Chez Thalasso.com , terminée la formule incompressible du 6 jours/ 7 nuits. On propose de plus en plus de courts séjours pour s'adapter à la demande des clients. DR
Donner un sentiment de reconnaissance au client, lui faire sentir que l'on s'intéresse vraiment à lui à peine passé la porte d'un établissement...
Cette notion habituelle dans l'hôtellerie de luxe fait son entrée dans les spas et les centres de thalassothérapie et prend une forme différente d'une enseigne à l'autre.
Que ce soit dans les spas de Mandarin Oriental ou Guerlain (lire interview et test), un soin ne débute pas sans s'être soucié des préoccupations du moment de la cliente.
Comment trouve-t-elle sa peau ? Quelles sont ses habitudes de vie ? Se sent-elle stressée, etc. Les réponses vont permettre de savoir, d'adapter au mieux le soin.
"Chez Guerlain, nous avons un protocole depuis le démaquillage jusqu'à la pose du sérum, des gestes précis qui vont créer l'homogénéité entre les divers spas Guerlain. Il faut que la cliente retrouve le soin qu'elle aime qu'elle soit à Versailles, Biarritz ou New York.
Ensuite, on va adapter. Si la cliente a mal au dos, je vais faire un massage profond avec les coudes et les avant-bras", explique Valérie Gelix, formatrice au spa du Trianon Palace à Versailles.
La Sultane de Saba a, pour sa part, développé son image autour de rituels "ancestraux, qui emmènent le client vers un voyage des sens", insiste Denis Bellaïche, son directeur marketing.
"On débute toujours par un entretien entre l'esthéticienne et la cliente pour lui faire découvrir nos différentes senteurs et choisir celle qu'elle préfère".
Cette notion habituelle dans l'hôtellerie de luxe fait son entrée dans les spas et les centres de thalassothérapie et prend une forme différente d'une enseigne à l'autre.
Que ce soit dans les spas de Mandarin Oriental ou Guerlain (lire interview et test), un soin ne débute pas sans s'être soucié des préoccupations du moment de la cliente.
Comment trouve-t-elle sa peau ? Quelles sont ses habitudes de vie ? Se sent-elle stressée, etc. Les réponses vont permettre de savoir, d'adapter au mieux le soin.
"Chez Guerlain, nous avons un protocole depuis le démaquillage jusqu'à la pose du sérum, des gestes précis qui vont créer l'homogénéité entre les divers spas Guerlain. Il faut que la cliente retrouve le soin qu'elle aime qu'elle soit à Versailles, Biarritz ou New York.
Ensuite, on va adapter. Si la cliente a mal au dos, je vais faire un massage profond avec les coudes et les avant-bras", explique Valérie Gelix, formatrice au spa du Trianon Palace à Versailles.
La Sultane de Saba a, pour sa part, développé son image autour de rituels "ancestraux, qui emmènent le client vers un voyage des sens", insiste Denis Bellaïche, son directeur marketing.
"On débute toujours par un entretien entre l'esthéticienne et la cliente pour lui faire découvrir nos différentes senteurs et choisir celle qu'elle préfère".
"Plus à l'écoute des désirs et des besoins des curistes"
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La place faite à la personnalisation dans les spas a poussé les centres de thalassothérapie à progressivement revoir leur copie.
"Maintenant on est beaucoup plus à l'écoute des désirs et des besoins des curistes", souligne Anne-Michèle Lombart, directrice des soins à Thalasso.com Roscoff. "De plus en plus je demande au personnel de proposer une cabine borgne ou avec vue sur la baie".
Sans parler de la petite attention apportée à une épaule douloureuse avec une application d'algues qui n'est pourtant pas au programme de la cure.
Terminée aussi la formule incompressible du 6 jours/ 7 nuits avec à chaque journée ses soins préprogrammés. On peut désormais choisir de venir faire une cure d'une, deux, trois, etc. journées.
Et même en choisir le programme, comme chez Thalassa Sea & Spa . Bien qu'il vaille toujours mieux demander conseil quant aux performances du cocktail que l'on s'est concocté.
Difficile par exemple de concentrer des soins minceur sur deux jours et d'attendre le même résultat qu'après une semaine de reprise en main.
Les centres commencent aussi à créer des espaces uniques où le curiste va recevoir l'ensemble de ses soins pendant une heure ou deux, comme le Suite de Relais Thalassa (lire interview) qui sera commercialisée à partir de la mi-juillet.
"Maintenant on est beaucoup plus à l'écoute des désirs et des besoins des curistes", souligne Anne-Michèle Lombart, directrice des soins à Thalasso.com Roscoff. "De plus en plus je demande au personnel de proposer une cabine borgne ou avec vue sur la baie".
Sans parler de la petite attention apportée à une épaule douloureuse avec une application d'algues qui n'est pourtant pas au programme de la cure.
Terminée aussi la formule incompressible du 6 jours/ 7 nuits avec à chaque journée ses soins préprogrammés. On peut désormais choisir de venir faire une cure d'une, deux, trois, etc. journées.
Et même en choisir le programme, comme chez Thalassa Sea & Spa . Bien qu'il vaille toujours mieux demander conseil quant aux performances du cocktail que l'on s'est concocté.
Difficile par exemple de concentrer des soins minceur sur deux jours et d'attendre le même résultat qu'après une semaine de reprise en main.
Les centres commencent aussi à créer des espaces uniques où le curiste va recevoir l'ensemble de ses soins pendant une heure ou deux, comme le Suite de Relais Thalassa (lire interview) qui sera commercialisée à partir de la mi-juillet.