Le Trou Aux Biches rouvrira le 5 novembre avec une toute nouvelle décoration
A Maurice, les cyclones viennent régulièrement perturber l’activité touristique.
Pourtant, celui de la crise financière ne semble pas avoir touché le groupe hôtelier Beachcomber.
Ses résultats sur le marché français ont même battu les records de 2008, avec une hausse de 17% des nuitées et de 7% du CA (+17% à taux constants).
Record également pour les groupes, dont le volume des nuitées a triplé.
Coté hôtels, le Dinarobin, fermé pour travaux en 2009, est en progression de 49%. Le Shandrani, vendu en nouvelle formule All Inclusive 5 étoiles, marche également très bien avec 51% d’augmentation.
Un engouement qui ne semble pas se tarir puisque l’entreprise enregistre, toujours sur le marché français, une hausse de 27% des réservations sur les 6 prochains mois.
De belles performances qui vont faire des jaloux dans un contexte aussi morose. Mais si Beachcomber a réussi a maintenir sa fréquentation, c’est grâce à sa constance.
« Dans le chaos de promotions qui a suivi l’éruption volcanique, nous n’avons pas participé à la guerre des prix. Notre grille tarifaire a été maintenue. Une stabilité qui a rassuré les agents de voyages qui étaient un peu perdus. » affirme Rémi Sabarros, le directeur.
Un aplomb bien naturel de la part d’un pionnier de l’hôtellerie Mauricienne. « Nous travaillons avec des partenaires précis et fidèles. Nous n’avons Pas de risque d’atomisation de notre programmation » renchérit-il.
Pourtant, celui de la crise financière ne semble pas avoir touché le groupe hôtelier Beachcomber.
Ses résultats sur le marché français ont même battu les records de 2008, avec une hausse de 17% des nuitées et de 7% du CA (+17% à taux constants).
Record également pour les groupes, dont le volume des nuitées a triplé.
Coté hôtels, le Dinarobin, fermé pour travaux en 2009, est en progression de 49%. Le Shandrani, vendu en nouvelle formule All Inclusive 5 étoiles, marche également très bien avec 51% d’augmentation.
Un engouement qui ne semble pas se tarir puisque l’entreprise enregistre, toujours sur le marché français, une hausse de 27% des réservations sur les 6 prochains mois.
De belles performances qui vont faire des jaloux dans un contexte aussi morose. Mais si Beachcomber a réussi a maintenir sa fréquentation, c’est grâce à sa constance.
« Dans le chaos de promotions qui a suivi l’éruption volcanique, nous n’avons pas participé à la guerre des prix. Notre grille tarifaire a été maintenue. Une stabilité qui a rassuré les agents de voyages qui étaient un peu perdus. » affirme Rémi Sabarros, le directeur.
Un aplomb bien naturel de la part d’un pionnier de l’hôtellerie Mauricienne. « Nous travaillons avec des partenaires précis et fidèles. Nous n’avons Pas de risque d’atomisation de notre programmation » renchérit-il.
Le Trou Aux Biches fait peau neuve
Mais l’actualité du groupe, c’est la réouverture du mythique Trou aux Biches le 5 novembre prochain.
«Il a été difficile de fermer cet hôtel. Les agences nous disait qu’il allait manquer sur le marché français. Pourtant il a été déprogrammé au bon moment, juste à l’arrivée de la crise » constate Rémi Sabarros.
Deux ans de travaux et 100M€ d’investissement ont été nécessaire pour ce grand lifting : tout a été rasé. Mais que les habitués se rassurent, l’établissement a conservé son style pavillonnaire, son charme colonial et sa superbe végétation. Le confort moderne en plus.
Désormais, les chambres et suites sont équipées des dernières technologies : wifi, écrans plats et autres téléphone interactifs. Autre innovation, plus écologique cette fois, l’installation de 1000m² de panneaux solaires, de stations de compostage et de récupération des eaux.
Beachcomber prévoit également d’aménager le Domaine de l’Harmonie à Rivière Noire. Près de 160 hectares où seront construit des villas, un golf, un hôtel 5 étoiles et des résidences.
Un projet de développement mesuré et intégré dans l’environnement qui s’inscrira naturellement dans la philosophie de Beachcomber.
«Il a été difficile de fermer cet hôtel. Les agences nous disait qu’il allait manquer sur le marché français. Pourtant il a été déprogrammé au bon moment, juste à l’arrivée de la crise » constate Rémi Sabarros.
Deux ans de travaux et 100M€ d’investissement ont été nécessaire pour ce grand lifting : tout a été rasé. Mais que les habitués se rassurent, l’établissement a conservé son style pavillonnaire, son charme colonial et sa superbe végétation. Le confort moderne en plus.
Désormais, les chambres et suites sont équipées des dernières technologies : wifi, écrans plats et autres téléphone interactifs. Autre innovation, plus écologique cette fois, l’installation de 1000m² de panneaux solaires, de stations de compostage et de récupération des eaux.
Beachcomber prévoit également d’aménager le Domaine de l’Harmonie à Rivière Noire. Près de 160 hectares où seront construit des villas, un golf, un hôtel 5 étoiles et des résidences.
Un projet de développement mesuré et intégré dans l’environnement qui s’inscrira naturellement dans la philosophie de Beachcomber.
![Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/85025254-60665965.jpg?v=1734537945 "Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]")
