Le choix de l’Égypte comme pays hôte de la Journée Mondiale du Tourisme 2011 a été une « évidence », pour Taleb Rifai, le secrétaire général de l'OMT
Pour Taleb Rifai, le secrétaire général de l'Organisation Mondiale du Tourisme, le choix de l’Égypte comme pays hôte de la Journée Mondiale du Tourisme 2011 a été une « évidence » : le thème retenu pour cette année, (« le tourisme, un lien pour rapprocher les cultures ») se prêtait en effet parfaitement à un pays qui « abrite l'un des patrimoines culturels les plus célèbres du monde » et qui vient de tourner une page majeure de son histoire contemporaine.
« Venir à Assouan est une manière de dire au monde que la destination est sûre », a-t-il déclaré. A l’issue d’une matinée de réflexion entre experts, l’OMT a diffusé la « Recommandation d’Assouan » : insistant sur le fait que le tourisme n’est pas seulement une activité économique et commerciale mais aussi l’un des facteurs majeurs de dialogue entre les peuples, elle propose des pistes concrètes pour optimiser cette dimension.
« Cette interaction entre des personnes issues de milieux divers et dont les modes de vie sont différents constitue une occasion unique de faire progresser la tolérance, le respect de l’autre et la compréhension mutuelle », espère Taleb Rifai.
Et d’ajouter qu’« aujourd’hui, grâce aux jeunes de la révolution de Tahrir, le touriste est autant intéressé par les Egyptiens que par les vestiges pharaoniques ».
« Venir à Assouan est une manière de dire au monde que la destination est sûre », a-t-il déclaré. A l’issue d’une matinée de réflexion entre experts, l’OMT a diffusé la « Recommandation d’Assouan » : insistant sur le fait que le tourisme n’est pas seulement une activité économique et commerciale mais aussi l’un des facteurs majeurs de dialogue entre les peuples, elle propose des pistes concrètes pour optimiser cette dimension.
« Cette interaction entre des personnes issues de milieux divers et dont les modes de vie sont différents constitue une occasion unique de faire progresser la tolérance, le respect de l’autre et la compréhension mutuelle », espère Taleb Rifai.
Et d’ajouter qu’« aujourd’hui, grâce aux jeunes de la révolution de Tahrir, le touriste est autant intéressé par les Egyptiens que par les vestiges pharaoniques ».
Le tourisme a représenté 12 % du PNB en 2010
Mounir Fakhri Abdel-Nour, le ministre égyptien du Tourisme, qui s’est dit « honoré » que l’Egypte ait été choisie pour accueillir les célébrations officielles de la Journée mondiale du tourisme 2011, a rappelé l’importance stratégique du secteur pour son pays.
Le secteur a représenté 12 % du PNB en 2010 et est à l’origine d’un emploi sur sept : « Cette journée est une excellente occasion de sensibiliser le monde entier à ce secteur, et de montrer ce que sa contribution au bien-être social, économique et environnemental peut apporter. C’est aussi un signe d’amitié et de solidarité pour l’Egypte de la part de l’organisation internationale », s’est-il félicité.
Une impeccable opération d’image donc à la veille d’une haute saison touristique dont la vitalité s’annonce cruciale pour l’économie égyptienne : « Il est tout de même curieux que tout le monde se félicite de la transition démocratique de l’Egypte tout en y différant ses projets de voyage », note une agence locale, non sans amertume.
Amertume partagée par les commerçants du bazar, dont les échoppes restent dramatiquement désertées …
Hasard du calendrier, la rénovation du mythique hôtel Old Cataract, s’achevait enfin après trois années de fermeture. Les hôtes de marque réunis à Assouan ont donc eu le privilège de le découvrir en « soft opening », et d’apprécier à cette occasion la qualité du travail effectué pour redonner au légendaire palace son faste d’antan.
