Tapis rouge, limo de star... les organisateurs avaient mis les petits plats dans les grands mais... les 1 200 agents pré inscrits n'étaient pas au rendez-vous !
Les Universités du tourisme international, un événement organisé par le CIV du 17 au 19 septembre n’ont pas attiré foule à l’hippodrome de Deauville.
Les organisateurs qui attendaient 1200 vendeurs pourtant pré-inscrits très tôt, ont eu la désagréable surprise de constater qu’ils leur ont fait faux bond.
Et s’ils comptaient sur une certaine nostalgie de l’événement de la rentrée qui avait fait les beaux jours de l’industrie du tourisme à Deauville pendant tant d’années pour décider les vendeurs, et bien ce fut raté.
Pourtant, côté fournisseurs, la formule d’une formation financée par le DIF (le droit à la formation permanente) en a séduit quelques-uns. Ils étaient une quarantaine à vouloir dispenser la bonne parole.
« C’est notre rôle d’office de tourisme que d’informer aussi bien que possible les agents de voyages sur les possibilités qu’offre notre destination », expliquait Gilberto Lopez Breto, le directeur de l’office de tourisme de Cuba.
Melinda Jaafar, marketing executive de l’Office national du tourisme de Malaisie, Tourism Malaysia, était venue avec la même détermination…
Pour Nunzia Benedetti et Algia Lounici, représentantes du GDS Sabre, les Universités du tourisme étaient justement le moyen de toucher les vendeurs et les chefs d’agence en dehors de leur univers habituel pour prendre le temps de leur montrer les arcanes du système.
La SNCF comptait éclairer les vendeurs, notamment ceux de la région normande, sur les nouvelles formules pro et loisir.
De son côté, Kuoni qui, comme quelques fournisseurs, s’interroge sur l’utilité de participer à la formule traditionnelle des salons professionnels, avait accepté de tenter l’expérience « pour voir ce que cela pouvait donner... »
Les organisateurs qui attendaient 1200 vendeurs pourtant pré-inscrits très tôt, ont eu la désagréable surprise de constater qu’ils leur ont fait faux bond.
Et s’ils comptaient sur une certaine nostalgie de l’événement de la rentrée qui avait fait les beaux jours de l’industrie du tourisme à Deauville pendant tant d’années pour décider les vendeurs, et bien ce fut raté.
Pourtant, côté fournisseurs, la formule d’une formation financée par le DIF (le droit à la formation permanente) en a séduit quelques-uns. Ils étaient une quarantaine à vouloir dispenser la bonne parole.
« C’est notre rôle d’office de tourisme que d’informer aussi bien que possible les agents de voyages sur les possibilités qu’offre notre destination », expliquait Gilberto Lopez Breto, le directeur de l’office de tourisme de Cuba.
Melinda Jaafar, marketing executive de l’Office national du tourisme de Malaisie, Tourism Malaysia, était venue avec la même détermination…
Pour Nunzia Benedetti et Algia Lounici, représentantes du GDS Sabre, les Universités du tourisme étaient justement le moyen de toucher les vendeurs et les chefs d’agence en dehors de leur univers habituel pour prendre le temps de leur montrer les arcanes du système.
La SNCF comptait éclairer les vendeurs, notamment ceux de la région normande, sur les nouvelles formules pro et loisir.
De son côté, Kuoni qui, comme quelques fournisseurs, s’interroge sur l’utilité de participer à la formule traditionnelle des salons professionnels, avait accepté de tenter l’expérience « pour voir ce que cela pouvait donner... »
Malgré le DIF, la complexité des démarches a pu décourager
Le déjeuner organisé par l'APS auquel étaient invités ses adhérents de Normandie a remporté le succès escompté
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Même les assureurs, convaincus de la difficulté pour les agents de voyages à maîtriser les méandres des produits d'assurances étaient de la partie avec Marc Dupoy, responsable du secteur tourisme chez Axa et Didier Sanchez.
Ce dernier, responsable de TMS Formation, a même mis en place le département de TMS Assistance dédié à la formation des agents de voyages à la problématique de l’assurance .
« Faire financer la formation des vendeurs, c’est-ce que TMS Formation préconise depuis un an. Mais, je facilite le travail des chefs d’agence au maximum en prenant en charge le dossier administratif qui est assez compliqué à gérer », expliquait Didier Sanchez.
Il semblerait que les Universités du Tourisme n’aient pas suffisamment tenu compte de la complexité des démarches.
Mais le bilan des Universités du Tourisme International n’a pas été totalement négatif, loin s'en faut. Jean-Claude Gourdinne, responsable du tour-opérateur belge Escape qui souhaite se développer sur le marché français, disait avoir eu quelques contacts intéressants et avait pris date pour une présentation de brochure avec un mini-réseau normand.
