La réussite la plus flagrante de l'année c'est celle de Carlos Da Silva et Nicolas Brumelot qui étaient à la tête de 62 millions d'euros l'année dernière et ont doublé la mise pour arriver à 150 millions cette année ! /photo dr
Le tourisme est une diversification de charme pour les vraiment grosses fortunes.
Après tout le milliardaire Richard Branson a montré le chemin en faisant d'abord fortune avec la musique, avant de s'intéresser au transport aérien et au tourisme.
Idem pour la France. Parmi les plus riches, la famille Mulliez, classée numéro deux avec un pactole de 18 milliards d'euros qui détient entre autres le groupe Auchan s'est décidé à faire une petite place à Voyages Auchan.
Même initiative avec François Pinault qui du haut de ses 6,3 milliards développe du voyage avec la Fnac.
Ou encore avec la famille Bourlez détentrice du groupe Louis Delhaize, 19e fortune française avec 2,1 milliards qui contrôle les hypermarchés Cora et donc Cora Voyages...
Mais pour devenir vraiment, vraiment, vraiment riche, mieux vaut éviter le tourisme à de rares exceptions près.
La réussite la plus flagrante de l'année c'est celle de Carlos Da Silva et Nicolas Brumelot qui étaient à la tête de 62 millions d'euros l'année dernière et ont doublé la mise pour arriver à 150 millions cette année !
Entretemps, ils ont vendu Go Voyages aux fonds de pension qui l'ont intégrée à Odigeo avec Opodo et e-Dreams apportant ainsi une valorisation démultipliée au nouveau groupe.
Les 150 millions de Carlos et Nicolas sont les participations qu'ils détiennent encore dans Odigeo, passant de la 493ème fortune à la 233ème. Souhaitons-leur une valorisation encore accentuée lorsqu'ils souhaiteront s'en séparer...
Après tout le milliardaire Richard Branson a montré le chemin en faisant d'abord fortune avec la musique, avant de s'intéresser au transport aérien et au tourisme.
Idem pour la France. Parmi les plus riches, la famille Mulliez, classée numéro deux avec un pactole de 18 milliards d'euros qui détient entre autres le groupe Auchan s'est décidé à faire une petite place à Voyages Auchan.
Même initiative avec François Pinault qui du haut de ses 6,3 milliards développe du voyage avec la Fnac.
Ou encore avec la famille Bourlez détentrice du groupe Louis Delhaize, 19e fortune française avec 2,1 milliards qui contrôle les hypermarchés Cora et donc Cora Voyages...
Mais pour devenir vraiment, vraiment, vraiment riche, mieux vaut éviter le tourisme à de rares exceptions près.
La réussite la plus flagrante de l'année c'est celle de Carlos Da Silva et Nicolas Brumelot qui étaient à la tête de 62 millions d'euros l'année dernière et ont doublé la mise pour arriver à 150 millions cette année !
Entretemps, ils ont vendu Go Voyages aux fonds de pension qui l'ont intégrée à Odigeo avec Opodo et e-Dreams apportant ainsi une valorisation démultipliée au nouveau groupe.
Les 150 millions de Carlos et Nicolas sont les participations qu'ils détiennent encore dans Odigeo, passant de la 493ème fortune à la 233ème. Souhaitons-leur une valorisation encore accentuée lorsqu'ils souhaiteront s'en séparer...
La famille Colson, 479ème fortune, est sortie du classement cette année
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A l'inverse, la famille Colson qui se classait 479ème fortune, avec 65 millions pour Fram l'année dernière, est sortie du classement des 500 cette année.
Deux autres fortunes réalisées dans l'aérien viennent contredire le dicton selon lequel il faut être milliardaire pour devenir millionnaire.
La Famille Marchais (Michel et son fils Rodolphe) qui a très bien vendu la compagnie TAT à British Airways il y a quelques années et a continué à avoir une activité de maintenance d'avions. Les Marchais sont 129ème fortune avec 320 millions.
Et puis, il y a la famille Dubreuil qui contrôle, entre autres Air Caraïbes, 200ème fortune avec 190 millions.
Reste les hôteliers dont le parc immobilier connaît des tendance diverses. La famille Apavou avec ses hôtels dans l'Océan indien se classe 62ème fortune française.
Mais ce sont surtout les locations d'habitations qui constituent l'essentiel de la valorisation. Comme l'explique Challenges, le groupe Apavou loge 10% des Réunionnais... Cela fait tout de même un pactole de 700 millions d'euros.
Autre famille d'hôteliers célèbres, les Desseigne-Barrière qui rétrograde de la 92ème place à la 118ème place mais avec toujours 350 millions entre les mains...
Jean-Louis Costes, restaurateur et hôtelier les rattrape avec une valorisation de 280 millions pour son groupe Costes (les restaurants mais aussi le Lotti et le Costes à Paris).
Le groupe Partouche rétrograde de près de 200 places avec un bien valorisé en baisse à 78 millions d'euros. Même dégringolade pour Gérard Brémond qui avec 44% de Pierre et Vacances ne compte "plus" qu'une soixantaine de millions.
C'est la plus forte chute du classement. Mais nul doute que le roi de la résidence de vacances fait encore des envieux !
Deux autres fortunes réalisées dans l'aérien viennent contredire le dicton selon lequel il faut être milliardaire pour devenir millionnaire.
La Famille Marchais (Michel et son fils Rodolphe) qui a très bien vendu la compagnie TAT à British Airways il y a quelques années et a continué à avoir une activité de maintenance d'avions. Les Marchais sont 129ème fortune avec 320 millions.
Et puis, il y a la famille Dubreuil qui contrôle, entre autres Air Caraïbes, 200ème fortune avec 190 millions.
Reste les hôteliers dont le parc immobilier connaît des tendance diverses. La famille Apavou avec ses hôtels dans l'Océan indien se classe 62ème fortune française.
Mais ce sont surtout les locations d'habitations qui constituent l'essentiel de la valorisation. Comme l'explique Challenges, le groupe Apavou loge 10% des Réunionnais... Cela fait tout de même un pactole de 700 millions d'euros.
Autre famille d'hôteliers célèbres, les Desseigne-Barrière qui rétrograde de la 92ème place à la 118ème place mais avec toujours 350 millions entre les mains...
Jean-Louis Costes, restaurateur et hôtelier les rattrape avec une valorisation de 280 millions pour son groupe Costes (les restaurants mais aussi le Lotti et le Costes à Paris).
Le groupe Partouche rétrograde de près de 200 places avec un bien valorisé en baisse à 78 millions d'euros. Même dégringolade pour Gérard Brémond qui avec 44% de Pierre et Vacances ne compte "plus" qu'une soixantaine de millions.
C'est la plus forte chute du classement. Mais nul doute que le roi de la résidence de vacances fait encore des envieux !