Avec des tests PCR qui dépassent les 100 euros, une logistique compliquée, les pros s'inquiètent - Dépositphotos @vova130555@gmail.com
Nous avons beau écrire, sur le voyage et suivre l'actualité, nous oublions parfois des détails... où le diable se cache !
Alors que dans le cadre d'un voyage personnel, j'envisage de me rendre en Espagne pour quelques jours, en navigant sur France Diplomatie je (re)découvre qu'il est indispensable de fournir un test PCR négatif au retour en France.
Après quelques recherches sur le web, j'apprends que les prix du précieux sésame oscillent entre 60 et 115 euros. Et encore l'Espagne fait office de bonne élève, puisqu'en Suède, le test est facturé 300 euros (pour accéder au comparatif), contre près de 150 euros au Portugal, et 250 euros au Royaume-Uni.
"C'est compliqué, car il faut se faire tester avant le départ, mais aussi à destination durant le séjour, donc pour un week-end prolongé ce n'est pas évident.
Cela ne rend pas notre travail aisé," fustige Martine Juen, la fondatrice et présidente de Havas Juen Voyages.
En effet, pour les clients qui veulent déconnecter, mais qui n'ont que 300 ou 500 euros, le test PCR peut parfois représenter un surcoût de... 75% ! Et visiblement Martine Juen, n'est pas la seule.
Pour en savoir plus, nous avons proposé un sondage sur le groupe Facebook Helpdesk Officiel des Pros du Tourisme. En seulement 24h, plus de 330 agents de voyages ont répondu à la problématique du test PCR "négatif" de - 72h à présenter au retour.
Pour les deux tiers des professionnels ayant répondu, la mesure pose réellement à problème.
Alors que dans le cadre d'un voyage personnel, j'envisage de me rendre en Espagne pour quelques jours, en navigant sur France Diplomatie je (re)découvre qu'il est indispensable de fournir un test PCR négatif au retour en France.
Après quelques recherches sur le web, j'apprends que les prix du précieux sésame oscillent entre 60 et 115 euros. Et encore l'Espagne fait office de bonne élève, puisqu'en Suède, le test est facturé 300 euros (pour accéder au comparatif), contre près de 150 euros au Portugal, et 250 euros au Royaume-Uni.
"C'est compliqué, car il faut se faire tester avant le départ, mais aussi à destination durant le séjour, donc pour un week-end prolongé ce n'est pas évident.
Cela ne rend pas notre travail aisé," fustige Martine Juen, la fondatrice et présidente de Havas Juen Voyages.
En effet, pour les clients qui veulent déconnecter, mais qui n'ont que 300 ou 500 euros, le test PCR peut parfois représenter un surcoût de... 75% ! Et visiblement Martine Juen, n'est pas la seule.
Pour en savoir plus, nous avons proposé un sondage sur le groupe Facebook Helpdesk Officiel des Pros du Tourisme. En seulement 24h, plus de 330 agents de voyages ont répondu à la problématique du test PCR "négatif" de - 72h à présenter au retour.
Pour les deux tiers des professionnels ayant répondu, la mesure pose réellement à problème.
Le test PCR est un véritable casse-tête d'un point de vue logistique
Autres articles
-
Tendances 2025 : les destinations préférées des Français pour voyager
-
Tourisme : Quels sont les enjeux juridiques de l'IA ?
-
Voyages : 60 % des Français privilégient cette destination...
-
Noël : quelles sont les destinations préférées des Français ?
-
Fêtes de fin d’année : 62% des Français veulent voyager
Ainsi, pour 153 agents de voyages interrogés, la mesure de contrôle de l'épidémie pose un problème de logistique.
En effet, alors que la France a souhaité généraliser les tests, afin de connaître quasiment en temps réel l'évolution des cas de contamination, le Gouvernement a aussi rendu les tests PCR gratuits.
Ailleurs ce n'est pas toujours le cas et surtout les infrastructures ne suivent malheureusement pas.
"C'est incroyable, car nous sommes confrontés à toutes sortes de situations, de la plus facile à la plus complexe. Prenez, l'île de Madère, par exemple. Vous n'y trouverez qu'une seule structure pour se faire tester.
Il ne sera pas possible pour un pays touristique de ne pas tenir compte des impératifs de retour," dénonce un René Marc Chikli remonté.