Le secteur a représenté 12 % du PNB en 2010 et est à l’origine d’un emploi sur sept : « Cette journée est une excellente occasion de sensibiliser le monde entier à ce secteur, et de montrer ce que sa contribution au bien-être social, économique et environnemental peut apporter. C’est aussi un signe d’amitié et de solidarité pour l’Egypte de la part de l’organisation internationale », s’est-il félicité.
Une impeccable opération d’image donc à la veille d’une haute saison touristique dont la vitalité s’annonce cruciale pour l’économie égyptienne : « Il est tout de même curieux que tout le monde se félicite de la transition démocratique de l’Egypte tout en y différant ses projets de voyage », note une agence locale, non sans amertume.
Amertume partagée par les commerçants du bazar, dont les échoppes restent dramatiquement désertées …
Hasard du calendrier, la rénovation du mythique hôtel Old Cataract, s’achevait enfin après trois années de fermeture. Les hôtes de marque réunis à Assouan ont donc eu le privilège de le découvrir en « soft opening », et d’apprécier à cette occasion la qualité du travail effectué pour redonner au légendaire palace son faste d’antan.
Old Cataract : un nouveau Sofitel Legend
Le mythique palace du Nil, géré par Accor depuis 1986, intègre la collection des Sofitel Legend.Copyright - ACCOR.Photo Gilles TRILLARD.
C’est officiel depuis le 1er octobre : le mythique palace du Nil, géré par Accor depuis 1986, intègre la collection des Sofitel Legend, sixième établissement du groupe à arborer la prestigieuse enseigne.
Un reportage exclusif a été publié ce jour-là dans le Figaro Magazine, mettant fin à l’embargo médiatique dont l’hôtel faisait l’objet et à sa période de « soft opening ». L’architecte d’intérieur Sybille de Margerie a piloté la renaissance de cet établissement centenaire, célèbre pour avoir reçu des grands de ce monde, de Winston Churchill à François Mitterrand, de Pierre Lotti à Agatha Christie, qui y campa l’intrigue de son roman policier « Mort sur le Nil ».
Ceux qui connaissaient le lieu vont devoir réviser leur vocabulaire : plus de Old ni the New mais un ensemble baptisé Old Cataract composé de deux atmosphères : « Palace » pour le bâtiment historique, fastueusement rénové sans avoir rien perdu de son âme, « Nile » pour l’aile moderne, dont les 175 chambres ont été transformées en 62 suites ayant toutes vue sur le Nil au style contemporain.
Plusieurs restaurants, un Spa, une immense piscine, l’ensemble a un charme fou. Pour la réouverture, compte tenu du contexte, les prix sont légers … Faites-vous en l’écho, vos clients vous en seront reconnaissants car l’expérience d’un séjour ici est réellement inoubliable.
Un reportage exclusif a été publié ce jour-là dans le Figaro Magazine, mettant fin à l’embargo médiatique dont l’hôtel faisait l’objet et à sa période de « soft opening ». L’architecte d’intérieur Sybille de Margerie a piloté la renaissance de cet établissement centenaire, célèbre pour avoir reçu des grands de ce monde, de Winston Churchill à François Mitterrand, de Pierre Lotti à Agatha Christie, qui y campa l’intrigue de son roman policier « Mort sur le Nil ».
Ceux qui connaissaient le lieu vont devoir réviser leur vocabulaire : plus de Old ni the New mais un ensemble baptisé Old Cataract composé de deux atmosphères : « Palace » pour le bâtiment historique, fastueusement rénové sans avoir rien perdu de son âme, « Nile » pour l’aile moderne, dont les 175 chambres ont été transformées en 62 suites ayant toutes vue sur le Nil au style contemporain.
Plusieurs restaurants, un Spa, une immense piscine, l’ensemble a un charme fou. Pour la réouverture, compte tenu du contexte, les prix sont légers … Faites-vous en l’écho, vos clients vous en seront reconnaissants car l’expérience d’un séjour ici est réellement inoubliable.