Air Canada : les résultats financiers s'envolent au 1er trimestre 2019 - Crédit photo : Air Canada
Souvent citée, pour reprendre sa concurrente, Air Canada va pouvoir formuler une offre conséquente, portée par un premier trimestre plus qu'encourageant.
A lire : Canada : qui veut racheter Air Transat ?
Si Air Transat est en vente, affichant par la même occasion des résultats négatifs, du côté de Montréal ce début d'année a permis d'enregistrer un chiffre d'affaires sans précédent de 3,98 milliards d'euros.
"Ces résultats viennent confirmer notre capacité d'exercer nos activités de manière durablement rentable, malgré les variations du cours du carburant, les fluctuations du change, ou d'autres difficultés imprévues," analyse Calin Rovinescu, président et chef de la direction d'Air Canada.
Et alors que de nombreuses compagnies souffrent de la montée du cours du carburant, celle-ci n'est pas faite ressentir puisque le transporteur a dégagé un bénéfice net de 308,13 millions d'euros, contre une perte de 181,31 millions à la même période.
A lire : Canada : qui veut racheter Air Transat ?
Si Air Transat est en vente, affichant par la même occasion des résultats négatifs, du côté de Montréal ce début d'année a permis d'enregistrer un chiffre d'affaires sans précédent de 3,98 milliards d'euros.
"Ces résultats viennent confirmer notre capacité d'exercer nos activités de manière durablement rentable, malgré les variations du cours du carburant, les fluctuations du change, ou d'autres difficultés imprévues," analyse Calin Rovinescu, président et chef de la direction d'Air Canada.
Et alors que de nombreuses compagnies souffrent de la montée du cours du carburant, celle-ci n'est pas faite ressentir puisque le transporteur a dégagé un bénéfice net de 308,13 millions d'euros, contre une perte de 181,31 millions à la même période.
Un effet Boeing 737 MAX ?
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Si les immobilisations des 24 Boeing 737 MAX ont eu des répercussions sur les résultats "notre équipe a sans délai mis en oeuvre plusieurs mesures d'atténuation importantes."
Parmi celles-ci "la conclusion de nouveaux contrats de location et la prolongation de contrats en vigueur, le recours à d'autres transporteurs afin d'exploiter certaines liaisons et le regroupement des vols et des fréquences, mesures qui nous ont permis de préserver environ 98 % de notre service aérien à compter de la date de l'interdiction de vol jusqu'au 30 avril."
Alors que le premier trimestre a été marqué par une baisse de l'occupation des avions (81,8% contre 82,2% en 2018), cette contre-performance a été compensé par un passagers-milles payants (équivalent au PKT européen) en amélioration de 4,2% et un accroissement des recettes unitaires de 5%.
Parmi celles-ci "la conclusion de nouveaux contrats de location et la prolongation de contrats en vigueur, le recours à d'autres transporteurs afin d'exploiter certaines liaisons et le regroupement des vols et des fréquences, mesures qui nous ont permis de préserver environ 98 % de notre service aérien à compter de la date de l'interdiction de vol jusqu'au 30 avril."
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