Le nouvel hôtel de Beachcomber, Royal PalmMarrakech ouvrira ses portes en décembre prochain. DR
Après quatre années de travaux et un investissement de 111 millions d'euros, le Royal Palm Marrakech, nouvelle adresse de Beachcomber, ouvrira ses portes le 11 décembre prochain.
La commercialisation des 135 suites et villas a été lancée le 11 juillet dernier. Beachcomber Tours va d'ailleurs éditer une brochure spécialement dédiée au Maroc, en partenariat avec Mille Lieux.
Avec son spa Clarins, son golf donnant sur l'Atlas et son chef étoilé, le Royal Palm Marrakech a mis toutes les chances de son coté pour séduire les voyageurs.
"Ce nouvel établissement va nous permettre de positionner la marque Royal Palm comme un label de luxe" explique Robert de Spéville, le directeur commercial.
La commercialisation des 135 suites et villas a été lancée le 11 juillet dernier. Beachcomber Tours va d'ailleurs éditer une brochure spécialement dédiée au Maroc, en partenariat avec Mille Lieux.
Avec son spa Clarins, son golf donnant sur l'Atlas et son chef étoilé, le Royal Palm Marrakech a mis toutes les chances de son coté pour séduire les voyageurs.
"Ce nouvel établissement va nous permettre de positionner la marque Royal Palm comme un label de luxe" explique Robert de Spéville, le directeur commercial.
Les hôtels mauriciens ont la faveur des tour-opérateurs
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Car Beachcomber est plus que jamais synonyme de vacances haut de gamme.
Son activité sur les hôtels cinq étoiles reste stable, tandis que ses quatre étoiles sont à la peine, avec un chiffre d'affaires en baisse de 10%.
Une gamme qui subit de plein fouet la concurrence tarifaire des autres hôtels de Maurice.
Par conséquent, le chiffre d'affaires total du groupe devrait s'établir à 35 millions d'euros cette année, en baisse de 5%.
Pour 2013, la tendance semble se maintenir, avec un fort engouement pour les cinq étoiles, tandis que les quatre étoiles demeurent en retrait.
"Mais la visibilité reste réduite. L'île Maurice a souffert, perdant 10% de ses arrivées touristiques" précise Mikaël le Luron, le manager marketing.
Pourtant les hôtels du groupe ont toujours la faveur des tour-opérateurs. Nouvelle Frontières a notamment programmé six produits Beachcomber sur les onze hôtels mauriciens de sa brochure. Le groupe souhaite également resserrer l'alliance avec Jet Tours.
L'arrivée d'Emirates et de son A380 en décembre prochain va-t-elle améliorer les choses ?
C'est en tout cas l'espoir de Robert de Spéville et Mikaël le Luron. "Les autorités paraissent aujourd'hui en ordre de bataille pour développer la desserte aérienne tant attendue".
Son activité sur les hôtels cinq étoiles reste stable, tandis que ses quatre étoiles sont à la peine, avec un chiffre d'affaires en baisse de 10%.
Une gamme qui subit de plein fouet la concurrence tarifaire des autres hôtels de Maurice.
Par conséquent, le chiffre d'affaires total du groupe devrait s'établir à 35 millions d'euros cette année, en baisse de 5%.
Pour 2013, la tendance semble se maintenir, avec un fort engouement pour les cinq étoiles, tandis que les quatre étoiles demeurent en retrait.
"Mais la visibilité reste réduite. L'île Maurice a souffert, perdant 10% de ses arrivées touristiques" précise Mikaël le Luron, le manager marketing.
Pourtant les hôtels du groupe ont toujours la faveur des tour-opérateurs. Nouvelle Frontières a notamment programmé six produits Beachcomber sur les onze hôtels mauriciens de sa brochure. Le groupe souhaite également resserrer l'alliance avec Jet Tours.
L'arrivée d'Emirates et de son A380 en décembre prochain va-t-elle améliorer les choses ?
C'est en tout cas l'espoir de Robert de Spéville et Mikaël le Luron. "Les autorités paraissent aujourd'hui en ordre de bataille pour développer la desserte aérienne tant attendue".