existent encore.
Pour y parvenir, il faut mettre fin aux approches en silos : en matière de politique "voyages", les fonctions Ressources humaines, Finance et Achats doivent se coordonner davantage et remettre le voyageur au cœur de la réflexion" conclut la société de conseil en management. Y'a plus qu'à...
L'étude distingue au final plusieurs axes d'amélioration pour éviter ces frottements entre "bien-être au travail et réduction des coûts" : meilleure communication sur "les conditions et les modalités de politiques voyages", recours aux modes de réunions virtuels (visioconférence, conférence téléphonique...), implication accrue des salariés dans l'évolution de la politique voyages et meilleure gestion des moyens de paiement dans un contexte où les voyageurs d'affaires" se voient contraints d'effectuer une avance de trésorerie dans 37% des cas".
"De vraies marges d'optimisation économique et d'amélioration du bien-être au travail existent encore.
Pour y parvenir, il faut mettre fin aux approches en silos : en matière de politique "voyages", les fonctions Ressources humaines, Finance et Achats doivent se coordonner davantage et remettre le voyageur au cœur de la réflexion" conclut la société de conseil en management. Y'a plus qu'à...