Ce dernier, responsable de TMS Formation, a même mis en place le département de TMS Assistance dédié à la formation des agents de voyages à la problématique de l’assurance .
« Faire financer la formation des vendeurs, c’est-ce que TMS Formation préconise depuis un an. Mais, je facilite le travail des chefs d’agence au maximum en prenant en charge le dossier administratif qui est assez compliqué à gérer », expliquait Didier Sanchez.
Il semblerait que les Universités du Tourisme n’aient pas suffisamment tenu compte de la complexité des démarches.
Mais le bilan des Universités du Tourisme International n’a pas été totalement négatif, loin s'en faut. Jean-Claude Gourdinne, responsable du tour-opérateur belge Escape qui souhaite se développer sur le marché français, disait avoir eu quelques contacts intéressants et avait pris date pour une présentation de brochure avec un mini-réseau normand.
Le « networking » a plutôt bien fonctionné
La centrale de réservation Chase International qui avait prévu de déplacer toute l’équipe commerciale à Deauville car « les besoins de formation en agences sont permanents du fait du turnover du personnel », selon les propos de Sébastien Lyon, coordinateur des ventes, avait aussi programmé des séances de travail en interne. Ce qui fut fait…
Le fournisseur de technologie Perinfo a convaincu un directeur d’agence, et ainsi, décroché un contrat sur son logiciel de gestion Gestour.
Brochuresenligne.com n'a pas été débordé non plus pour la présentation des "Enjeux de la dématérialisation des brochures", mais Gentiane Romanet, responsable du site, a enregistré quelques contacts prometteurs.
Enfin, le volet « networking » prévu en parallèle de la manifestation a plutôt bien fonctionné.
« Nous avons reçu près de 200 décideurs et les présidents de toutes les instances représentatives de la profession », faisait remarquer Bertrand Thorel, l'organisateur.
Le fournisseur de technologie Perinfo a convaincu un directeur d’agence, et ainsi, décroché un contrat sur son logiciel de gestion Gestour.
Brochuresenligne.com n'a pas été débordé non plus pour la présentation des "Enjeux de la dématérialisation des brochures", mais Gentiane Romanet, responsable du site, a enregistré quelques contacts prometteurs.
Enfin, le volet « networking » prévu en parallèle de la manifestation a plutôt bien fonctionné.
« Nous avons reçu près de 200 décideurs et les présidents de toutes les instances représentatives de la profession », faisait remarquer Bertrand Thorel, l'organisateur.
Comité de pilotage pour l'édition 2010
Ce dernier va maintenant tirer le bilan de cette première édition, fort du soutien de quelques-uns des premiers participants et mettre en place un Comité de pilotage pour la prochaine édition.
« L’idée d’une manifestation reposant sur la formation des vendeurs est positive. Il faut améliorer la gestion des visiteurs », estimait Lotfi Belhassine, le président de Liberty TV, prêt à retenter l‘expérience.
Raoul Nabet, le président de l’APS, qui trouvait « important d’apporter son appui à l’organisation d’un nouveau rendez-vous professionnel dans une conjoncture difficile » serait lui aussi partant pour une seconde édition.
Bertrand Thorel, organisateur du salon avec son père Christian, prévoit d’organiser des débriefings avec les participants dans les prochaines semaines. Déjà des suggestions lui sont parvenues sur un changement de date, un changement de lieu, une meilleure gestion des visiteurs, etc..
Il sait, désormais, qu’il n’a plus droit à l’erreur...
« L’idée d’une manifestation reposant sur la formation des vendeurs est positive. Il faut améliorer la gestion des visiteurs », estimait Lotfi Belhassine, le président de Liberty TV, prêt à retenter l‘expérience.
Raoul Nabet, le président de l’APS, qui trouvait « important d’apporter son appui à l’organisation d’un nouveau rendez-vous professionnel dans une conjoncture difficile » serait lui aussi partant pour une seconde édition.
Bertrand Thorel, organisateur du salon avec son père Christian, prévoit d’organiser des débriefings avec les participants dans les prochaines semaines. Déjà des suggestions lui sont parvenues sur un changement de date, un changement de lieu, une meilleure gestion des visiteurs, etc..
Il sait, désormais, qu’il n’a plus droit à l’erreur...
Beaucoup de décideurs ont répondu présent au CIV. On a pu y croiser notamment Georges Colson, président du Snav, Raoul Nabet, pdt de l'APS entouré de son staff , Bernard Didelot, past pdt et Georges Cid, Trésorier, René-Marc Chikli, patron du CETO, Richard Vainopoulos, pdt de TourCom, Lotfi Belhassine, PDG de Liberty TV, Ph. Demonchy, Romain Hordel, responsable commercial France d'Air Europa, Jean-Claude Madier, patron des Salons tourisme Comexposium, etc