A Palerme, la capitale de la Sicile, le voyageur plonge dans le slow tourisme - Crédit photo : Romain Pommier
Il y a dans le voyage des étiquettes nouvelles comme l'expérientiel, la micro-aventure ou l'exploration.
Et puis, il y a Palerme, la capitale séculaire de la Sicile.
Voyager dans celle qui fut tour à tour conquise par les Byzantins, les Espagnols ou encore les Normands (oui, oui ce n'est pas de la pub déguisée du CRT de la Normandie), c'est un peu vivre tout ça, mais surtout vivre dans l'instant présent.
Une catégorie encore jamais commercialisée par les voyagistes du monde entier.
La capitale sicilienne est une terre de traditions ce qui évite sans doute que son centre soit totalement standardisé, comme les autres grandes villes européennes.
Je ne dis pas que vous n'y trouverez pas de Mac Donald ou de boutiques internationales, quoique ces deux catégories de commerces sont assez peu représentées, mais surtout Palerme est restée avec sa vision de la vie.
Une envie frénétique de vivre l'instant présent sans trop se soucier du passé et encore moins de l'avenir.
Et puis, il y a Palerme, la capitale séculaire de la Sicile.
Voyager dans celle qui fut tour à tour conquise par les Byzantins, les Espagnols ou encore les Normands (oui, oui ce n'est pas de la pub déguisée du CRT de la Normandie), c'est un peu vivre tout ça, mais surtout vivre dans l'instant présent.
Une catégorie encore jamais commercialisée par les voyagistes du monde entier.
La capitale sicilienne est une terre de traditions ce qui évite sans doute que son centre soit totalement standardisé, comme les autres grandes villes européennes.
Je ne dis pas que vous n'y trouverez pas de Mac Donald ou de boutiques internationales, quoique ces deux catégories de commerces sont assez peu représentées, mais surtout Palerme est restée avec sa vision de la vie.
Une envie frénétique de vivre l'instant présent sans trop se soucier du passé et encore moins de l'avenir.
Un peu de musique pour accompagner votre découverte de Palerme...
Palerme un voyage dans l'instant présent...
Pour les néofites de la cité palermitaine et ce n'est pas un cliché, les rues y sont étroites, sales et parfois mal odorantes.
Les directives européennes n'y sont pas appliquées à la lettre (ou du tout), à en croire les poissons aux yeux vitreux des marchés traditionnels.
Si le dépaysement n'y est pas total pour un Marseillais, pour un Européen lambda, il peut être percutant.
Oubliez tout ce dont vous avez l'habitude et embarquez dans la capitale de la Sicile. A Palerme, vous vivez au rythme d'une ville qui regarde un peu dans ses rétroviseurs, par pudeur, pour se rappeler son glorieux passé et assez peu devant.
Là-bas, les vélos pourtant très à la mode dans les centres urbains du monde entier y sont plus que minoritaires, les pistes cyclables anecdotiques, les métros ou trams inexistants. La voiture y circule en reine absolue.
Pour visiter la ville, privilégiez donc vos baskets et les bus. Palerme, c'est voyager hors du temps, mais surtout dans l'instant présent. Vous vous demandez pourquoi ?
Il suffit d'arpenter via Maqueda, l'une de ses principales artères devenues depuis peu piétonne, pour comprendre l'affirmation.
Au rez-de-chaussée les boutiques correspondent aux standards européens, avec les mêmes babioles destinées aux touristes depuis 1980. Si jamais vous prenez le temps de lever les yeux, alors vous pourrez voir ses immeubles brinquebalants.
C'est un peu comme si la population ne s'attardait pas sur le passé pour se concentrer seulement sur le présent, la seule chose qui vaille vraiment la peine. Le cas est le même dans l'emblématique quartier de la Vucciria.
Outre le plus vieux marché de la ville, ayant plus de 800 ans, ce sont des ruelles qui revivent entre échafaudages, immeubles condamnés ou autres partiellement détruits. Ici et là s'ouvrent des bars avec ou sans cocktail, des pizzerias ou autres restaurants.
