Les régions polaires – terres de tous les extrêmes - restent encore aujourd’hui très peu accessibles et exercent une fascination toujours aussi forte pour beaucoup d’entre nous.
Partir à la rencontre des peuples Inuits et amérindiens, vivre pendant deux semaines une parenthèse au cœur d’une nature intacte, observer au plus près la faune marine et terrestre incroyablement riche dans ces régions, telles étaient les promesses de Ponant qui lançait pour la première fois cette année l’Alaska et la Colombie Britannique en croisière expédition.
Rendez-vous est donc pris à Nome en ce début d’automne - capitale des chercheurs d’or de la fin du XIXème siècle - village perdu de 2 500 âmes au nord-ouest de l’Alaska en pleine toundra arctique, au bord de la mer de Béring et à quelques encablures du Cercle Polaire Arctique.
C’est un retour immédiat vers le passé, nous sommes dans le monde de Jack London, projetés plus d’un siècle en arrière : quelques rues bordées de maisons de bois colorées comme à l’époque du Far West, un saloon, des cuissots d’élans fraichement chassés par un inuit qui sèchent devant l’entrée d’une bâtisse, ou encore quelques chercheurs d’or qui retournent encore le sable quotidiennement pour en extraire les pépites tant convoitées.
Balayé en permanence par les vents glacés de la mer de Béring et de l’océan Arctique, Nome sent bon le bout du monde, l’aventure et la démesure du Grand Nord.
Partir à la rencontre des peuples Inuits et amérindiens, vivre pendant deux semaines une parenthèse au cœur d’une nature intacte, observer au plus près la faune marine et terrestre incroyablement riche dans ces régions, telles étaient les promesses de Ponant qui lançait pour la première fois cette année l’Alaska et la Colombie Britannique en croisière expédition.
Rendez-vous est donc pris à Nome en ce début d’automne - capitale des chercheurs d’or de la fin du XIXème siècle - village perdu de 2 500 âmes au nord-ouest de l’Alaska en pleine toundra arctique, au bord de la mer de Béring et à quelques encablures du Cercle Polaire Arctique.
C’est un retour immédiat vers le passé, nous sommes dans le monde de Jack London, projetés plus d’un siècle en arrière : quelques rues bordées de maisons de bois colorées comme à l’époque du Far West, un saloon, des cuissots d’élans fraichement chassés par un inuit qui sèchent devant l’entrée d’une bâtisse, ou encore quelques chercheurs d’or qui retournent encore le sable quotidiennement pour en extraire les pépites tant convoitées.
Balayé en permanence par les vents glacés de la mer de Béring et de l’océan Arctique, Nome sent bon le bout du monde, l’aventure et la démesure du Grand Nord.
La fascinante mer de Béring
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Après une après-midi passée à explorer ce village d’un autre temps - certains clients moins aventuriers ont trouvé cela trop long - nous embarquons à bord du Boréal et sommes accueillis par le très sympathique Commandant Erwan Le Rouzic.
Nous nous installons dans notre cabine et savourons sur notre balcon un verre en admirant la fascinante mer de Béring, angoissante ce soir tant le ciel est sombre et la mer agitée.
La première partie est consacrée à la découverte des quelques îles perdues : l’îles Saint Lawrence et son village de Savoonga, l’îles Saint-Matthew vierge et inhabitée, l’archipel de Pribilof et l’île Saint George…
Chaque jour, des « cruises » (sorties en zodiacs) et des débarquements sont organisés pour découvrir la nature et sa faune, ou pour aller dans les rares villages à la rencontre des Inuits de la tribu Yupik. Même si nous sommes en territoire américain et qu’internet et les portables sont arrivés aussi jusque là… la vie des Yupiks - comme celle de leurs ancêtres - est encore aujourd’hui dictée par le rythme des saisons : la cueillette au printemps, la pêche en été, la chasse en automne et la trappe en hiver.
Une vie de subsistance, car ici comme à Nome, peu de choses ont changé au fil du temps. Nous aurons également la chance - dans cette mer glaciale le plus souvent démontée - d’observer des baleines et de nombreuses loutres à fourrure, si attachantes quand elles exécutent leurs ballets aquatiques facétieux.
