Pour les hôteliers français, le chiffre d'affaires grimpe depuis début 2017 - Photo : Andrey Burmakin-Fotolia.com
Le chiffre d'affaires des hôteliers français a diminué en mai 2017. Selon MKG Consulting[ le revenu par chambre disponible (RevPAR) baisse de 0,6 % par rapport à mai 2016.]b
Mais c'est le premier recul de l'année 2017 pour le secteur. Il se porte très bien en France avec une hausse globale de 4,6 % du RevPAR (53 €) pour la période de janvier à mai 2017.
Le taux d'occupation gagner, lui, 3,1 points pour atteindre 62,9 % sur les 5 premiers mois de 2017.
Le moyen de gamme et le haut de gamme s'en tirent particulièrement bien avec des progressions respectives de leur RevPAR de 6 % (60,1 €) et 5,4 % (118,6 €) de janvier à mai 2017.
"Cette performance a pu être réalisée en partie grâce à une politique tarifaire adaptée mise en place notamment, dans une période post-attentats, par les hôteliers franciliens", analyse MKG Consulting.
Il existe néanmoins des disparités entre l'Île-de-France et la province. En Île-de-France, les niveaux de 2014, avant les attentats, n'ont pas encore été atteint (70,5 % de fréquentation en 2017, contre 72,7 % en 2014). En revanche, en province, la fréquentation des établissement est de 59,1 %, ce qui la place légèrement au-dessus des chiffres de 2011, année de référence sur la dernière décénie.
Des villes qui proposent un programme culturel et événementiel riche enregistrent les meilleurs résultats comme Bordeaux, Lyon et, dans une moindre mesure, Toulouse, Marseille et Strasbourg.
Mais c'est le premier recul de l'année 2017 pour le secteur. Il se porte très bien en France avec une hausse globale de 4,6 % du RevPAR (53 €) pour la période de janvier à mai 2017.
Le taux d'occupation gagner, lui, 3,1 points pour atteindre 62,9 % sur les 5 premiers mois de 2017.
Le moyen de gamme et le haut de gamme s'en tirent particulièrement bien avec des progressions respectives de leur RevPAR de 6 % (60,1 €) et 5,4 % (118,6 €) de janvier à mai 2017.
"Cette performance a pu être réalisée en partie grâce à une politique tarifaire adaptée mise en place notamment, dans une période post-attentats, par les hôteliers franciliens", analyse MKG Consulting.
Il existe néanmoins des disparités entre l'Île-de-France et la province. En Île-de-France, les niveaux de 2014, avant les attentats, n'ont pas encore été atteint (70,5 % de fréquentation en 2017, contre 72,7 % en 2014). En revanche, en province, la fréquentation des établissement est de 59,1 %, ce qui la place légèrement au-dessus des chiffres de 2011, année de référence sur la dernière décénie.
Des villes qui proposent un programme culturel et événementiel riche enregistrent les meilleurs résultats comme Bordeaux, Lyon et, dans une moindre mesure, Toulouse, Marseille et Strasbourg.
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