Et le président du SETO d'accuser une organisation pas toujours optimale, obligeant les voyageurs à faire des queues de plusieurs heures, pour obtenir le droit de rentrer au pays.
Sans parler des cas positifs qui doivent s'isoler à leurs frais à destination.
"Autant à Dubaï tout est bien organisé, autant dans d'autres destinations c'est plus compliqué à gérer. Nos contrats sont devenus de vraies bibles, car il faut ajouter ce facteur en plus des autres contraintes," déplore la dirigeante du sud-est.
C'est d'ailleurs ce que recommande les Entreprises du Voyage au moment de rédiger les contrats de voyages.
Ce n'est pas tout, car le fait de se rendre dans un laboratoire pour obtenir son sésame de retour, replonge les voyageurs dans le psychodrame la crise.
Pour Sonia Faris, la fondatrice de l'agence Mon Prochain Voyage, il y a aussi une dimension psychologique.
"Interrompre un voyage est vraiment gênant pour moi. Puis c'est comme un come-back dans la réalité, alors que la personne veut se déconnecter, ils sont ramenés à leur retour avant l'heure."
En effet, alors que la France a souhaité généraliser les tests, afin de connaître quasiment en temps réel l'évolution des cas de contamination, le Gouvernement a aussi rendu les tests PCR gratuits.
Ailleurs ce n'est pas toujours le cas et surtout les infrastructures ne suivent malheureusement pas.
"C'est incroyable, car nous sommes confrontés à toutes sortes de situations, de la plus facile à la plus complexe. Prenez, l'île de Madère, par exemple. Vous n'y trouverez qu'une seule structure pour se faire tester.
Il ne sera pas possible pour un pays touristique de ne pas tenir compte des impératifs de retour," dénonce un René Marc Chikli remonté.
Et le président du SETO d'accuser une organisation pas toujours optimale, obligeant les voyageurs à faire des queues de plusieurs heures, pour obtenir le droit de rentrer au pays.
Sans parler des cas positifs qui doivent s'isoler à leurs frais à destination.
"Autant à Dubaï tout est bien organisé, autant dans d'autres destinations c'est plus compliqué à gérer. Nos contrats sont devenus de vraies bibles, car il faut ajouter ce facteur en plus des autres contraintes," déplore la dirigeante du sud-est.
C'est d'ailleurs ce que recommande les Entreprises du Voyage au moment de rédiger les contrats de voyages.
Ce n'est pas tout, car le fait de se rendre dans un laboratoire pour obtenir son sésame de retour, replonge les voyageurs dans le psychodrame la crise.
Pour Sonia Faris, la fondatrice de l'agence Mon Prochain Voyage, il y a aussi une dimension psychologique.
"Interrompre un voyage est vraiment gênant pour moi. Puis c'est comme un come-back dans la réalité, alors que la personne veut se déconnecter, ils sont ramenés à leur retour avant l'heure."
Le coût du test PCR... un frein à la vente
Et à l'heure où la profession et Jean-Baptiste Djebbari se battent pour avoir le plus de destinations disponibles sur les étalages, la question de la logistique à destination pourrait bien constituer un arbitrage au moment de proposer tel ou tel pays.
C'est en tout cas ce que pense, le patron du SETO.
"A l'avenir, il est possible que certains opérateurs ne programment pas une destination, à défaut de pouvoir assurer correctement la réalisation d'un test PCR dans le temps imparti," analyse René-Marc Chikli.
Décidément le coronavirus ne se limite pas à stopper les ventes. Il dresse aussi toute une série de haies, sur le chemin de la reprise des agences de voyages. Sauf que le parcours ressemble de plus de plus en plus à une épreuve de 3 000 m steeple, avec derrière les obstacles, la présence d'une rivière.
"Avant même de faire le devis nous spécifions aux prospects qu'il y aura un test PCR à faire à l'aller et au retour. Cela coûte cher et nous lui précisons que c'est à sa charge.
C'est parfois un frein à la vente, mais après c'est comme le coût d'un visa," précise Jean-Charles Franchomme, le cofondateur du CDMV. Et justement, dans le sondage réalisé sur le Helpdesk, le prix est problématique pour un tiers des votants.
Cette surcharge qui n'était pas prévue, il y a quelques semaines, rebute certains clients. En somme, les Français qui veulent se faire plaisir réfléchiront à deux fois avant de quitter le pays.