Palerme est entièrement tournée vers l'épicurisme de l'instant T, même si les lourdeurs bureaucratiques y sont pour quelque chose dans sa décadence architecturale.
Les directives européennes n'y sont pas appliquées à la lettre (ou du tout), à en croire les poissons aux yeux vitreux des marchés traditionnels.
Si le dépaysement n'y est pas total pour un Marseillais, pour un Européen lambda, il peut être percutant.
Oubliez tout ce dont vous avez l'habitude et embarquez dans la capitale de la Sicile. A Palerme, vous vivez au rythme d'une ville qui regarde un peu dans ses rétroviseurs, par pudeur, pour se rappeler son glorieux passé et assez peu devant.
Là-bas, les vélos pourtant très à la mode dans les centres urbains du monde entier y sont plus que minoritaires, les pistes cyclables anecdotiques, les métros ou trams inexistants. La voiture y circule en reine absolue.
Pour visiter la ville, privilégiez donc vos baskets et les bus. Palerme, c'est voyager hors du temps, mais surtout dans l'instant présent. Vous vous demandez pourquoi ?
Il suffit d'arpenter via Maqueda, l'une de ses principales artères devenues depuis peu piétonne, pour comprendre l'affirmation.
Au rez-de-chaussée les boutiques correspondent aux standards européens, avec les mêmes babioles destinées aux touristes depuis 1980. Si jamais vous prenez le temps de lever les yeux, alors vous pourrez voir ses immeubles brinquebalants.
C'est un peu comme si la population ne s'attardait pas sur le passé pour se concentrer seulement sur le présent, la seule chose qui vaille vraiment la peine. Le cas est le même dans l'emblématique quartier de la Vucciria.
Outre le plus vieux marché de la ville, ayant plus de 800 ans, ce sont des ruelles qui revivent entre échafaudages, immeubles condamnés ou autres partiellement détruits. Ici et là s'ouvrent des bars avec ou sans cocktail, des pizzerias ou autres restaurants.
Palerme est entièrement tournée vers l'épicurisme de l'instant T, même si les lourdeurs bureaucratiques y sont pour quelque chose dans sa décadence architecturale.
Palerme : la décadence, mais toujours avec charme !
Cette relation étroite avec les plaisirs de la vie est peut-être à chercher avec son histoire et sa relation étroite avec la mafia.
D'ailleurs, je vous conseillerais vivement de visiter le petit musée (en anglais ou italien) "No mafia", où vous découvrirez que l'organisation trouve ses racines dans les livres d'histoire et pas seulement dans le Parrain.
Une économie parallèle ne devient pas si imposante, jusqu'à peser 120 milliards par an de recettes, en quelques années, ni grammes de stupéfiant. Vous y découvrirez des histoires et portraits, pour mieux comprendre ce qu'est et vit la Palerme d'aujourd'hui, mais aussi sa région.
Quand vous savez que tout peut s'arrêter du jour au lendemain, sur décision d'une seule personne, cela vous apprend à vivre l'instant présent jusqu'au dernier millième de seconde.
Si la décadence, notamment immobilière y est partout, c'est même à se demander comment se foutra de pierres tient encore debout, vous plongerez aussi dans une ville terriblement vivante.
Chaque soir, vers 22h (et pas avant !), chaleur oblige, les rues se gorgent de monde. Une foule bruyante et toujours sur son 31, envahit alors les moindres recoins de l'espace public.
Attention, pour les ochlophobes ou autres agoraphobes privilégiez alors les adresse plus ou moins confidentielles, comme le toit-terrasse de l'hôtel Ambasciatori (réservation obligatoire) qui vous offrira une vue à couper le souffle sur les toits de la ville.
Et que dire alors des samedis, où la génération Z possède même son artère entièrement dédiée. A la bifurcation de laquelle, vous trouverez toujours une église élégamment illuminée posant fièrement au milieu d'une micro-place.
Pour les amoureux du patrimoine historique, vous ne serez pas déçus. Si Rome a ses ruines romaines à chaque coin de rue, Palerme y a ses palais et surtout ses églises.
