Tourmag.com. Pouvez-vous préciser vos projets ? Allez-vous vendre, fusionner, ouvrir votre capital ?
Sam Zribi : « Nous sortons du schéma habituel des voyagistes. Nous avons un taux de rentabilité qui oscille entre 6 et 10 %. C’est l’un des meilleurs du marché. Nous le devons à la qualité de nos produits. Nos performances ont en effet retenu l’attention de plusieurs groupes majeurs.
Nous avons été approchés ces deux dernières années par des groupes européens désireux de rentrer dans le capital Avec mes associés présents depuis la création de l’entreprise nous étudions les dossiers les plus appropriés, nous consultons. Nous allons prendre une décision. Ce n’est un secret pour personne. »
T.M.com - Vous attendez le plus offrant ? On dit que vous pourriez signer avec le canadien Transat d’ici la fin du mois…
S.Z. : « Nous cherchons à établir une synergie et une complémentarité avec un groupe « major », une institution financière ou un groupe intégré européen. Seul un groupe majeur peut intéresser notre société. Plusieurs dossiers sont sur la table.
Transat ? C’est une rumeur. A ce jour (18 juin) rien n’est signé. Il n’y a pour nous ni obligation ni urgence. D’ailleurs nous travaillons actuellement sur notre programmation 2008 avec l’intention de monter en puissance sur les Dom Tom. Notre objectif est d’entrer dans un groupe tout en gardant notre marque et notre identité et j’en resterai le directeur même après une cession des parts de l’entreprise. »
Sam Zribi : « Nous sortons du schéma habituel des voyagistes. Nous avons un taux de rentabilité qui oscille entre 6 et 10 %. C’est l’un des meilleurs du marché. Nous le devons à la qualité de nos produits. Nos performances ont en effet retenu l’attention de plusieurs groupes majeurs.
Nous avons été approchés ces deux dernières années par des groupes européens désireux de rentrer dans le capital Avec mes associés présents depuis la création de l’entreprise nous étudions les dossiers les plus appropriés, nous consultons. Nous allons prendre une décision. Ce n’est un secret pour personne. »
T.M.com - Vous attendez le plus offrant ? On dit que vous pourriez signer avec le canadien Transat d’ici la fin du mois…
S.Z. : « Nous cherchons à établir une synergie et une complémentarité avec un groupe « major », une institution financière ou un groupe intégré européen. Seul un groupe majeur peut intéresser notre société. Plusieurs dossiers sont sur la table.
Transat ? C’est une rumeur. A ce jour (18 juin) rien n’est signé. Il n’y a pour nous ni obligation ni urgence. D’ailleurs nous travaillons actuellement sur notre programmation 2008 avec l’intention de monter en puissance sur les Dom Tom. Notre objectif est d’entrer dans un groupe tout en gardant notre marque et notre identité et j’en resterai le directeur même après une cession des parts de l’entreprise. »
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T.M.com - Vous réalisez l’essentiel de votre trafic, près de 80 000 clients, sur la Tunisie. En quoi vous démarquez-vous par rapport aux innombrables voyagistes qui programment cette destination ?
S.Z. « Nous sommes dans le peloton de tête des voyagistes français programmant la Tunisie. Pour moi, c’est un marché naturel où j’ai, depuis les années 90, un partenariat très poussé avec des fournisseurs hôteliers locaux. Amplitude a deux hôtels en gestion : l’un à Hammamet, l’autre à Borj Cedria et deux hôtels avec participation à Djerba. L’ensemble représente 3 000 lits.
Nous achetons par ailleurs des lits sur 52 semaines et affrétons seuls afin d’alimenter ces lits que nous gérons. Notre agence réceptive dispose de 8 bus et de 45 land rover. Mais nous ne sommes pas un TO mono destination. Nous développons d’autres axes avec, par exemple, des circuits aux Antilles et dans l’Océan Indien. »
T.M.com - Quelle est votre politique commerciale ?
S.Z. « Elle s’articule sur une brochure « Groupes », notre marché historique, qui réalise 60 % de notre trafic. Nous sommes ouverts aux autocaristes, à la grande distribution et aux mini-réseaux en régions.
Nous sommes un TO parisien qui s’adresse aux régions avec des départs de Marseille, Lille, Nantes, Lyon, Lille. Nous co-affrétons au départ de Brest, Toulouse, Bordeaux. Nous avons des commerciaux qui tournent en province. Les 40 % restants viennent de la vente en ligne B2B. »
S.Z. « Nous sommes dans le peloton de tête des voyagistes français programmant la Tunisie. Pour moi, c’est un marché naturel où j’ai, depuis les années 90, un partenariat très poussé avec des fournisseurs hôteliers locaux. Amplitude a deux hôtels en gestion : l’un à Hammamet, l’autre à Borj Cedria et deux hôtels avec participation à Djerba. L’ensemble représente 3 000 lits.
Nous achetons par ailleurs des lits sur 52 semaines et affrétons seuls afin d’alimenter ces lits que nous gérons. Notre agence réceptive dispose de 8 bus et de 45 land rover. Mais nous ne sommes pas un TO mono destination. Nous développons d’autres axes avec, par exemple, des circuits aux Antilles et dans l’Océan Indien. »
T.M.com - Quelle est votre politique commerciale ?
S.Z. « Elle s’articule sur une brochure « Groupes », notre marché historique, qui réalise 60 % de notre trafic. Nous sommes ouverts aux autocaristes, à la grande distribution et aux mini-réseaux en régions.
Nous sommes un TO parisien qui s’adresse aux régions avec des départs de Marseille, Lille, Nantes, Lyon, Lille. Nous co-affrétons au départ de Brest, Toulouse, Bordeaux. Nous avons des commerciaux qui tournent en province. Les 40 % restants viennent de la vente en ligne B2B. »
Amplitude en chiffres
2004 : 24 M€ de CA ; 65 000 clients transportés ; + 0, 440 M€ de résultat
2005 : 35 M€ de CA ; 85 000 clients transportés ; + 1,300 M€ de résultat
2006 : 33,5 M€ de CA ; 80 000 clients transports ; + 2,200 M€ de résultat
Effectif : 15 employés
2005 : 35 M€ de CA ; 85 000 clients transportés ; + 1,300 M€ de résultat
2006 : 33,5 M€ de CA ; 80 000 clients transports ; + 2,200 M€ de résultat
Effectif : 15 employés