"Nous allons réaliser des bénéfices" en 2004/05, a-t-il dit au quotidien Die Welt. Début septembre, lors de la présentation des résultats du premier trimestre, Air France/KLM avait maintenu son objectif d'un résultat d'exploitation "en forte progression" pour l'ensemble de l'exercice, à condition toutefois que le prix moyen du baril reste autour des 40 dollars.
Le baril de brut a clôturé mercredi soir à 52,46 USD à New York, mais il a frôlé cette semaine les 56 USD. A Londres, il a touché lundi un nouveau record à près de 52 USD avant de se replier sous 50 USD.
M. van Wijk explique que la compagnie est "relativement bien couverte" contre l'appréciation du pétrole et du kérosène. "Nous achetons encore actuellement à des prix favorables", a-t-il assuré.
"Les coûts élevés de carburant représentent une charge de centaines de millions d'euros, que nous ne pouvons pas répercuter sur le marché par une surtaxe", a-t-il reconnu. "Mais nous avons un coussin amortisseur plus important que beaucoup d'autres compagnies", a-t-il dit.
La rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com
Le baril de brut a clôturé mercredi soir à 52,46 USD à New York, mais il a frôlé cette semaine les 56 USD. A Londres, il a touché lundi un nouveau record à près de 52 USD avant de se replier sous 50 USD.
M. van Wijk explique que la compagnie est "relativement bien couverte" contre l'appréciation du pétrole et du kérosène. "Nous achetons encore actuellement à des prix favorables", a-t-il assuré.
"Les coûts élevés de carburant représentent une charge de centaines de millions d'euros, que nous ne pouvons pas répercuter sur le marché par une surtaxe", a-t-il reconnu. "Mais nous avons un coussin amortisseur plus important que beaucoup d'autres compagnies", a-t-il dit.
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