"Cela représente parfois le prix de l'aérien, c'est réellement un frein pour les petits budgets. Il faut remettre en perspective par rapport au prix du voyage," recontextualise Sonia Faris, la fondatrice de l'agence Mon Prochain Voyage.
Il est sûr que 95 euros, le prix d'un test PCR aux Maldives, sur un dossier de 5 000 euros, ne suffira pas à freiner les envies de départ. Par contre entre deux destinations court-courriers, le test sera le juge arbitre que ce soit au niveau du coût et de la logistique.
"Il est clair que ça peut être un frein, par chance, nous travaillons beaucoup avec Luxair qui facilite grandement la tâche et prend en charge une partie du coût.
C'est une mesure qui peut complexifier un peu la reprise," estime François Piot, le patron de Prêt à Partir.
C'est en tout cas ce que pense, le patron du SETO.
"A l'avenir, il est possible que certains opérateurs ne programment pas une destination, à défaut de pouvoir assurer correctement la réalisation d'un test PCR dans le temps imparti," analyse René-Marc Chikli.
Décidément le coronavirus ne se limite pas à stopper les ventes. Il dresse aussi toute une série de haies, sur le chemin de la reprise des agences de voyages. Sauf que le parcours ressemble de plus de plus en plus à une épreuve de 3 000 m steeple, avec derrière les obstacles, la présence d'une rivière.
"Avant même de faire le devis nous spécifions aux prospects qu'il y aura un test PCR à faire à l'aller et au retour. Cela coûte cher et nous lui précisons que c'est à sa charge.
C'est parfois un frein à la vente, mais après c'est comme le coût d'un visa," précise Jean-Charles Franchomme, le cofondateur du CDMV. Et justement, dans le sondage réalisé sur le Helpdesk, le prix est problématique pour un tiers des votants.
Cette surcharge qui n'était pas prévue, il y a quelques semaines, rebute certains clients. En somme, les Français qui veulent se faire plaisir réfléchiront à deux fois avant de quitter le pays.
"Cela représente parfois le prix de l'aérien, c'est réellement un frein pour les petits budgets. Il faut remettre en perspective par rapport au prix du voyage," recontextualise Sonia Faris, la fondatrice de l'agence Mon Prochain Voyage.
Il est sûr que 95 euros, le prix d'un test PCR aux Maldives, sur un dossier de 5 000 euros, ne suffira pas à freiner les envies de départ. Par contre entre deux destinations court-courriers, le test sera le juge arbitre que ce soit au niveau du coût et de la logistique.
"Il est clair que ça peut être un frein, par chance, nous travaillons beaucoup avec Luxair qui facilite grandement la tâche et prend en charge une partie du coût.
C'est une mesure qui peut complexifier un peu la reprise," estime François Piot, le patron de Prêt à Partir.
Test PCR : Quelles solutions pour les agences de voyages ?
Le voyage, même en temps de coronavirus, permet ainsi de se rendre compte que la France ne fait pas tout mal.
"Nous nous plaignons trop car l'Hexagone est l'un des très rares pays à offrir le test PCR. En Allemagne, il est facturé 150 euros aux Allemands et cela a eu un impact sur la réservation de nos voisins.
Nous avons de la chance d'être en France, nous ne devons pas l'oublier," recadre le DG de FTI Voyages.
Dans ces conditions, et à l'image de François Piot, la distribution s'en remet aux tour-opérateurs pour régler la question.
A l'image de Bravo Club, qui annonçait dès février 2021, la volonté d'organiser la gestion des tests PCR à destination, les concurrents se chargent aussi de la logistique, dans la mesure du possible.
"Ils s'organisent comme ils peuvent. Il y a autant de situations que de pays. Les tour-opérateurs arrivent à gérer cela avec l'aide des réceptifs.
Après la problématique va prendre de l'ampleur à mesure qu'ils pourront reprogrammer des destinations," analyse René-Marc Chikli.
Pour la branche française de FTI Voyages, la solution vient aussi des réceptifs. Les équipes présentes sur place assurent dans la mesure du possible, la logistique pour permettre aux Français de rentrer au pays.
Toutefois, alors que la reprise se dessine, la distribution attend toujours les instructions.