Nous nous installons dans notre cabine et savourons sur notre balcon un verre en admirant la fascinante mer de Béring, angoissante ce soir tant le ciel est sombre et la mer agitée.
La première partie est consacrée à la découverte des quelques îles perdues : l’îles Saint Lawrence et son village de Savoonga, l’îles Saint-Matthew vierge et inhabitée, l’archipel de Pribilof et l’île Saint George…
Chaque jour, des « cruises » (sorties en zodiacs) et des débarquements sont organisés pour découvrir la nature et sa faune, ou pour aller dans les rares villages à la rencontre des Inuits de la tribu Yupik. Même si nous sommes en territoire américain et qu’internet et les portables sont arrivés aussi jusque là… la vie des Yupiks - comme celle de leurs ancêtres - est encore aujourd’hui dictée par le rythme des saisons : la cueillette au printemps, la pêche en été, la chasse en automne et la trappe en hiver.
Une vie de subsistance, car ici comme à Nome, peu de choses ont changé au fil du temps. Nous aurons également la chance - dans cette mer glaciale le plus souvent démontée - d’observer des baleines et de nombreuses loutres à fourrure, si attachantes quand elles exécutent leurs ballets aquatiques facétieux.
Dutch Harbour, son peuple Inuit Aléoute et ses quelques américains
Après ces premiers jours loin de tout, nous arrivons à Dutch Harbour dans les îles aléoutiennes, archipel Alaskan qui sépare d’est en ouest la Russie de l’Amérique, et du nord au sud la mer de Béring du Pacifique Nord.
Cette arrivée fut sans nul doute l’un des plus émouvants moments du voyage…
6 heures du matin, le jour commence à peine à poindre avec ses lueurs orangées, la mer est calme ce matin, le bateau stoppe… nous sommes au milieu de plusieurs petits groupes de baleines à bosse qui soufflent et qui chantent - et après quelques minutes - qui se mettent à faire des sauts hors de l’eau dans un ballet irréel. Le spectacle est extrêmement rare et on rêve déjà qu’ils durent toujours…
Après ce spectacle saisissant, nous débarquons à terre pour découvrir Dutch Harbour, son peuple Inuit Aléoute et ses quelques américains du continent qui vivent de la pêche en mer dans ce bout du monde.
L’isolement presque total les rend très accueillants et cela nous permet de discuter avec nombre d’entre eux. Leurs préoccupations sont liées à la météo, à la nature, à la pêche… très loin des nôtres qui sont souvent futiles… cela redonne de la saveur au simple et au vrai !
Le lendemain, nous naviguons dans de petits archipels des Aléoutiennes et observons en zodiac des centaines de lions de mer, des otaries, des phoques et une orque solitaire qui chasse.
Plus tard, nous descendons à terre pour visiter un ancien village datant des russes qui a été abandonné depuis la seconde guerre mondiale et n’est plus habité que par quelques renards et trois grands ducs d’Amérique… Le silence est impressionnant et troublant.
Cette arrivée fut sans nul doute l’un des plus émouvants moments du voyage…
6 heures du matin, le jour commence à peine à poindre avec ses lueurs orangées, la mer est calme ce matin, le bateau stoppe… nous sommes au milieu de plusieurs petits groupes de baleines à bosse qui soufflent et qui chantent - et après quelques minutes - qui se mettent à faire des sauts hors de l’eau dans un ballet irréel. Le spectacle est extrêmement rare et on rêve déjà qu’ils durent toujours…
Après ce spectacle saisissant, nous débarquons à terre pour découvrir Dutch Harbour, son peuple Inuit Aléoute et ses quelques américains du continent qui vivent de la pêche en mer dans ce bout du monde.
L’isolement presque total les rend très accueillants et cela nous permet de discuter avec nombre d’entre eux. Leurs préoccupations sont liées à la météo, à la nature, à la pêche… très loin des nôtres qui sont souvent futiles… cela redonne de la saveur au simple et au vrai !
Le lendemain, nous naviguons dans de petits archipels des Aléoutiennes et observons en zodiac des centaines de lions de mer, des otaries, des phoques et une orque solitaire qui chasse.
Plus tard, nous descendons à terre pour visiter un ancien village datant des russes qui a été abandonné depuis la seconde guerre mondiale et n’est plus habité que par quelques renards et trois grands ducs d’Amérique… Le silence est impressionnant et troublant.
