Selon les chiffres de la DGCIS* présentés à l'occasion du Forum du SETO à Deauville, 60% des voyages en France ou à l'étranger ont été réservés auprès des prestataires en direct.
Seuls 15% sont réservés par l'intermédiaire d'une agence de voyages ou d'un TO.
"Depuis 2005, il y a une légère érosion, d'environ 2 points" confirme Daniel Rulfi de la DGCIS.
Toutefois, la proportion passe à 46% pour les longs séjours (+ de 4 nuits) à l'étranger.
Pour les courts séjours (1 à 3 nuits), hors France, seuls 17% des voyages passent par une agence de voyages ou un TO, tandis que 59% sont réservés via les prestataires directs.
Seuls 15% sont réservés par l'intermédiaire d'une agence de voyages ou d'un TO.
"Depuis 2005, il y a une légère érosion, d'environ 2 points" confirme Daniel Rulfi de la DGCIS.
Toutefois, la proportion passe à 46% pour les longs séjours (+ de 4 nuits) à l'étranger.
Pour les courts séjours (1 à 3 nuits), hors France, seuls 17% des voyages passent par une agence de voyages ou un TO, tandis que 59% sont réservés via les prestataires directs.
Les courts séjours à l'étranger en croissance en 2012
Au total, les Français ont réalisé plus de 22 millions de voyages à l'étranger pour motifs personnels en 2012, soit 10% de l'ensemble des séjours, pour une moyenne de 9,3 nuitées.
Ces séjours ont représenté plus de 200 millions de nuitées, soit 18% des nuitées totales.
Le nombre des courts séjours (de 1 à 3 nuits) à l'étranger est en croissance en 2012, alors que les longs séjours sont en recul.
Enfin contrairement aux idées reçues "le tourisme émetteur a plutôt mieux résisté que le tourisme domestique", si l'on tient compte de la "légère érosion du taux de départ en voyage des Français, et du nombre moyen de voyages par individu parti", souligne Daniel Rulfi.
Ces séjours ont représenté plus de 200 millions de nuitées, soit 18% des nuitées totales.
Le nombre des courts séjours (de 1 à 3 nuits) à l'étranger est en croissance en 2012, alors que les longs séjours sont en recul.
Enfin contrairement aux idées reçues "le tourisme émetteur a plutôt mieux résisté que le tourisme domestique", si l'on tient compte de la "légère érosion du taux de départ en voyage des Français, et du nombre moyen de voyages par individu parti", souligne Daniel Rulfi.
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*Panel de 20 000 personnes (15 ans et plus) représentatif de la population, interrogé chaque mois (par un prestataire extérieur).