Il faut compter pas moins de 2 à 3 édifices religieux, par rue, notamment dans le centro storico. Imaginez alors un peu l'ampleur de la tâche pour les collectionneurs de clochers.
Si Caen avait, avant la Seconde Guerre mondiale, le surnom de ville aux cent clochés, que dire de Palerme ? Le trophée de ville aux mille clochers serait amplement mérité.
De celle offrant une vue à couper le souffle sur les toits de la ville (clocher de l’église Santissimo Salvatore), à celle plus graphique (église de Santa Caterina) ou encore la plus flashy avec des dorures dans ses moindres recoins (Martorana), sans oublier le joyau de toute au style arabo-normand (Chapelle palatine de Palerme)... Il y en aura pour tous les goûts.
A noter que la dernière nommée vaut à elle seule le déplacement dans la capitale sicilienne.
D'ailleurs, je vous conseillerais vivement de visiter le petit musée (en anglais ou italien) "No mafia", où vous découvrirez que l'organisation trouve ses racines dans les livres d'histoire et pas seulement dans le Parrain.
Une économie parallèle ne devient pas si imposante, jusqu'à peser 120 milliards par an de recettes, en quelques années, ni grammes de stupéfiant. Vous y découvrirez des histoires et portraits, pour mieux comprendre ce qu'est et vit la Palerme d'aujourd'hui, mais aussi sa région.
Quand vous savez que tout peut s'arrêter du jour au lendemain, sur décision d'une seule personne, cela vous apprend à vivre l'instant présent jusqu'au dernier millième de seconde.
Si la décadence, notamment immobilière y est partout, c'est même à se demander comment se foutra de pierres tient encore debout, vous plongerez aussi dans une ville terriblement vivante.
Chaque soir, vers 22h (et pas avant !), chaleur oblige, les rues se gorgent de monde. Une foule bruyante et toujours sur son 31, envahit alors les moindres recoins de l'espace public.
Attention, pour les ochlophobes ou autres agoraphobes privilégiez alors les adresse plus ou moins confidentielles, comme le toit-terrasse de l'hôtel Ambasciatori (réservation obligatoire) qui vous offrira une vue à couper le souffle sur les toits de la ville.
Et que dire alors des samedis, où la génération Z possède même son artère entièrement dédiée. A la bifurcation de laquelle, vous trouverez toujours une église élégamment illuminée posant fièrement au milieu d'une micro-place.
Pour les amoureux du patrimoine historique, vous ne serez pas déçus. Si Rome a ses ruines romaines à chaque coin de rue, Palerme y a ses palais et surtout ses églises.
Il faut compter pas moins de 2 à 3 édifices religieux, par rue, notamment dans le centro storico. Imaginez alors un peu l'ampleur de la tâche pour les collectionneurs de clochers.
Si Caen avait, avant la Seconde Guerre mondiale, le surnom de ville aux cent clochés, que dire de Palerme ? Le trophée de ville aux mille clochers serait amplement mérité.
De celle offrant une vue à couper le souffle sur les toits de la ville (clocher de l’église Santissimo Salvatore), à celle plus graphique (église de Santa Caterina) ou encore la plus flashy avec des dorures dans ses moindres recoins (Martorana), sans oublier le joyau de toute au style arabo-normand (Chapelle palatine de Palerme)... Il y en aura pour tous les goûts.
A noter que la dernière nommée vaut à elle seule le déplacement dans la capitale sicilienne.
Le rendez-vous manqué avec la street-food, l'autre fierté de Palerme
Si Palerme est vivante, vibrante et bouillante, elle est comme les capitales européennes pas toujours très accueillante.
Soit les Palermitains se sentent étouffés par les hordes de touristes (1,594 million en 2019, pour un 670 000 habitants), soit l'effet "capitale" les rend parfois déplaisants.
Malgré tout, Palerme est une ville tournée vers l'autre.
De par, son histoire et ses multiples conquêtes ayant chacune laissé ses traces, la capitale sicilienne n'hésite pas à ouvrir ses portes et ses bras. Leoluca Orlando, son maire est un ferveur défenseur des droits des migrants, dans un pays qui se tourne volontiers toujours plus vers le populisme, élection après élection.
