L'encadrement de GO Voyages paye un lourd tribut à la fusion de GO Voyages, Opodo et edreams par les fonds d'investissement Permira et Axa Private Equity /photo dr
Les noms de Nicolas Brumelot et Jean-Pol Leclercq, viendraient s’ajouter à la déjà longue liste des cadres de GO Voyages qui sont allés voir ailleurs au cours des derniers mois.
Certes, Carlos da Silva, nommé lors de la fusion patron France du Groupe présidé par Javier Perez-Tenessa, co-fondateur de eDreams est toujours présent (jusqu’à quand ?).
Car, nommé en juillet, il n’aura pas fait long feu à ce poste.
Dès novembre, il était dégagé des tâches opérationnelles pour devenir vice-président non executive.
C’est maintenant au tour de son complice et associé de quitter l’entreprise. Il rejoindra sa femme, Sylvie Brumelot, directrice financière de GO priée, elle aussi, de regagner ses pénates fin juin...
Pour faire bon poids bonne mesure, ajoutons Yves Picchi, directeur général adjoint, parti en mars, accompagné de Lionel Allouche, secrétaire général et Nadia Van Cleven, directeur de la production TO, à la même date.
Manifestement, il y avait beaucoup de doublons dans le nouvel organigramme... Surtout du côté de GO.
“J’ai appris qu’il y avait une responsable des ressources humaines qui avait été nommée en mars dernier à Paris.
Elle n’est pas dans nos locaux et je ne l’ai jamais aperçue ni eu un quelconque contact avec elle, déplore un cadre de la marque à la grenouille.
Certes, Carlos da Silva, nommé lors de la fusion patron France du Groupe présidé par Javier Perez-Tenessa, co-fondateur de eDreams est toujours présent (jusqu’à quand ?).
Car, nommé en juillet, il n’aura pas fait long feu à ce poste.
Dès novembre, il était dégagé des tâches opérationnelles pour devenir vice-président non executive.
C’est maintenant au tour de son complice et associé de quitter l’entreprise. Il rejoindra sa femme, Sylvie Brumelot, directrice financière de GO priée, elle aussi, de regagner ses pénates fin juin...
Pour faire bon poids bonne mesure, ajoutons Yves Picchi, directeur général adjoint, parti en mars, accompagné de Lionel Allouche, secrétaire général et Nadia Van Cleven, directeur de la production TO, à la même date.
Manifestement, il y avait beaucoup de doublons dans le nouvel organigramme... Surtout du côté de GO.
“J’ai appris qu’il y avait une responsable des ressources humaines qui avait été nommée en mars dernier à Paris.
Elle n’est pas dans nos locaux et je ne l’ai jamais aperçue ni eu un quelconque contact avec elle, déplore un cadre de la marque à la grenouille.
Un joli schéma financier, plein de courbes et d’histogrammes
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"On travaille d’arrache-pied à établir des synergies entre nous. Mais tout ne se fait pas en un jour, et encore moins lorsqu’il s’agit de technologie..." rappelait prophétiquement, en juillet 2011, Carlos da Silva.
Le patron de GO touchait déjà du doigt la gageure que représentait la fusion en 2011 de GO Voyages, Opodo et edreams par les fonds d'investissement Permira et Axa Private Equity.
Un joli schéma financier, plein de courbes et d’histogrammes, de 3 agences en ligne qui pèsent plus de 3 milliards d’euros.
3 entités aux cultures bien trempées mais dont la complémentarité sur le terrain reste à démontrer. Surtout avec un centre décisionnel en Espagne...
Bref, un “chef d’oeuvre” conçu par des financiers qui taillent maintenant dans le vif pour améliorer ratios et rentabilité.
Il faut juste espérer que les costumes gris chez Odigéo aient bien verrouillé les clauses de concurrence. Ne dit-on pas que le propre de la grenouille c’est de rebondir ?
Le patron de GO touchait déjà du doigt la gageure que représentait la fusion en 2011 de GO Voyages, Opodo et edreams par les fonds d'investissement Permira et Axa Private Equity.
Un joli schéma financier, plein de courbes et d’histogrammes, de 3 agences en ligne qui pèsent plus de 3 milliards d’euros.
3 entités aux cultures bien trempées mais dont la complémentarité sur le terrain reste à démontrer. Surtout avec un centre décisionnel en Espagne...
Bref, un “chef d’oeuvre” conçu par des financiers qui taillent maintenant dans le vif pour améliorer ratios et rentabilité.
Il faut juste espérer que les costumes gris chez Odigéo aient bien verrouillé les clauses de concurrence. Ne dit-on pas que le propre de la grenouille c’est de rebondir ?