Augustin de Romanet, PDG de Paris Aéroport, présente à la presse ses deux nouvelles marques Paris Aéroport et Groupe ADP - Photo LAC
Paris Aéroport.
Voici la nouvelle marque du groupe Aéroports de Paris dévoilée jeudi 14 avril 2016. Un nom Français et un logo qui rappelle les lignes de la Tour Eiffel.
Une seconde, Groupe ADP, s'adresse au marché corporate.
A l'image de Vinci, d'Eiffage ou de Veolia, ces deux nouvelles marques devraient permettre au groupe aéroportuaire de s'exporter dans le monde entier.
"Nous voulons positionner Paris comme une marque majeure dans la compétition mondiale", a déclaré Augustin de Romanet, le PDG.
Le budget de ce rebranding est inférieur à 12 millions d'euros sur 12 mois.
Il inclut une campagne de communication dont 1/3 sera consacrée à la France et 2/3 au reste du monde, notamment la Chine et le Japon.
Voici la nouvelle marque du groupe Aéroports de Paris dévoilée jeudi 14 avril 2016. Un nom Français et un logo qui rappelle les lignes de la Tour Eiffel.
Une seconde, Groupe ADP, s'adresse au marché corporate.
A l'image de Vinci, d'Eiffage ou de Veolia, ces deux nouvelles marques devraient permettre au groupe aéroportuaire de s'exporter dans le monde entier.
"Nous voulons positionner Paris comme une marque majeure dans la compétition mondiale", a déclaré Augustin de Romanet, le PDG.
Le budget de ce rebranding est inférieur à 12 millions d'euros sur 12 mois.
Il inclut une campagne de communication dont 1/3 sera consacrée à la France et 2/3 au reste du monde, notamment la Chine et le Japon.
Améliorer la qualité de service pour les passagers.
Autres articles
-
Aéroports, compagnies aériennes : les enjeux olympiques de Paris 2024 🔑
-
L’A320neo, une étape capitale pour le développement de Transavia 🔑
-
Corsair : les clients Business accèdent au salon Extime à Orly
-
L'adieu d'Air France à Orly et la schizophrénie des politiques 🔑
-
Delta Air Lines enregistre "des résultats au-delà de nos attentes" 🔑
En parallèle, le groupe poursuit le développement et l'amélioration de ses services.
Il s'engage à ce que les passagers puissent passer les contrôles de sureté en moins de 10 minutes. Il va également travailler sur l'amélioration du temps de livraison bagages.
Il reprend la gestion des bus Air France, exploités par Kéolis d'ici mi-mai. Les véhicules, dont la moitié du parc a été renouvelé, seront équipés de wifi et d'un système d'information en temps réel sur le trajet.
Trois nouveaux arrêts vont être créés au Trocadéro, La Motte Piquet et la Tour Eiffel. Les tarifs restent inchangés : 15 euros pour CDG et 12 euros pour Orly.
Le groupe lance aussi une nouvelle application, qui permettra de connaître les temps d'attentes dans les terminaux.
Elle poussera également de l'information personnalisée aux passagers dans 11 langues. Elle permettra par exemple de réserver un parking en quelques secondes.
Un programme de fidélité digital va être lancé, offrant des services personnalisés dans les boutiques. "Nous voulons cibler les frequent flyer qui consomment moins dans nos magasins", explique Augustin de Romanet.
L'offre commerciale et gastronomique va s'étoffer à la fois dans le luxe et dans l'entrée de gamme. La première boutique Victoria's Secret a ouvert à Orly en décembre dernier. Roissy aura un magasin Marks & Spencer
Coté gastronomie, on comptera quatre restaurants avec chefs étoilés d'ici la fin année et un par terminal à horizon 2020.
Grâce à tous ces efforts, l'aéroport compte bien progresser dans les classements internationaux, notamment chez Skytrax où il est aujourd'hui à la 33e place, contre 95e place il y a deux ans.
Il s'engage à ce que les passagers puissent passer les contrôles de sureté en moins de 10 minutes. Il va également travailler sur l'amélioration du temps de livraison bagages.
Il reprend la gestion des bus Air France, exploités par Kéolis d'ici mi-mai. Les véhicules, dont la moitié du parc a été renouvelé, seront équipés de wifi et d'un système d'information en temps réel sur le trajet.
Trois nouveaux arrêts vont être créés au Trocadéro, La Motte Piquet et la Tour Eiffel. Les tarifs restent inchangés : 15 euros pour CDG et 12 euros pour Orly.
Le groupe lance aussi une nouvelle application, qui permettra de connaître les temps d'attentes dans les terminaux.
Elle poussera également de l'information personnalisée aux passagers dans 11 langues. Elle permettra par exemple de réserver un parking en quelques secondes.
Un programme de fidélité digital va être lancé, offrant des services personnalisés dans les boutiques. "Nous voulons cibler les frequent flyer qui consomment moins dans nos magasins", explique Augustin de Romanet.
L'offre commerciale et gastronomique va s'étoffer à la fois dans le luxe et dans l'entrée de gamme. La première boutique Victoria's Secret a ouvert à Orly en décembre dernier. Roissy aura un magasin Marks & Spencer
Coté gastronomie, on comptera quatre restaurants avec chefs étoilés d'ici la fin année et un par terminal à horizon 2020.
Grâce à tous ces efforts, l'aéroport compte bien progresser dans les classements internationaux, notamment chez Skytrax où il est aujourd'hui à la 33e place, contre 95e place il y a deux ans.
9000 caméras pour surveiller les aéroports parisiens
Depuis le 13 novembre dernier, Aéroport de Paris a renforcé ses contrôles de sécurité.
Les sacs sont désormais ouverts à l'entrée des zones publiques.
Des patrouilles cynophiles ont été déployées pour détecter les explosifs dans les bagages, toujours dans la publique. Enfin, des "profileurs" sillonnent les couloirs pour détecter les comportements suspects.
Au total, près de 9000 caméras surveillent désormais les passagers. Et d'autres devraient encore arriver. "Il reste certaines zones qu'il faut mieux surveiller", assure Augustin de Romanet.
Les sacs sont désormais ouverts à l'entrée des zones publiques.
Des patrouilles cynophiles ont été déployées pour détecter les explosifs dans les bagages, toujours dans la publique. Enfin, des "profileurs" sillonnent les couloirs pour détecter les comportements suspects.
Au total, près de 9000 caméras surveillent désormais les passagers. Et d'autres devraient encore arriver. "Il reste certaines zones qu'il faut mieux surveiller", assure Augustin de Romanet.