«Chaque voyagiste ou chaque client a le droit de demander à l'OFAC (Office fédéral de l'aviation civile) si une compagnie bien précise figure sur la fameuse liste. Il recevra une réponse», affirme le conseiller fédéral dans une interview publiée par «Le Temps» et l'»Aargauer Zeitung».
Cette mesure ne concerne toutefois que les personnes ayant un intérêt direct à connaître les faits. «Par exemple un passager pour un vol déterminé», souligne le chef du Département fédéral des transports (DETEC). Les demandes de renseignements devront être adressées à l'OFAC par écrit ou par courrier électronique (à l'adresse info@bazl.admin.ch).
Si Berne ne confirme pas qu'un appareil ne figure pas sur la liste noire, le client doit en déduire que les autorités suisses ont décelé des lacunes en matière de sécurité, selon une porte-parole de l'OFAC. En revanche, le fait qu'un appareil ne figure pas sur la liste noire ne reflète qu'un instant précis et ne permet pas de tirer des conclusions pour l'ensemble de la flotte d'une compagnie, selon elle.
Cette mesure ne concerne toutefois que les personnes ayant un intérêt direct à connaître les faits. «Par exemple un passager pour un vol déterminé», souligne le chef du Département fédéral des transports (DETEC). Les demandes de renseignements devront être adressées à l'OFAC par écrit ou par courrier électronique (à l'adresse info@bazl.admin.ch).
Si Berne ne confirme pas qu'un appareil ne figure pas sur la liste noire, le client doit en déduire que les autorités suisses ont décelé des lacunes en matière de sécurité, selon une porte-parole de l'OFAC. En revanche, le fait qu'un appareil ne figure pas sur la liste noire ne reflète qu'un instant précis et ne permet pas de tirer des conclusions pour l'ensemble de la flotte d'une compagnie, selon elle.