
Entendu à bord lord du vol 255 juste après un atterrissage un peu rude à Capetown, « Il y a eu comme un grosse bosse et je sais ce que vous pensez tous. Je tiens à vous préciser que ce n’est la faute ni de la compagnie aérienne, ni de celle du pilote, ni des membres d’équipage, c’est la faute de l’asphalte. »