Journée à Katmai
Toute à notre excitation, la journée à Katmai arrive enfin ! C’est le territoire en Alaska qui abrite la plus grosse population d’ours Grizzlys dans le monde, plus de 3 000 !
Nous sommes un peu inquiets car la condition impérative pour voir « le Seigneur de la Taïga » est que les saumons remontent encore les rivières - les ours s’en gavent avant l’hiver - et cela peut varier de quelques semaines d’une année à l’autre en fonction de la météo.
Sans saumons, pas d’ours… nous sommes dans une croisière expédition sur des territoires naturels, rien n’est donc assuré et c’est ce qui en fait toue la saveur ! Deux grandes sorties en zodiacs sont prévues aujourd’hui, entrecoupées à midi, le fait d’une météo superbe, par un barbecue sur le pont arrière.
Notre inquiétude est vite dissipée, il y a dans chaque fjord de Katmai des dizaines de rivières qui regorgent de milliers de saumons qui remontent encore pour pondre et nous ne tardons pas à apercevoir notre premier ours.
Nous observons au cours de la journée des dizaines de grizzlys - plus gros et plus dangereux ursidé avec l’ours blanc - d’énormes mâles qui atteignent plus de 3 mètres de hauteur et plus de 800 kilos, des jeunes en quête de nouveaux territoires et des femelles avec leurs bébés nés l’hiver dernier.
Nous sommes un peu inquiets car la condition impérative pour voir « le Seigneur de la Taïga » est que les saumons remontent encore les rivières - les ours s’en gavent avant l’hiver - et cela peut varier de quelques semaines d’une année à l’autre en fonction de la météo.
Sans saumons, pas d’ours… nous sommes dans une croisière expédition sur des territoires naturels, rien n’est donc assuré et c’est ce qui en fait toue la saveur ! Deux grandes sorties en zodiacs sont prévues aujourd’hui, entrecoupées à midi, le fait d’une météo superbe, par un barbecue sur le pont arrière.
Notre inquiétude est vite dissipée, il y a dans chaque fjord de Katmai des dizaines de rivières qui regorgent de milliers de saumons qui remontent encore pour pondre et nous ne tardons pas à apercevoir notre premier ours.
Nous observons au cours de la journée des dizaines de grizzlys - plus gros et plus dangereux ursidé avec l’ours blanc - d’énormes mâles qui atteignent plus de 3 mètres de hauteur et plus de 800 kilos, des jeunes en quête de nouveaux territoires et des femelles avec leurs bébés nés l’hiver dernier.
Rien que cette journée valait la peine de traverser le monde
Le soleil brille et le vent favorable, les grizzlys sont totalement affairés à engloutir un maximum de saumons, cela nous permet de les approcher en zodiac à quelques mètres, les observer, les suivre, les voir pêcher, les entendre, presque les sentir. Pour moi qui suis un passionné de faune depuis toujours, je dirais que « rien que cette journée valait la peine de traverser le monde ».
Arrivent ensuite deux jours de mer pour traverser le Golf de l’Alaska. La vie sur le bateau est agréable, ponctuée par les conférences de nos guides naturalistes de très bon niveau, les moments à discuter entre amis, les repas animés, l’observation depuis les ponts extérieurs, les visites à « la passerelle » avec l’équipage.
A regretter peut-être pendant ces traversées en mer le système Internet qui fonctionne vraiment très mal et le système de télévision interne qui ne propose qu’un nombre trop limité de documentaires.
Arrivent ensuite deux jours de mer pour traverser le Golf de l’Alaska. La vie sur le bateau est agréable, ponctuée par les conférences de nos guides naturalistes de très bon niveau, les moments à discuter entre amis, les repas animés, l’observation depuis les ponts extérieurs, les visites à « la passerelle » avec l’équipage.
A regretter peut-être pendant ces traversées en mer le système Internet qui fonctionne vraiment très mal et le système de télévision interne qui ne propose qu’un nombre trop limité de documentaires.
Journée à Sitka
Aujourd’hui, nous passons la journée à Sitka, village peuplé par les amérindiens Tlingit et ancienne capitale de l’Alaska jusqu’en 1906, pour faire du kayak de mer et observer la faune.