"Par exemple à Majorque nous allons voir avec notre réceptif pour que les hôteliers s'en chargent sur place, après c'est ce que nous attendons des gros tour-opérateurs qui ont des vols charters," demande Jean-Charles Franchomme.
En attendant que les acteurs industrialisent la chose, il est fortement conseillé aux voyageurs de se déplacer à l'aide de la Carte européenne d'assurance maladie.
"Autant pour les adultes, c'est rentré dans les mœurs, mais le prochain problème sera celui des tests PCR pour les enfants. En Grèce et en Italie, ils exigent un test PCR à partir de 5 ans et je trouve ça très violent comme pratique," témoigne Martien Juen.
"Nous nous plaignons trop car l'Hexagone est l'un des très rares pays à offrir le test PCR. En Allemagne, il est facturé 150 euros aux Allemands et cela a eu un impact sur la réservation de nos voisins.
Nous avons de la chance d'être en France, nous ne devons pas l'oublier," recadre le DG de FTI Voyages.
Dans ces conditions, et à l'image de François Piot, la distribution s'en remet aux tour-opérateurs pour régler la question.
A l'image de Bravo Club, qui annonçait dès février 2021, la volonté d'organiser la gestion des tests PCR à destination, les concurrents se chargent aussi de la logistique, dans la mesure du possible.
"Ils s'organisent comme ils peuvent. Il y a autant de situations que de pays. Les tour-opérateurs arrivent à gérer cela avec l'aide des réceptifs.
Après la problématique va prendre de l'ampleur à mesure qu'ils pourront reprogrammer des destinations," analyse René-Marc Chikli.
Pour la branche française de FTI Voyages, la solution vient aussi des réceptifs. Les équipes présentes sur place assurent dans la mesure du possible, la logistique pour permettre aux Français de rentrer au pays.
Toutefois, alors que la reprise se dessine, la distribution attend toujours les instructions.
"Par exemple à Majorque nous allons voir avec notre réceptif pour que les hôteliers s'en chargent sur place, après c'est ce que nous attendons des gros tour-opérateurs qui ont des vols charters," demande Jean-Charles Franchomme.
En attendant que les acteurs industrialisent la chose, il est fortement conseillé aux voyageurs de se déplacer à l'aide de la Carte européenne d'assurance maladie.
"Autant pour les adultes, c'est rentré dans les mœurs, mais le prochain problème sera celui des tests PCR pour les enfants. En Grèce et en Italie, ils exigent un test PCR à partir de 5 ans et je trouve ça très violent comme pratique," témoigne Martien Juen.
Assez peu de chances pour que le gouvernement abolisse la mesure...
Face à autant de barrières alors que la reprise leur tend les bras, les agents de voyages aimeraient que la mesure soit abolie.
Malheureusement, il n'y a pas de bonnes nouvelles à ce niveau de la part du Gouvernement.
"Nous entendons les agences de voyages, mais nous ne pouvons pas faire bouger la politique sanitaire du pays, pour le tourisme.
Cette position est très claire. Par contre il existe une application extrêmement différente, selon le mode de transport," révèle Jean-Pierre Mas, le président de Entreprises du Voyage.
Ainsi, que le voyageur franchisse les frontières en avion ou en voiture, le niveau de contrôle n'est absolument pas le même. Alors que les passagers font face à une application relativement rigoureuse, pour ceux en train ou en voiture, elle est "inexistante.
Il serait mieux d' avoir une équité à ce niveau. Le pass sanitaire tend vers ça."
Les agents de voyages et les touristes français devront se soumettre au test PCR négatif de - 72h pendant encore quelques mois. En tout état de cause, cette problématique renvoie à l'urgence de la campagne de vaccination.
Si cette dernière a démarré plus que mollement, elle affiche dorénavant un rythme de croisière soutenu.
"La solution ultime reste la vaccination. Quand je vois le nombre de personnes récalcitrantes, je suis effrayée alors que beaucoup de pays ne veulent pas de nous.
Nous, agents de voyages, nous sommes des devenus des joueurs de Poker, philosophe Martine Jouen.
Et s'il n'est pas question de faire tapis pour FTI Voyages, Axel Mazerolles va tenter un coup.
"Nous avons une surprise pour les agences puisqu'elles vont recevoir pour la semaine de la rentrée (autour du 19 mai 2021, ndlr) notre toute nouvelle brochure.