Cette tradition d'ouverture se retrouve jusque dans les panneaux de signalisation du centre historique aussi bien traduit en hébreu qu'en arabe. Une mixité qui je ne vous l'apprendrais pas, se retrouve dans son architecture.
Une cité qui offre le luxe de proposer sur un sable chaud à sa population une plage paradisiaque. Toutefois il convient d'éviter les zones de vacances et les weekends.
Si tel est le cas, alors vous aurez la chance de plonger à Mondello dans une eau d'une rare limpidité et d'un bleu rappelant parfois certaines plages antillaises, le tout contre 1,40 euro (le prix du bus municipal).
Et comme pour vous rappeler, que la décadence de Palerme n'est jamais trop loin, sur le flanc de la colline des dizaines d'immeubles à l'apparence évantrée, mais sans nul doute abandonnés, vous offriront une vue de fin du monde lorsque vous nagerez dans le lagon palermitain.
Toujours dans cette volonté de vivre l'instant présent, à Palerme l'art culinaire se trouve dans la rue (enfin d'après de nombreux sites et voyageurs). La street food y serait un des piliers de la ville.
Pourtant à bien y regarder et profiter de la cité sicilienne, ce n'est pas nécessairement dans les échoppes à bas prix que vous dégusterez le meilleur de l'île. Je n'ai peut être pas trouvé les meilleures adresses.
Je vous conseillerai plutôt de privilégier les restaurants, si possible pas ceux proposant des menus internationaux ni à trois euros, six cents.
Dans le cas présent, si vous sortez la carte bleue et êtes prêts à avaler des prix franco-français, alors les pizzas y seront plus que délicieuses (Anica ou à la part chez Timilia), les plats de pâtes et la gastronomie locale à tomber (locanda del gusto), tout comme les cannoli (Pasticceria Costa).
Palerme n'est pas Berlin ou Londres, ce n'est pas une ville facile et sans doute sans comparaison possible avec d'autres cités européennes. Pour les plus aventureux, les amoureux de la culture italienne et de la dolce vita, alors vous découvrirez une ville terriblement attachante et d'une rare beauté.
Soit les Palermitains se sentent étouffés par les hordes de touristes (1,594 million en 2019, pour un 670 000 habitants), soit l'effet "capitale" les rend parfois déplaisants.
Malgré tout, Palerme est une ville tournée vers l'autre.
De par, son histoire et ses multiples conquêtes ayant chacune laissé ses traces, la capitale sicilienne n'hésite pas à ouvrir ses portes et ses bras. Leoluca Orlando, son maire est un ferveur défenseur des droits des migrants, dans un pays qui se tourne volontiers toujours plus vers le populisme, élection après élection.
Cette tradition d'ouverture se retrouve jusque dans les panneaux de signalisation du centre historique aussi bien traduit en hébreu qu'en arabe. Une mixité qui je ne vous l'apprendrais pas, se retrouve dans son architecture.
Une cité qui offre le luxe de proposer sur un sable chaud à sa population une plage paradisiaque. Toutefois il convient d'éviter les zones de vacances et les weekends.
Si tel est le cas, alors vous aurez la chance de plonger à Mondello dans une eau d'une rare limpidité et d'un bleu rappelant parfois certaines plages antillaises, le tout contre 1,40 euro (le prix du bus municipal).
Et comme pour vous rappeler, que la décadence de Palerme n'est jamais trop loin, sur le flanc de la colline des dizaines d'immeubles à l'apparence évantrée, mais sans nul doute abandonnés, vous offriront une vue de fin du monde lorsque vous nagerez dans le lagon palermitain.
Toujours dans cette volonté de vivre l'instant présent, à Palerme l'art culinaire se trouve dans la rue (enfin d'après de nombreux sites et voyageurs). La street food y serait un des piliers de la ville.