Avec la pluie, notre balade sera agréable, mais nous ne verrons pas grand chose à part quelques otaries et des aigles pêcheurs. Sitka a l’incroyable particularité d’avoir des routes qui ne mènent nulle part, qui s’arrêtent dans la forêt dense 2 kilomètres après la sortie du village… c’est vraiment le bout du monde. Ici, toutes les routes ne mènent pas à Rome !
Nous arrivons ensuite au Canada avec une escale dans la petite ville côtière de Prince Rupert à l’extrême nord de la Colombie Britannique. Les trois derniers jours sont consacrés à la descente de « l’Inside Passage » (le Passage Intérieur), avec ses fjords majestueux et très beaux qui regorgent de cétacés, de dauphins à flancs blancs et de nombreux oiseaux.
Arrêt à Alert Bay au nord de l’île de Vancouver - capitale mondiale pour l’observation des orques – avec à quelques encablures la célèbre « baie des caresses » dans le détroit de Johnstone, où les orques viennent chaque année se gratter le long des plages de galets.
Le 25 septembre au matin sous un soleil automnal discret - après deux semaines dans le grand nord et plus de 5 000 kilomètres parcourus - nous arrivons dans la baie de Vancouver, sans nul doute l’une des plus belles villes au monde. Encore un voyage dont nous aurions aimé qu’il dure encore et encore…
Avec la pluie, notre balade sera agréable, mais nous ne verrons pas grand chose à part quelques otaries et des aigles pêcheurs. Sitka a l’incroyable particularité d’avoir des routes qui ne mènent nulle part, qui s’arrêtent dans la forêt dense 2 kilomètres après la sortie du village… c’est vraiment le bout du monde. Ici, toutes les routes ne mènent pas à Rome !
Nous arrivons ensuite au Canada avec une escale dans la petite ville côtière de Prince Rupert à l’extrême nord de la Colombie Britannique. Les trois derniers jours sont consacrés à la descente de « l’Inside Passage » (le Passage Intérieur), avec ses fjords majestueux et très beaux qui regorgent de cétacés, de dauphins à flancs blancs et de nombreux oiseaux.
Arrêt à Alert Bay au nord de l’île de Vancouver - capitale mondiale pour l’observation des orques – avec à quelques encablures la célèbre « baie des caresses » dans le détroit de Johnstone, où les orques viennent chaque année se gratter le long des plages de galets.
Le 25 septembre au matin sous un soleil automnal discret - après deux semaines dans le grand nord et plus de 5 000 kilomètres parcourus - nous arrivons dans la baie de Vancouver, sans nul doute l’une des plus belles villes au monde. Encore un voyage dont nous aurions aimé qu’il dure encore et encore…
Un écosystème si fragile
Nous avons vécu hors du temps, un mélange savoureux de sorties « expédition » qui sentent bon l’aventure et de luxe raffiné dès que nous étions à bord du navire.
Le nombre très limité de client est le secret de cette ambiance à la fois haut de gamme et intimiste. Ce cocktail original fait de Ponant une compagnie pas comme les autre, une compagnie avec laquelle nous aurions l’envie de traverser le monde.
Nous ne pouvons parler de ces régions sans aborder l’environnement. Les autorisations de forages pétroliers qui avaient été accordées par le gouvernement américain semblaient être un réel danger, un risque important de déstabilisation de l’écosystème si fragile de ces contrées polaires, qui subissent déjà depuis quelques années les effets négatifs du réchauffement climatique.
Que l’on y croit ou pas, que le CO2 en soit la cause ou pas, les populations locales observent « en live » d’importantes modifications de leur climat et ceci est un fait indiscutable.
Le Président Obama – qui était en Alaska début septembre - vient de faire volte-face mi-octobre et suspend jusqu’en 2017 les autorisations de forages, certainement un geste fort avant la COP 21 qui se déroulera en France début décembre.
C’est sans nul doute une bonne décision pour la préservation de ces régions arctiques et de la faune, même si ce gel semble malheureusement temporaire…
Souhaitons enfin que Ponant – qui a été racheté en août dernier par Artémis (holding de la famille Pinault) – garde son modèle économique originel de spécialiste des Pôles et des croisières expéditions, nous attendons avec impatience de connaître la future stratégie.
