« On sait bien que les instances poussent à ce qu’il y ait réélection des administrateurs. Quelle agence votera pour un nouveau venu alors que son vote sera dévoilé à tous ? »
Cachez ce vote que je ne saurai voir !
Régis Alabert d’Albi Voyages Sélectour, nouveau candidat à l’élection des administrateurs de la coopérative AS Voyages du 17 décembre - ils ne sont que deux nouveaux au sein du collège Selectour - s’étonne des modalités du vote par correspondance.
« La plupart des adhérents sont incités à voter par correspondance plutôt que de se déplacer à Paris le 17 décembre pour voter sur place.
Or, si on opte pour le vote par correspondance, on a à sa disposition une enveloppe avec le nom de l’entreprise et le numéro de licence dans laquelle il faut glisser une première feuille d’identification et une deuxième feuille qui comporte la liste des candidats, autrement dit le bulletin de vote. », explique Régis Alabert.
Ce qui chiffonne ce nouveau candidat c’est l’absence d’une deuxième enveloppe dans laquelle les votants auraient glissé leur bulletin.
Régis Alabert d’Albi Voyages Sélectour, nouveau candidat à l’élection des administrateurs de la coopérative AS Voyages du 17 décembre - ils ne sont que deux nouveaux au sein du collège Selectour - s’étonne des modalités du vote par correspondance.
« La plupart des adhérents sont incités à voter par correspondance plutôt que de se déplacer à Paris le 17 décembre pour voter sur place.
Or, si on opte pour le vote par correspondance, on a à sa disposition une enveloppe avec le nom de l’entreprise et le numéro de licence dans laquelle il faut glisser une première feuille d’identification et une deuxième feuille qui comporte la liste des candidats, autrement dit le bulletin de vote. », explique Régis Alabert.
Ce qui chiffonne ce nouveau candidat c’est l’absence d’une deuxième enveloppe dans laquelle les votants auraient glissé leur bulletin.
Le vote de chaque agence sera connu de tous
« Par le passé chez Selectour, nous avons toujours procédé sur le système des deux enveloppes.
Ce qui fait qu’au moment du dépouillement, le pointage des agences peut se faire sans que l’on sache pour qui elles ont voté », explique cet adhérent au réseau depuis plus de trente ans.
Cette fois-ci, le vote de chaque agence sera connu de tous. Régis Alabert a bien fait remarqué cette « anomalie » aux instances dirigeantes pour se faire rétorquer que désormais ce serait comme ça.
Or, pour cet aspirant au poste d’administrateur, le manque de confidentialité ne favorise justement pas les nouveaux candidats.
« On sait bien que les instances poussent à ce qu’il y ait réélection des administrateurs. Quelle agence votera pour un nouveau venu alors que son vote sera dévoilé à tous ? », s’interroge-t-il.
Ce qui fait qu’au moment du dépouillement, le pointage des agences peut se faire sans que l’on sache pour qui elles ont voté », explique cet adhérent au réseau depuis plus de trente ans.
Cette fois-ci, le vote de chaque agence sera connu de tous. Régis Alabert a bien fait remarqué cette « anomalie » aux instances dirigeantes pour se faire rétorquer que désormais ce serait comme ça.
Or, pour cet aspirant au poste d’administrateur, le manque de confidentialité ne favorise justement pas les nouveaux candidats.
« On sait bien que les instances poussent à ce qu’il y ait réélection des administrateurs. Quelle agence votera pour un nouveau venu alors que son vote sera dévoilé à tous ? », s’interroge-t-il.
La base doit pouvoir faire entendre sa voix
« On sait déjà que sur les neuf administrateurs requis pour le collège Selectour, sept sont sûrs d’être réélus. Ce qui laisse assez peu de place pour les représentants de petites entreprises ».
Pour Régis Alabert, les petites entreprises doivent pouvoir faire entendre leur point de vue. Elles doivent pouvoir bénéficier d’outils adaptés qui vont leur permettre de repartir à la conquête des clients.
Elles doivent, si elles le désirent, rester multi produits et non pas chercher la spécialisation à outrance.
Bref, entre le petit chef d’entreprise indépendant, l’adhérent de base qui bataille pour maintenir son entreprise dans le mouvement et l’administration du réseau, le fossé ne doit pas se creuser davantage.
« Ces adhérents de base doivent pouvoir faire entendre leurs voix et imposer une gestion prudente des dépenses. Lorsque l’on entend les rumeurs de primes astronomiques attribuées à certains pour avoir réussi la fusion - rumeurs que l’adhérent de base n’a aucun moyen de vérifier - il y a malaise.
« Pour autant, je ne suis pas pour la transparence totale. Certains éléments doivent rester dans la confidentialité. Mais je suis pour une gestion prudente du réseau.
Et je suis pour le nouveau réseau AS Voyages ! ».
Pour Régis Alabert, les petites entreprises doivent pouvoir faire entendre leur point de vue. Elles doivent pouvoir bénéficier d’outils adaptés qui vont leur permettre de repartir à la conquête des clients.
Elles doivent, si elles le désirent, rester multi produits et non pas chercher la spécialisation à outrance.
Bref, entre le petit chef d’entreprise indépendant, l’adhérent de base qui bataille pour maintenir son entreprise dans le mouvement et l’administration du réseau, le fossé ne doit pas se creuser davantage.
« Ces adhérents de base doivent pouvoir faire entendre leurs voix et imposer une gestion prudente des dépenses. Lorsque l’on entend les rumeurs de primes astronomiques attribuées à certains pour avoir réussi la fusion - rumeurs que l’adhérent de base n’a aucun moyen de vérifier - il y a malaise.
« Pour autant, je ne suis pas pour la transparence totale. Certains éléments doivent rester dans la confidentialité. Mais je suis pour une gestion prudente du réseau.
Et je suis pour le nouveau réseau AS Voyages ! ».