Pourtant à bien y regarder et profiter de la cité sicilienne, ce n'est pas nécessairement dans les échoppes à bas prix que vous dégusterez le meilleur de l'île. Je n'ai peut être pas trouvé les meilleures adresses.
Je vous conseillerai plutôt de privilégier les restaurants, si possible pas ceux proposant des menus internationaux ni à trois euros, six cents.
Dans le cas présent, si vous sortez la carte bleue et êtes prêts à avaler des prix franco-français, alors les pizzas y seront plus que délicieuses (Anica ou à la part chez Timilia), les plats de pâtes et la gastronomie locale à tomber (locanda del gusto), tout comme les cannoli (Pasticceria Costa).
Palerme n'est pas Berlin ou Londres, ce n'est pas une ville facile et sans doute sans comparaison possible avec d'autres cités européennes. Pour les plus aventureux, les amoureux de la culture italienne et de la dolce vita, alors vous découvrirez une ville terriblement attachante et d'une rare beauté.
Palerme en photos :
Sicile : Test antigénique or not, telle est la question...
Voyage en plein covid, c'est voyager avec des restrictions, même en Europe (en septembre 2021).
A l'époque, la Sicile (le site de France Diplomatie) faisait office d'exception en Italie, car nous parlons de la région la plus touchée par l'épidémie.
Placée dans la catégorie jaune, ce qui signifie que le test antigénique est obligatoire à l'arrivée même pour les vaccinés, la Sicile est sous surveillance.
Il est 23h30 quand les portes de l'avion s'ouvrent et que nous cherchons donc le fameux lieu pour se faire tester.
Alors que des employés de l'aéroport nous guident vers un kiosque, dans le but d'accéder au test, des personnes nous tendent un document à remplir.
Pendant ce temps et alors que les explications sont approximatives, une grande partie des passagers se dirigent vers...la sortie, sans aucun contrôle des autorités ou quelconques salariés de l'installation.
Une fois arrivé dans la salle pour se faire tester, aucune attente, malgré les différents avions et les plus de 200 passagers que comportait notre vol.
Tout au plus nous étions 5 ou 6 à recevoir notre coton-tige dans le nez, afin d'obtenir notre sésame pour éviter toute amende, en cas de contrôle par les forces de l'ordre.
Si jamais vous devez conseiller des clients pour un séjour en Sicile, il ne faut pas trop les inquiéter sur les mesures, même si elles sont indispensables... Depuis toute l'Italie est en zone blanche, donc sans aucune restriction.
Malgré tout, le test rapide reste obligatoire pour l'ensemble des voyageurs se rendant en Sicile depuis la France et ce jusqu'au 31 décembre 2021.
A l'époque, la Sicile (le site de France Diplomatie) faisait office d'exception en Italie, car nous parlons de la région la plus touchée par l'épidémie.
Placée dans la catégorie jaune, ce qui signifie que le test antigénique est obligatoire à l'arrivée même pour les vaccinés, la Sicile est sous surveillance.
Il est 23h30 quand les portes de l'avion s'ouvrent et que nous cherchons donc le fameux lieu pour se faire tester.
Alors que des employés de l'aéroport nous guident vers un kiosque, dans le but d'accéder au test, des personnes nous tendent un document à remplir.
Pendant ce temps et alors que les explications sont approximatives, une grande partie des passagers se dirigent vers...la sortie, sans aucun contrôle des autorités ou quelconques salariés de l'installation.
Une fois arrivé dans la salle pour se faire tester, aucune attente, malgré les différents avions et les plus de 200 passagers que comportait notre vol.
Tout au plus nous étions 5 ou 6 à recevoir notre coton-tige dans le nez, afin d'obtenir notre sésame pour éviter toute amende, en cas de contrôle par les forces de l'ordre.
Si jamais vous devez conseiller des clients pour un séjour en Sicile, il ne faut pas trop les inquiéter sur les mesures, même si elles sont indispensables... Depuis toute l'Italie est en zone blanche, donc sans aucune restriction.
Malgré tout, le test rapide reste obligatoire pour l'ensemble des voyageurs se rendant en Sicile depuis la France et ce jusqu'au 31 décembre 2021.
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