Le nombre très limité de client est le secret de cette ambiance à la fois haut de gamme et intimiste. Ce cocktail original fait de Ponant une compagnie pas comme les autre, une compagnie avec laquelle nous aurions l’envie de traverser le monde.
Nous ne pouvons parler de ces régions sans aborder l’environnement. Les autorisations de forages pétroliers qui avaient été accordées par le gouvernement américain semblaient être un réel danger, un risque important de déstabilisation de l’écosystème si fragile de ces contrées polaires, qui subissent déjà depuis quelques années les effets négatifs du réchauffement climatique.
Que l’on y croit ou pas, que le CO2 en soit la cause ou pas, les populations locales observent « en live » d’importantes modifications de leur climat et ceci est un fait indiscutable.
Le Président Obama – qui était en Alaska début septembre - vient de faire volte-face mi-octobre et suspend jusqu’en 2017 les autorisations de forages, certainement un geste fort avant la COP 21 qui se déroulera en France début décembre.
C’est sans nul doute une bonne décision pour la préservation de ces régions arctiques et de la faune, même si ce gel semble malheureusement temporaire…
Souhaitons enfin que Ponant – qui a été racheté en août dernier par Artémis (holding de la famille Pinault) – garde son modèle économique originel de spécialiste des Pôles et des croisières expéditions, nous attendons avec impatience de connaître la future stratégie.
Le Boréal en croisière expédition
Yacht de 149 mètres et 6 ponts
Le langage sur le bateau est le français
132 cabines et suites avec balcons, les suites Prestige Pont 6 avec majordome
Dans les 200 passagers pour 140 membres d’équipage
Ambiance chic et décontractée, leur crédo « le luxe à la française »
2 restaurants (un gastronomique et un self), 2 bars et un théâtre
Equipe de guides naturalistes internationale pour les sorties en zodiac et les conférences
2 sorties en zodiac par jour quand les conditions le permettent
Un livre pour rêver sur les régions polaires
Il y avait avec nous sur le Boréal le photographe et grand reporter Thierry Suzan, l’un des plus grands spécialistes de l’Arctique et l’Antarctique. Il vient d’éditer un livre prestigieux de ses plus belles photos «Vertige Polaire » aux éditions de La Martinière. 238 pages d’images à couper le souffle !
Le langage sur le bateau est le français
132 cabines et suites avec balcons, les suites Prestige Pont 6 avec majordome
Dans les 200 passagers pour 140 membres d’équipage
Ambiance chic et décontractée, leur crédo « le luxe à la française »
2 restaurants (un gastronomique et un self), 2 bars et un théâtre
Equipe de guides naturalistes internationale pour les sorties en zodiac et les conférences
2 sorties en zodiac par jour quand les conditions le permettent
Un livre pour rêver sur les régions polaires
Il y avait avec nous sur le Boréal le photographe et grand reporter Thierry Suzan, l’un des plus grands spécialistes de l’Arctique et l’Antarctique. Il vient d’éditer un livre prestigieux de ses plus belles photos «Vertige Polaire » aux éditions de La Martinière. 238 pages d’images à couper le souffle !
L’Alaska
L’Alaska appartenait à la Russie et a été vendu aux Etats-Unis en 1867
49e État des Etats-Unis
Le plus étendu des états avec 730 000 habitants et seulement 0,4 habitant par km2
54 000 kilomètres de côtes avec ses fjords et plus de 3 millions de lacs
Capitale : Juneau
La Colombie Britannique
L’une des dix provinces du Canada, au bord du Pacifique nord
Un peu moins de deux fois la France pour 15 fois moins d’habitants
27 000 kilomètres de côtes avec ses fjords
Capitale : Victoria
L’Alaska appartenait à la Russie et a été vendu aux Etats-Unis en 1867
49e État des Etats-Unis
Le plus étendu des états avec 730 000 habitants et seulement 0,4 habitant par km2
54 000 kilomètres de côtes avec ses fjords et plus de 3 millions de lacs
Capitale : Juneau
La Colombie Britannique
L’une des dix provinces du Canada, au bord du Pacifique nord
Un peu moins de deux fois la France pour 15 fois moins d’habitants
27 000 kilomètres de côtes avec ses fjords
Capitale : Victoria