Pierre Vivès, représentant de Australie du Sud et Territoires du Nord en France
« Le challenge d’aujourd’hui est de faire avec la hausse du dollar australien. Avec plus 30%, il est tentant de diminuer la durée de séjour ou de baisser le niveau des prestations » commence Pierre Vivès, représentant en France des deux États qui forment l’épine dorsale N/S du continent.
« Pourquoi pas, au contraire, parier sur un allongement du séjour pour donner au voyageur l’occasion de s’imprégner, dès son premier voyage, de la différence australienne, en tâtant des grands espaces de l’outback et de leurs cieux étoilés. »
Dès lors qu’on se donne un peu de temps, les premiers ajouts au triangle sont, après l’entrée par Sydney, la Great Ocean Road qui relie Melbourne à Adélaïde, et qui a toujours été un autotour très prisé de la clientèle française ; un séjour dans le paradis naturel de Kangaroo Island qui offre aujourd’hui de très beaux hébergements de charme.
Entre l’aventure dans les rochers et canyons du Centre Rouge et le farniente sur la Grande Barrière, un crochet par Darwin et le parc de Kakadu, itinéraire jusqu’ici réservé aux seconds voyages, mais accessible dès le premier.
L’Australie tropicale est alors complémentaire du sud tempéré et du centre désertique, avant la douceur des îles coralliennes du Queensland. Un vrai beau circuit depuis la Nouvelle Galle du Sud qui ne laisse que l’Australie occidentale de côté.
« Pourquoi pas, au contraire, parier sur un allongement du séjour pour donner au voyageur l’occasion de s’imprégner, dès son premier voyage, de la différence australienne, en tâtant des grands espaces de l’outback et de leurs cieux étoilés. »
Dès lors qu’on se donne un peu de temps, les premiers ajouts au triangle sont, après l’entrée par Sydney, la Great Ocean Road qui relie Melbourne à Adélaïde, et qui a toujours été un autotour très prisé de la clientèle française ; un séjour dans le paradis naturel de Kangaroo Island qui offre aujourd’hui de très beaux hébergements de charme.
Entre l’aventure dans les rochers et canyons du Centre Rouge et le farniente sur la Grande Barrière, un crochet par Darwin et le parc de Kakadu, itinéraire jusqu’ici réservé aux seconds voyages, mais accessible dès le premier.
L’Australie tropicale est alors complémentaire du sud tempéré et du centre désertique, avant la douceur des îles coralliennes du Queensland. Un vrai beau circuit depuis la Nouvelle Galle du Sud qui ne laisse que l’Australie occidentale de côté.
Rassurer le vendeur
Pour réussir ce genre de vente, il suffit de ne pas avoir peur du continent.
Il est beaucoup plus simple qu’il n’y paraît, dès lors qu’on le divise en modules à assembler.
« C’est un puzzle simple à construire à partir du temps de voyage prévu » continue Pierre Vivès. Le client est souvent très renseigné, mais l’OT offre aux vendeurs une excellente formation.
Ils sont aujourd’hui plus de 500 Aussie Specialists à avoir digéré l’elearning et à bénéficier d’une formation continue. « Les bases de données pour les professionnels sont bien tenues à jour par chaque État, c’est une aide importante. »
Amoureux du continent tous États confondus, mais défenseur professionnel de l’Australie du Sud – la région du bien vivre, de la convivialité et du bon vin – et des Territoires du Nord – la terre des Abos avec de vrais TO ethniques à présent et une découverte sincère de leur mode de vie ancestral, même disparu –, Pierre Vivès insiste sur la facilité de vendre le pays et l’importance d’en montrer de multiples facettes pour garantir un retour enthousiaste.
Il est beaucoup plus simple qu’il n’y paraît, dès lors qu’on le divise en modules à assembler.
« C’est un puzzle simple à construire à partir du temps de voyage prévu » continue Pierre Vivès. Le client est souvent très renseigné, mais l’OT offre aux vendeurs une excellente formation.
Ils sont aujourd’hui plus de 500 Aussie Specialists à avoir digéré l’elearning et à bénéficier d’une formation continue. « Les bases de données pour les professionnels sont bien tenues à jour par chaque État, c’est une aide importante. »
Amoureux du continent tous États confondus, mais défenseur professionnel de l’Australie du Sud – la région du bien vivre, de la convivialité et du bon vin – et des Territoires du Nord – la terre des Abos avec de vrais TO ethniques à présent et une découverte sincère de leur mode de vie ancestral, même disparu –, Pierre Vivès insiste sur la facilité de vendre le pays et l’importance d’en montrer de multiples facettes pour garantir un retour enthousiaste.