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Le groupe Amadeus, est avec 3.300 personnes (2.200 salariés et 1.100 sous traitants) le plus gros employeur de la technopole de Sophia Antipolis, près de Nice, rappelle notre confrère SophiaNet dans son article (LIRE),
L'éventualité de la réintroduction en Bourse d'Amadeus arrangerait plutôt les affaires du groupe AF-KLM, actionnaire à 23,14% et qui pourrait ainsi toucher une jolie prime, la valorisation de sa part étant estimée à évaluée à 900 millions d'euros.
Rappelons que ce sont BC Partners et Cinven, deux fonds d'investissements, qui ont racheté en LBO le GDS début 2005.
Certaines compagnies aériennes fondatrices avaient alors revendu leur part mais restent toujours au capital Air France Lufthansa et Ibéria avec 11,57% chacune. Les deux fonds détiennent 52,8% du capital.
Le rachat a été favorable à l'emploi mais aussi au chiffre d'affaires global car "le groupe avance pour 2008 un chiffre d'affaires de 2,86 milliards d'euros, en hausse de 2,2% sur 2007 malgré une diminution des réservations (pour mémoire, 2,056 milliards d'euros en 2004)."
Amadeus, n°1 mondial est valorisé à 8 milliards d'euros, soit presque le double payé au moment de l'OPA en 2005 (4,3 milliards d'euros).
L'éventualité de la réintroduction en Bourse d'Amadeus arrangerait plutôt les affaires du groupe AF-KLM, actionnaire à 23,14% et qui pourrait ainsi toucher une jolie prime, la valorisation de sa part étant estimée à évaluée à 900 millions d'euros.
Rappelons que ce sont BC Partners et Cinven, deux fonds d'investissements, qui ont racheté en LBO le GDS début 2005.
Certaines compagnies aériennes fondatrices avaient alors revendu leur part mais restent toujours au capital Air France Lufthansa et Ibéria avec 11,57% chacune. Les deux fonds détiennent 52,8% du capital.
Le rachat a été favorable à l'emploi mais aussi au chiffre d'affaires global car "le groupe avance pour 2008 un chiffre d'affaires de 2,86 milliards d'euros, en hausse de 2,2% sur 2007 malgré une diminution des réservations (pour mémoire, 2,056 milliards d'euros en 2004)."
Amadeus, n°1 mondial est valorisé à 8 milliards d'euros, soit presque le double payé au moment de l'OPA en 2005 (4,3 milliards d'euros).