Les temps sont durs pour les géants du web, alors que Facebook se trouve dans l'œil du cyclone, Airbnb est aussi attaqué de toute part et pas seulement en France.
En effet New York, par le biais de son Maire, Bill de Blasio est entré en guerre frontale avec la plateforme de location. L'édile a instauré deux arrêtés qui devraient mettre un bon coup aux commerces du loueur, le premier interdit les locations de moins de 30 jours quand le propriétaire n’est pas présent dans les murs.
Une mesure qui réduirait alors drastiquement les réservations, et le deuxième étant l'obligation pour Airbnb de communiquer la liste des hôteliers amateurs, à savoir les utilisateurs de la plateforme.
Ces deux décisions doivent permettre de réaliser un contrôle plus juste, et de pouvoir mettre fin à la multiplication des annonces, sauf que la firme de San Francisco ne l'entend pas de cette oreille.
Airbnb vient de porter l'affaire en justice, en déclarant que le dernier arrêté viole la Constitution. Selon l'avocat en charge du dossier du côté de l'hébergeur, cette loi constitue une entrave à la répression de la violation des droits constitutionnels fondamentaux énoncés dans les "premier et quatrième amendements".
En effet New York, par le biais de son Maire, Bill de Blasio est entré en guerre frontale avec la plateforme de location. L'édile a instauré deux arrêtés qui devraient mettre un bon coup aux commerces du loueur, le premier interdit les locations de moins de 30 jours quand le propriétaire n’est pas présent dans les murs.
Une mesure qui réduirait alors drastiquement les réservations, et le deuxième étant l'obligation pour Airbnb de communiquer la liste des hôteliers amateurs, à savoir les utilisateurs de la plateforme.
Ces deux décisions doivent permettre de réaliser un contrôle plus juste, et de pouvoir mettre fin à la multiplication des annonces, sauf que la firme de San Francisco ne l'entend pas de cette oreille.
Airbnb vient de porter l'affaire en justice, en déclarant que le dernier arrêté viole la Constitution. Selon l'avocat en charge du dossier du côté de l'hébergeur, cette loi constitue une entrave à la répression de la violation des droits constitutionnels fondamentaux énoncés dans les "premier et quatrième amendements".
Paris, San Francisco, New York... même combat
Et le cabinet en charge de la défense contre la mairie de justifier cette action en justice : "c'est aussi le résultat d'une campagne de plusieurs millions de dollars financée par le puissant lobby des hôtels de la ville.
L'objectif étant d'intimider les New Yorkais pour qu'ils abandonnent le partage de domicile," rapporte le New York Post. Plus de 43 000 utilisateurs sont concernés par opération au sein de la grosse pomme.
Ces arrêtés interviennent quelques mois après ceux pris par San Francisco, ayant alors entraîné une diminution de moitié du nombre d'inscrits dans la ville de Californie.
Pendant ce temps en France, la Mairie de Paris se félicite du montant record des amendes concernant les locations illégales de logements dans la capitale. Ce rappel a l'ordre a déjà coûté au 15 août 2018, 1,3 million d'euros aux propriétaires hors-la-loi.
Sale temps sur la planète des géants Américains du web.
L'objectif étant d'intimider les New Yorkais pour qu'ils abandonnent le partage de domicile," rapporte le New York Post. Plus de 43 000 utilisateurs sont concernés par opération au sein de la grosse pomme.
Ces arrêtés interviennent quelques mois après ceux pris par San Francisco, ayant alors entraîné une diminution de moitié du nombre d'inscrits dans la ville de Californie.
Pendant ce temps en France, la Mairie de Paris se félicite du montant record des amendes concernant les locations illégales de logements dans la capitale. Ce rappel a l'ordre a déjà coûté au 15 août 2018, 1,3 million d'euros aux propriétaires hors-la-loi.
Sale temps sur la planète des géants Américains du web.