Les Français ont très envie de partir, nous sommes tous dans les starting blocks."
Mais la course n'a pas encore démarré pour tout le monde...
Malheureusement, il n'y a pas de bonnes nouvelles à ce niveau de la part du Gouvernement.
"Nous entendons les agences de voyages, mais nous ne pouvons pas faire bouger la politique sanitaire du pays, pour le tourisme.
Cette position est très claire. Par contre il existe une application extrêmement différente, selon le mode de transport," révèle Jean-Pierre Mas, le président de Entreprises du Voyage.
Ainsi, que le voyageur franchisse les frontières en avion ou en voiture, le niveau de contrôle n'est absolument pas le même. Alors que les passagers font face à une application relativement rigoureuse, pour ceux en train ou en voiture, elle est "inexistante.
Il serait mieux d' avoir une équité à ce niveau. Le pass sanitaire tend vers ça."
Les agents de voyages et les touristes français devront se soumettre au test PCR négatif de - 72h pendant encore quelques mois. En tout état de cause, cette problématique renvoie à l'urgence de la campagne de vaccination.
Si cette dernière a démarré plus que mollement, elle affiche dorénavant un rythme de croisière soutenu.
"La solution ultime reste la vaccination. Quand je vois le nombre de personnes récalcitrantes, je suis effrayée alors que beaucoup de pays ne veulent pas de nous.
Nous, agents de voyages, nous sommes des devenus des joueurs de Poker, philosophe Martine Jouen.
Et s'il n'est pas question de faire tapis pour FTI Voyages, Axel Mazerolles va tenter un coup.
"Nous avons une surprise pour les agences puisqu'elles vont recevoir pour la semaine de la rentrée (autour du 19 mai 2021, ndlr) notre toute nouvelle brochure.
Les Français ont très envie de partir, nous sommes tous dans les starting blocks."
Mais la course n'a pas encore démarré pour tout le monde...
MEMBERSHIP CLUB : LE MOT DU REDACTEUR EN CHEF
Alors que la reprise tant attendue commence à montrer le bout de son nez, les voyageurs prennent conscience des nouvelles contraintes sanitaires dans l'organisation et la budgétisation de leur déplacement à l'étranger.
Le test PCR imposé au retour est perçu comme un frein logistique, tarifaire et psychologique (dans cet ordre là) selon le sondage très éclairant auprès des 330 agences interrogées !
Ne serait-ce pas finalement une occasion supplémentaire de valoriser le rôle des professionnels ?
Outre la capacité évidente d'assistance de nos réceptifs et hôteliers à destination pour sélectionner les lieux de test les plus proches, fixer les rendez-vous en amont et organiser, de la manière la plus fluide possible, le déplacement jusqu'à ces centres des voyageurs sous notre responsabilité, ne pourrait-on pas imaginer à relatif court terme la possibilité sur certaines destinations de négocier le prix de cette prestation avec des laboratoires partenaires selon les volumes traités par nos équipes sur place ?
Pourquoi ne pas transformer cette contrainte en opportunité, pour convaincre encore davantage de voyageurs français à passer par un professionnel aguerri, pour organiser leurs vacances à l'étranger !
Guillaume LINTON - Rédacteur en chef MemberShip Club
Le test PCR imposé au retour est perçu comme un frein logistique, tarifaire et psychologique (dans cet ordre là) selon le sondage très éclairant auprès des 330 agences interrogées !
Ne serait-ce pas finalement une occasion supplémentaire de valoriser le rôle des professionnels ?
Outre la capacité évidente d'assistance de nos réceptifs et hôteliers à destination pour sélectionner les lieux de test les plus proches, fixer les rendez-vous en amont et organiser, de la manière la plus fluide possible, le déplacement jusqu'à ces centres des voyageurs sous notre responsabilité, ne pourrait-on pas imaginer à relatif court terme la possibilité sur certaines destinations de négocier le prix de cette prestation avec des laboratoires partenaires selon les volumes traités par nos équipes sur place ?
Pourquoi ne pas transformer cette contrainte en opportunité, pour convaincre encore davantage de voyageurs français à passer par un professionnel aguerri, pour organiser leurs vacances à l'étranger !
Guillaume LINTON - Rédacteur en chef MemberShip Club