En 2004 déjà GL Events, sélectionné après appel d’offres, avait dû renoncer à reprendre la gestion d’Acropolis face à l’hostilité des syndicats. Le scénario semble se reproduire. Le blocage risque d’être dramatique pour le palais des congrès et les manifestations programmées.
« On est en train d’hypothéquer l’avenir, déplore Michel Tshann, président du syndicat des hôteliers de Nice. Les congrès qui ont besoin de sécurité vont hésiter à venir à Nice, seule ville en Europe ou un palais est bloqué par une grève, c’est une image catastrophique.
Certes on comprend les inquiétudes des salariés mais le choix du repreneur s’est réalisé faute de candidats. La situation se complique au moment où la concurrence sur le tourisme d’affaires se radicalise avec des nouveaux entrants comme Barcelone. »
« On est en train d’hypothéquer l’avenir, déplore Michel Tshann, président du syndicat des hôteliers de Nice. Les congrès qui ont besoin de sécurité vont hésiter à venir à Nice, seule ville en Europe ou un palais est bloqué par une grève, c’est une image catastrophique.
Certes on comprend les inquiétudes des salariés mais le choix du repreneur s’est réalisé faute de candidats. La situation se complique au moment où la concurrence sur le tourisme d’affaires se radicalise avec des nouveaux entrants comme Barcelone. »
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« On scie la branche sur laquelle on est posée car c’est l’économie niçoise dans sa totalité qui est menacée. On ne peut se passer du tourisme d’affaires seul créneau sur lequel Nice peut se placer en hiver. On avait pas besoin de ça. »
Les salariés craignent une réduction de personnel (40 sur 100). On évoque la disparition de la moitié des postes.
En janvier, sans repreneur, le palais reviendra à la ville qui, dans la pire des hypothèses fermera l'établissement ou le prendra en régie directe une situation inconfortable pour attirer de nouvelles manifestations.
www.nice-acropolis.com
Les salariés craignent une réduction de personnel (40 sur 100). On évoque la disparition de la moitié des postes.
En janvier, sans repreneur, le palais reviendra à la ville qui, dans la pire des hypothèses fermera l'établissement ou le prendra en régie directe une situation inconfortable pour attirer de nouvelles manifestations.
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