Après un mois de janvier à -28%, février à -22% et mars à -14%, « l’essoufflement s’essouffle », ironise Albert Benabou, Directeur de l’ONIT.
Il constate que, petit à petit, la situation se rééquilibre en matière de fréquentation touristique d’Israël.
Sur cette base, il est peu probable, pour ne pas dire certain, qu’Israël dépasse la barre des 300.000 visiteurs français, barre atteinte en 2008 (+10% sur 2007), qui place la France en seconde position des pays émetteurs derrière les USA.
Pourtant, l’année 2009 promettait puisque la ville de Tel-Aviv fête ses 100 ans avec son lot de manifestations très attractives, à l’instar du groupe Depeche Mode qui s’y est produit dernièrement.
Il constate que, petit à petit, la situation se rééquilibre en matière de fréquentation touristique d’Israël.
Sur cette base, il est peu probable, pour ne pas dire certain, qu’Israël dépasse la barre des 300.000 visiteurs français, barre atteinte en 2008 (+10% sur 2007), qui place la France en seconde position des pays émetteurs derrière les USA.
Pourtant, l’année 2009 promettait puisque la ville de Tel-Aviv fête ses 100 ans avec son lot de manifestations très attractives, à l’instar du groupe Depeche Mode qui s’y est produit dernièrement.
Tel-Aviv parie sur le city break branché
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Tel-Aviv, « la ville qui ne dort jamais », destination branchée d’un city break en Terre Sainte, inaugurera d’ici 2 ans, 2.000 chambres d’hôtel supplémentaires, à en croire Eli Ziv, Directeur de l’association des hôteliers de Tel-Aviv Jaffa, présent pour l’occasion.
Et pour promouvoir les infrastructures de la ville, un grand workshop réunissant 40 hôtels exposants a été organisé le 14 mai. À ce dispositif s’ajoute une campagne de pub exceptionnelle cette année.
Alors qu’habituellement l’ONIT communique en trois vagues d’affichage et de pages de pub (pour un montant total évalué entre 1 et 1,2 millions d’€), l’office s’est offert un plan média télé audacieux comprenant 50 spots en prime time sur TF1 (diffusés à partir du 29 mai après le JT de 20h00), pour un coût non communiqué mais « très bien négocié » concède A. Benabou.
De quoi redonner un coût de fouet à une destination qui, bien que très majoritairement fréquentée par des « affinitaires » au départ de la France (à 68%), souffre d’une vraie récession de sa fréquentation.
Israël qui s’est fixé pour objectif d’attirer 5 millions de touristes en 2015, contre 2,6 millions en 2008 (1).
(1) Hors visiteurs d’une journée en provenance d’Europe de l’Est.
Et pour promouvoir les infrastructures de la ville, un grand workshop réunissant 40 hôtels exposants a été organisé le 14 mai. À ce dispositif s’ajoute une campagne de pub exceptionnelle cette année.
Alors qu’habituellement l’ONIT communique en trois vagues d’affichage et de pages de pub (pour un montant total évalué entre 1 et 1,2 millions d’€), l’office s’est offert un plan média télé audacieux comprenant 50 spots en prime time sur TF1 (diffusés à partir du 29 mai après le JT de 20h00), pour un coût non communiqué mais « très bien négocié » concède A. Benabou.
De quoi redonner un coût de fouet à une destination qui, bien que très majoritairement fréquentée par des « affinitaires » au départ de la France (à 68%), souffre d’une vraie récession de sa fréquentation.
Israël qui s’est fixé pour objectif d’attirer 5 millions de touristes en 2015, contre 2,6 millions en 2008 (1).
(1) Hors visiteurs d’une journée en provenance d’Europe de l’Est.