Les vagues de canicules ne sont pas étrangères à la désertion des hôtels parisiens qui affichent une baisse moyenne de 2,3% de l'occupation - Crédit photo : Image parHeidelbergerin de Pixabay
Valérie Pécresse, présidente de la Région Île-de-France, nous avouait sa satisfaction d'avoir " limité la casse" lors de la saison touristique 2019.
Les chiffres du cabinet deconseils In Extenso démontrent que la capitale a connu un net recul de sa fréquentation hôtelière en juillet 2019. Les vagues de canicules ne sont pas étrangères à la désertion des hôtels parisiens qui affichent une baisse moyenne de 2,3% de l'occupation.
Si la chute est contrôlée pour le parc hôtelier, elle atteint tout de même 11,6% pour la catégorie Luxe et Palaces.
« Les performances mitigées de l’hôtellerie parisienne, en pleine saison estivale, ne sont pas une exception si nous regardons les résultats à l’échelle européenne.
Selon les chiffres de notre partenaire STR, Londres, Amsterdam et Barcelone ont affiché un léger repli de leur taux de fréquentation, de l’ordre de 1%, la canicule étant un facteur d’explication important de cette baisse conjoncturelle » précise Philippe Gauguier, Associé chez In Extenso Tourisme, Culture et Hôtellerie.
Les chiffres du cabinet deconseils In Extenso démontrent que la capitale a connu un net recul de sa fréquentation hôtelière en juillet 2019. Les vagues de canicules ne sont pas étrangères à la désertion des hôtels parisiens qui affichent une baisse moyenne de 2,3% de l'occupation.
Si la chute est contrôlée pour le parc hôtelier, elle atteint tout de même 11,6% pour la catégorie Luxe et Palaces.
« Les performances mitigées de l’hôtellerie parisienne, en pleine saison estivale, ne sont pas une exception si nous regardons les résultats à l’échelle européenne.
Selon les chiffres de notre partenaire STR, Londres, Amsterdam et Barcelone ont affiché un léger repli de leur taux de fréquentation, de l’ordre de 1%, la canicule étant un facteur d’explication important de cette baisse conjoncturelle » précise Philippe Gauguier, Associé chez In Extenso Tourisme, Culture et Hôtellerie.
Qui est le gagnant de la baisse parisienne ?
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Si Paris a été abandonné par les touristes, la région a connu le sens inverse.
Alors que les régions normande et bretonne ont affiché des bilans prometteurs, la région reine reste la Côte d’Azur puisqu'elle affiche un taux d’occupation de 74,5%.
Le reste de la France, en dehors de l'Île-de-France, voit le taux d'occupation de l'hôtellerie en hausse de 2,1% en moyenne, et le chiffre d'affaires croître de 3,5%. A noter la performance décevante des résidences urbaines de tourisme.
Alors que les régions normande et bretonne ont affiché des bilans prometteurs, la région reine reste la Côte d’Azur puisqu'elle affiche un taux d’occupation de 74,5%.
Le reste de la France, en dehors de l'Île-de-France, voit le taux d'occupation de l'hôtellerie en hausse de 2,1% en moyenne, et le chiffre d'affaires croître de 3,5%. A noter la performance décevante des résidences urbaines de tourisme.