Dans une lettre ouverte adressée au préfet de Paris et de l'Île-de-France, le syndicat des compagnies aériennes autonomes (SCARA) "s'inquiète de [la] pertinence opérationnelle et de la menace que fait peser sur les compagnies aériennes" du projet Charles de Gaulle Express (CDG Express).
Le syndicat déplore que son financement repose en partie sur une taxe prélevée sur les billets d'avions des transporteurs qui opèrent à Paris-CDG.
L'arrêté inter-préfectoral 75-2017-03-31-010 de déclaration d'utilité publique modificative du projet a été signé le 31 mars 2017.
Le SCARA rappelle que "la commission d'enquête publique avait émis dans ses conclusions deux réserves sur la levée desquelles se fonde la décision de déclaration d'utilité publique de cette liaison ferroviaire".
La première réserve porte sur l'établissement d'un "plan de financement avec répartition chiffrée selon les modalités prévues". La deuxième demande l'établissement d'une grille de circulation qui confirme "l'absence d'impact sur le fonctionnement des lignes existantes".
Dans sa lettre ouverte, le SCARA "s'interroge sur les éléments nouveaux" qui ont conduit à la levée de ces deux réserves.
L'organisation regrette, par ailleurs, que la solution alternative "plus efficace opérationnellement et moins coûteuse" qui consiste à utiliser l'infrastructure de la ligne 17 pour faire circuler des navettes spécifiques n'a pas été étudiée.
Le SCARA demande le gel du projet "et à ce que la solution alternative préconisée par le SCARA soit étudiée".
Le syndicat déplore que son financement repose en partie sur une taxe prélevée sur les billets d'avions des transporteurs qui opèrent à Paris-CDG.
L'arrêté inter-préfectoral 75-2017-03-31-010 de déclaration d'utilité publique modificative du projet a été signé le 31 mars 2017.
Le SCARA rappelle que "la commission d'enquête publique avait émis dans ses conclusions deux réserves sur la levée desquelles se fonde la décision de déclaration d'utilité publique de cette liaison ferroviaire".
La première réserve porte sur l'établissement d'un "plan de financement avec répartition chiffrée selon les modalités prévues". La deuxième demande l'établissement d'une grille de circulation qui confirme "l'absence d'impact sur le fonctionnement des lignes existantes".
Dans sa lettre ouverte, le SCARA "s'interroge sur les éléments nouveaux" qui ont conduit à la levée de ces deux réserves.
L'organisation regrette, par ailleurs, que la solution alternative "plus efficace opérationnellement et moins coûteuse" qui consiste à utiliser l'infrastructure de la ligne 17 pour faire circuler des navettes spécifiques n'a pas été étudiée.
Le SCARA demande le gel du projet "et à ce que la solution alternative préconisée par le SCARA soit étudiée".